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Author: ANGIE
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Description
Bonjour et bienvenue chez « pe.podcast", le podcast qui plonge au cœur de l'une des plus belles et exigeantes vocations : celle de professeur des écoles. Je suis Angie, et chaque semaine, je vous emmène à la rencontre de ces passionnés qui ont choisi de dédier leur vie à ce métier. Ici, vous entendrez leurs histoires, de leurs premiers souvenirs d'élève à leurs expériences face à la classe. Des récits authentiques, touchants, parfois drôles, souvent inspirants, qui vous permettront de découvrir les défis, les doutes, mais aussi les victoires et les grandes joies du métier d'enseignant. Ensemble, je suis convaincue que nous pouvons rassurer, inspirer et redonner à cette profession la lumière qu'elle mérite. Alors bienvenue au coeur du « plus beau métier du monde » comme on aime l’appeler. Bienvenue chez « pe.podcast" !
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38 Episodes
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Et si toute une carrière pouvait se construire autour d’un même engagement : accompagner des élèves à besoins particuliers ?C’est le choix qu’a fait Dorothée, enseignante depuis près de vingt ans. Dès ses débuts, elle s’est tournée vers le spécialisé et n’a jamais quitté ce domaine. Pendant 18 ans, elle a exercé en ULIS – après avoir connu les CLIS – et elle nous raconte l’évolution de ces dispositifs, leurs différences et ce que cela change dans le quotidien d’un enseignant.Dans cet épisode, Dorothée nous ouvre les portes de sa classe : elle partage ses réussites, ses défis, mais aussi ses astuces concrètes pour travailler en ULIS. Comment s’organiser ? Comment accompagner chaque élève ? Quelles erreurs éviter ? Quels petits gestes font toute la différence ?Des conseils précieux qui aideront non seulement les enseignants du spécialisé, mais aussi ceux de l’ordinaire, de plus en plus confrontés à des élèves à besoins éducatifs particuliers dans leur classe.Aujourd’hui, elle démarre une nouvelle aventure en UEMA. Un environnement qu’elle découvre, un défi qu’elle relève avec curiosité et enthousiasme… et l’occasion pour elle de se réinventer après près de vingt ans d’expérience.Quelques liens qui pourraient vous intéresser :Le blog de Dorothée : https://ulisauquotidien.eklablog.com/Créer son emploi du temps en ULISS : https://ulisauquotidien.eklablog.com/preparation-de-rentree-les-emplois-du-temps-a209403036Évaluation de rentrée : https://ulisauquotidien.eklablog.com/main-tag/competences-a-acquerir-c32993240Son cahier de progrès et compétences : https://eduki.com/fr/material/1597280/le-cahier-de-progres-et-les-competencesSon plus beau souvenir : https://www.youtube.com/watch?v=EhJnb6m04cI Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Andréa est enseignante. Après une année de PES marquante, durant laquelle elle choisit de faire voyager ses élèves autour du monde grâce à un thème fédérateur et enthousiasmant, une idée germe en elle :Et si elle partait, elle aussi, faire le tour du monde pour de vrai ?Ce qui n’était qu’un projet pédagogique devient alors un véritable projet de vie.Pendant un an, elle prépare son voyage : choix des destinations, contacts avec des enseignants du monde entier, logistique, financements… Puis elle s’envole, direction les écoles d’ailleurs, dans l’espoir de découvrir des façons différentes d’enseigner, de penser l’école, d’éduquer.Dans cet épisode, Andréa nous raconte son aventure et partage ses 3 coups de cœur éducatifs :🇫🇮 La Finlande, où l’école est centrée sur le bien-être et la confiance. Peu de devoirs, une grande autonomie accordée aux élèves, et un rapport enseignant-élève apaisé.🇨🇦 Le Québec, pour sa pédagogie bienveillante, son accueil chaleureux et la place laissée à la créativité dans les apprentissages.