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Auteur: L'équipe de Là-bas

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Reportages, entretiens, chroniques : l'info plus près des jetables que des notables avec Daniel Mermet. Depuis 30 ans, Là-bas si j'y suis démontre qu'un autre journalisme est possible, à la fois rigoureux, engagé, populaire, inventif, modeste et génial.
1826 Episodes
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Emmanuel Macron est le président qui a présidé le plus de cérémonies d’hommage, bien plus que ses prédécesseurs. Qu’est-ce que cette inflation mémorielle cache ? Gérard Mordillat a une petite idée. Gérard Mordillat mord, une chronique à retrouver en vidéo sur le site Là-bas si j’y suis.
C’est une chanson que vous ne connaissez pas encore, interprétée par une chanteuse que vous ne voyez jamais. Et pour cause : Nûdem Durak croupit dans les geôles turques depuis 2015. À l’époque, elle est condamnée par un tribunal pour « appartenance à un groupe terroriste ». Son crime ? Avoir chanté, en kurde, sous un portait d’Abdullah Öcalan, le leader du PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan considéré par Ankara comme une organisation terroriste. « Parce que j’ai chanté des chansons, ils m’ont mise en prison », écrit-elle depuis sa cellule. Depuis quelques années, l’écrivain français Joseph Andras a impulsé une vaste campagne internationale pour sa libération, à laquelle Là-bas si j’y suis s’associe. Olivier Besancenot revient aujourd’hui sur « Nuda », la chanson qui lui a coûté sa liberté.
Quand souffle le vent du changement, certains construisent des murs, d’autres des moulins. Et ce vent du changement est déjà là. Pas de doute, pour Peter Mertens, secrétaire général du PTB (Parti du travail de Belgique), qui publie « Mutinerie. Comment le monde bascule » : le vent est en train de tourner. « Nous sommes à la croisée des chemins, dans un monde polarisé qui peut basculer dans plusieurs directions. Il faut s’emparer des transformations du monde. Les monstres ne sont jamais loin. » Un entretien de Daniel Mermet avec Peter Mertens, à retrouver en vidéo sur le site Là-bas si j’y suis.
Fini le chômeur qui se dore la pilule ! C’est la troisième fois sous Emmanuel Macron que le gouvernement s’attaque aux chômeurs dans l’optique de rééquilibrer les comptes publics. Mais ce qui étonne Dillah, c’est que Gabriel Attal ne regarde pas du côté des 84 % de Français favorables à la taxation des superprofits des entreprises. Pas non plus du côté de la semaine des 32 heures. Étonnant, non ? « Ça m’étonne », une chronique de Dillah Teibi à retrouver en vidéo sur le site Là-bas si j’y suis.
Qu’est-ce qu’un pédagogue ? Quelqu’un qui conjugue la théorie et la pratique. Jean-Jacques Rousseau n’était donc pas un « pédagogue », mais plutôt un philosophe de l’éducation. Philippe Meirieu, lui, est bien un pédagogue. C’est même lui qui en donne cette définition dans le deuxième épisode de ce nouveau rendez-vous proposé par Laurence De Cock. Philippe Meirieu est chercheur et militant en pédagogie, membre du parti Les Écologistes, ancien conseiller régional de la région Rhône-Alpes et actuellement vice-président des Céméa, les Centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active. Cela fait quarante ans que Philippe Meirieu travaille et milite sur les questions de pédagogie. Quel pédagogue a le plus marqué l’histoire de la pensée pédagogique ? Quelles sont les principales difficultés que rencontre l’école aujourd’hui ? Que ferait-il s’il était ministre de l’Éducation nationale ? Philippe Meirieu, grand témoin d’un demi-siècle de pratiques et de politiques pédagogiques, est l’invité de Laurence De Cock sur Là-bas si j’y suis.