🇸🇬 Singapour, un système exigeant, mais innovant, où l’excellence s’allie à des pratiques pédagogiques structurées et tournées vers l’avenir.Andréa nous parle aussi des coulisses de son voyage :Comment elle a organisé ses rencontres dans les écoles ;Ce qu’elle a observé dans les classes ;Les idées qu’elle ramène dans ses bagages d’enseignante ;Et ce que cette expérience a changé dans sa manière de voir son métier.Un épisode riche en découvertes, en réflexions pédagogiques… et en inspiration !Peut-être qu’il vous donnera, à vous aussi, l’envie de pousser la porte d’une école ailleurs pendant les grandes vacances ? L’été peut être le moment idéal pour oser cette parenthèse enrichissante… Vous me direz ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je vous propose un épisode un peu particulier, puisque ce n’est pas un enseignant que je reçois, mais une professionnelle tout aussi essentielle à la vie de l’école : Perrine, psychologue scolaire.Parce qu’à l’école, nous ne travaillons pas seuls. Parce que le bien-être des élèves – et le nôtre aussi – dépend souvent d’une collaboration étroite entre les différents acteurs de l’éducation, il me semblait important de donner la parole à celles et ceux qui œuvrent au quotidien, souvent dans l’ombre, pour accompagner nos élèves en difficulté.Perrine nous raconte son parcours, les études qu’elle a suivies pour devenir psychologue de l’Éducation nationale, et ce que recouvre concrètement son métier : les multiples écoles qu’elle accompagne, les situations très variées qu’elle rencontre, les élèves qu’elle suit, les temps de concertation avec les équipes… Un quotidien riche et exigeant, au cœur des préoccupations éducatives et humaines.Dans cet échange, elle nous partage aussi des conseils précieux pour nous, enseignants : comment repérer certains signes de décalages sociaux ou cognitifs, quand oser la contacter, et surtout, comment favoriser au quotidien le bien-être psychologique de nos élèves dans la classe.Cet épisode est aussi un rappel important : nous ne pouvons pas tout gérer seuls. Les psychologues scolaires sont là pour nous aider, pour soutenir les enfants, et pour faire équipe avec nous. Il ne faut pas hésiter à les solliciter, à échanger, à collaborer. Parce que c’est ensemble qu’on fait école. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je vous présente Romane, une enseignante passionnée et engagée, aujourd’hui en poste en UEMA (Unité d’Enseignement en Maternelle Autisme) depuis 4 ans. Mais son parcours n’a rien de linéaire.Tout commence lors de sa première année d’enseignement, où elle rencontre un élève à besoins éducatifs particuliers. Face à ses difficultés, elle prend conscience de son manque d’outils, de formation et de repères pour l'accompagner. Cette impuissance la bouleverse et marque un tournant dans sa carrière.Romane se renseigne, se documente, et fait une demande pour suivre le CAPPEI (Certificat d'Aptitude Professionnelle aux Pratiques de l'Éducation Inclusive), le certificat pour enseigner en milieu spécialisé. Mais sa candidature est refusée, jugée trop jeune et pas encore assez expérimentée pour être formée… Elle décide alors de ne pas attendre que l’opportunité vienne à elle.Elle fait un choix radical : lâcher son poste à titre définitif pour accepter n’importe quel poste dans le domaine de la spécialisation. Une décision audacieuse qui la mène dans un monde qu’elle ne connaît pas encore : l’UEMA.Romane découvre cet univers particulier avec humilité et curiosité. Elle se forme sur le terrain, apprend aux côtés des AESH, des éducateurs et de l’équipe pluridisciplinaire. Elle obtient finalement le CAPPEI, monte en compétences et développe des outils spécifiques pour accompagner ces enfants aux besoins si singuliers.Mais elle ne s’arrête pas là. Animée par la volonté de donner à ces enfants un accès réel à la lecture, elle se met à écrire des livres pédagogiques adaptés à leurs besoins. Pour elle, la lecture doit être possible pour tous, quel que soit le profil de l’élève.Aujourd’hui, elle revient avec nous sur ce parcours atypique, ses doutes, ses remises en question, mais surtout la passion qui l’anime et les victoires, grandes ou petites, qu’elle vit chaque jour avec ses élèves extraordinaires.Un épisode inspirant, sincère, qui rappelle que chaque enseignant peut se réinventer, et que parfois, c’est en sortant du cadre qu’on trouve enfin sa place.Le compte instagram de Romane : mes.aventures.en.ueLe livre de Romane : Momo construit sa maison Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je reçois Chloé, une enseignante passionnée qui a décidé de quitter La france pour tenter l’aventure à l’étranger. Après quelques années d’enseignement en France, elle a pris la direction du Canada, avec l’idée qu’elle n’y apprendrait pas grand-chose de nouveau. Et pourtant… Cette expérience va profondément bousculer ses certitudes.Dans cet épisode, Chloé nous raconte les étapes de son départ, les démarches pour enseigner au Canada, mais aussi tout ce qu’elle a découvert une fois sur place : un système éducatif fondé sur la bienveillance, le positif, la valorisation des élèves et une véritable reconnaissance du métier d’enseignant.Elle nous plonge dans le quotidien de son école, aux multiples cultures, installée au pied des montagnes, avec une cour de récré ouverte sur la nature, où il n’est pas rare d’observer par la fenêtre de sa classe… des ours ! Oui oui vous avez bien entendu des ours ! Elle évoque aussi les nombreuses fêtes célébrées dans l’école, les liens avec les familles, les pratiques pédagogiques inspirantes et l’ouverture sur le monde qui règne au sein de l’équipe éducative.Un témoignage sincère, inspirant et plein de fraîcheur, qui donne envie d’oser, de s’ouvrir à d’autres horizons… et pourquoi pas, de traverser l’Atlantique ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Angélique est une enseignante au parcours aussi riche qu’émouvant, qui nous ouvre les portes d’un univers méconnu : celui de l’enseignement en milieu hospitalier.Avant d’exercer dans ce cadre si particulier, Angélique a exploré quasiment toutes les facettes du métier d’enseignant. De la petite section au CM2, elle a changé de niveau, de contexte, de publics : des classes qu’elle a suivies sur l’année, des remplacements, des compléments. Ces années ont été pour elle un véritable terrain d’apprentissage, fait de découvertes pédagogiques, de doutes, de remises en question, mais aussi de belles réussites. Elle y a développé une capacité d’adaptation précieuse, qui lui sera essentielle pour la suite.Un cheminement qui l’a menée à un poste très particulier : enseigner en clinique, auprès d’enfants hospitalisés, que ce soit en hospitalisation de jour ou complète. Dans cet épisode, Angélique nous raconte comment on fait classe là où la priorité est parfois ailleurs, comment on trouve sa place parmi les soignants, comment on accueille les émotions sans se laisser submerger. Elle nous parle de ses élèves, de leurs parcours cabossés, de leurs fragilités… mais aussi de leurs forces et de leurs sourires. Elle nous explique comment faire classe quand l’émotion est partout, comment garder une posture d’enseignante tout en étant à l’écoute des besoins affectifs et médicaux des enfants. Elle partage ce qu’elle met en place concrètement dans sa pratique : des temps ritualisés, des projets personnalisés, des supports qui s’adaptent aux états de fatigue, aux absences, aux retours imprévus.Angélique nous partage avec beaucoup de sincérité sa façon d’enseigner, de s’adapter, de faire vivre l’école là où on ne l’attend pas toujours. Elle nous rappelle que l’enseignement, c’est aussi ça : un engagement profond, qui dépasse les murs d’une salle de classe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Angélique est une enseignante au parcours aussi riche qu’émouvant, qui nous ouvre les portes d’un univers méconnu : celui de l’enseignement en milieu hospitalier.Avant d’exercer dans ce cadre si particulier, Angélique a exploré quasiment toutes les facettes du métier d’enseignant. De la petite section au CM2, elle a changé de niveau, de contexte, de publics : des classes qu’elle a suivies sur l’année, des remplacements, des compléments. Ces années ont été pour elle un véritable terrain d’apprentissage, fait de découvertes pédagogiques, de doutes, de remises en question, mais aussi de belles réussites. Elle y a développé une capacité d’adaptation précieuse, qui lui sera essentielle pour la suite.Un cheminement qui l’a menée à un poste très particulier : enseigner en clinique, auprès d’enfants hospitalisés, que ce soit en hospitalisation de jour ou complète. Dans cet épisode, Angélique nous raconte comment on fait classe là où la priorité est parfois ailleurs, comment on trouve sa place parmi les soignants, comment on accueille les émotions sans se laisser submerger. Elle