Il est rare qu’un chant hagiographique soit aussi bouleversant. C’est pourtant le cas avec cette chanson écrite par le chanteur cubain Carlos Puebla au moment où le Che quitte définitivement la vie politique cubaine pour apporter sa contribution à d’autres fronts révolutionnaires, au Congo et en Bolivie. Olivier Besancenot revient cette semaine sur cette chanson écrite en 1965, une année charnière dans la vie du Che et dans l’histoire de Cuba. C’est d’ailleurs à la révolution cubaine que la chanson emprunte son titre : hasta la victoria siempre !
C’est un séparatisme qui ne dit pas son nom, mais qui est déjà à l’œuvre de manière éclatante dans la capitale : à Paris, 40 % des lycéens sont scolarisés dans un établissement privé. À l’échelle nationale, la proportion d’élèves scolarisés dans le privé est moindre, mais elle ne cesse de croître. Tout ça est la lointaine conséquence de la loi Debré, adoptée le 29 décembre 1959, qui institutionnalisa le financement public de l’enseignement privé. Durant l’année 1959 déjà, de nombreuses manifestations avaient eu lieu pour s’opposer à ce détournement de fonds publics au profit de l’enseignement privé. Et devinez : qui se trouvait parmi les manifestants ? Gérard Mordillat, bien sûr. Une chronique à voir en vidéo sur le site Là-bas si j’y suis.
Chaque mardi, Olivier Besancenot raconte les chansons de notre histoire. Cette semaine, l’histoire de Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti, immortalisée par la chanson d’Ennio Morricone et Joan Baez : « Here’s tou you ».
En 2004, au moment de percevoir leur pension d’anciens combattants de la guerre d’Algérie, quatre petits agriculteurs du Tarn s’unissent pour déclarer : « nous avons décidé de refuser pour nous-mêmes la pension liée à la retraite du combattant et de la reverser à des populations qui souffrent de la guerre ou à des organismes qui œuvrent pour la paix » .Un reportage de Daniel Mermet diffusé la première fois sur France Inter le 24 novembre 2004.
Anciens appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre : 4ACG. Une association créée il y a vingt ans par quatre anciens appelés en Algérie à la fin des années 1950, quatre paysans du Tarn qui refusaient de toucher leur retraite de combattant (465 euros environ par an), mais qui voulaient l’utiliser pour des actions engagées. Avec plus de 400 adhérents, ils ont pu aider et fraterniser, en Algérie comme en Palestine, et intervenir dans les écoles « pour éveiller l’esprit de résistance ». Nous étions invités à la célébration de leurs vingt ans, le 17 mars à Mauges-sur-Loire. C’est une des grandes fiertés de Là-bas que d’avoir, il y a vingt ans, contribué au démarrage de cette aventure. Une joie de se retrouver là et de retrouver l’ami Rémi Serres, l’un des quatre paysans qui a lancé cette superbe histoire.
Une chanson peut-elle changer le cours de l’histoire ? Olivier Besancenot vous raconte l’histoire ce cette chanson qui a symbolisé la lutte contre le racisme et pour les droits civiques aux États-Unis.
« Si vis pacem, para bellum ». Si tu veux la paix, prépare la guerre ! Et si, pour avoir la paix, on préparait plutôt la paix ? Gérard Mordillat étrille tous ces va-t-en-guerre et reprendrait bien à son compte l’exhortation du pape François : « faites taire les armes, écoutez le cri de paix des pauvres, des peuples, des enfants ». Gérard Mordillat mord, une chronique à retrouver en vidéo sur le site Là-bas si j’y suis.
Chaque mardi, Olivier Besancenot raconte les chansons de notre histoire. Cette semaine, c’est un des chants de bataille les plus emblématiques de notre histoire sociale. Il est intimement lié à une ville en particulier, Lyon, et à son industrie de la soie au XIXe siècle : c’est « Le Chant des canuts ».
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Commentaires (1)

beat addict

très bonne approche, la perle une bourgeoise qui a les yeux grand ouverts et résume bien la situation.

Dec 9th
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