nous parle de ses élèves, de leurs parcours cabossés, de leurs fragilités… mais aussi de leurs forces et de leurs sourires. Elle nous explique comment faire classe quand l’émotion est partout, comment garder une posture d’enseignante tout en étant à l’écoute des besoins affectifs et médicaux des enfants. Elle partage ce qu’elle met en place concrètement dans sa pratique : des temps ritualisés, des projets personnalisés, des supports qui s’adaptent aux états de fatigue, aux absences, aux retours imprévus.Angélique nous partage avec beaucoup de sincérité sa façon d’enseigner, de s’adapter, de faire vivre l’école là où on ne l’attend pas toujours. Elle nous rappelle que l’enseignement, c’est aussi ça : un engagement profond, qui dépasse les murs d’une salle de classe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Amicie est une enseignante passionnée qui a exercé pendant près de 20 ans. Elle a enseigné auprès d’élèves de la toute petite section jusqu’au CM2, en France mais aussi à l’étranger. Elle a notamment passé cinq années à Miami en tant qu’enseignante de français, puis exercé dans une école bilingue internationale en Haute-Savoie. Forte de cette riche expérience, elle a créé un outil pédagogique innovant destiné aux enfants de 3 à 12 ans. Cet outil, qu'elle a conçu en partenariat avec Astrid qui elle a fait toute sa carrière professionnelle dans les plus grandes enseignes de jeux, va permettre aux enfants de travailler en autonomie sur toutes les matières grâce à des activités autocorrectives, accompagnées d’un système de récompenses pour les encourager. L’objectif : motiver les élèves, simplifier la vie des enseignants et offrir aux parents un vrai soutien à la maison. Dans cet épisode, Amicie revient sur son parcours, ses années d’enseignement, et nous dévoile les coulisses de la création de cet outil pensé pour s’adapter aux besoins de chacun.Si tu veux découvrir cet outil pédagogique, c'est ici : https://etoilium.com/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je vous emmène à La Réunion, à la rencontre d’Élise, une enseignante au parcours aussi riche qu’inattendu. Après des études en biologie marine, menées sur cette île où l’environnement semblait parfaitement en lien avec ses ambitions, Élise réalise que les débouchés dans ce domaine sont limités. Elle se tourne alors vers l’enseignement, passe et obtient le CRPE à La Réunion, et débute sa carrière dans ce cadre insulaire unique.Elle nous raconte ses premières années en classe : sa toute première affectation en année de stage, l’accueil dans l’équipe, ses débuts parfois stressants mais marqués par de belles réussites, notamment l’organisation d’une classe de mer dès sa première année. Elle évoque la richesse pédagogique et humaine de cette expérience, ainsi que les liens qu’elle a tissés avec ses tout premiers élèves.Puis, elle nous parle de ses autres années sur l’île, des différents niveaux qu’elle a pu découvrir, des projets mis en place, de la gestion de classe dans un contexte tropical, avec ses chaleurs, ses saisons inversées et ses rythmes parfois différents de ceux de la métropole. Elle revient aussi sur les adaptations nécessaires dans ses enseignements, notamment en histoire, pour mieux correspondre au contexte local, mais aussi sur l’importance de la culture réunionnaise dans son quotidien d’enseignante.Alors qu’Élise s’apprête à quitter La Réunion pour retrouver la métropole, elle nous confie son attachement profond à l’île, ce qu’elle y a appris, ce qu’elle y laisse, et les souvenirs précieux qu’elle emporte avec elle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je vous propose un épisode un peu particulier, puisque nous sommes trois derrière le micro. J’ai le plaisir d’accueillir Solenne et Anaëlle, deux jeunes professeures des écoles tout juste titularisées, qui reviennent avec moi sur leur formation en master MEEF.Ce qui rend cet épisode si intéressant, c’est qu’elles ont choisi deux parcours différents : Solenne a opté pour l’alternance, en étant un jour par semaine en responsabilité dans une classe. Anaëlle, elle, a préféré le stage d’observation, avec une immersion plus progressive dans le métier.Ensemble, on fait le point sur :Les différences concrètes entre ces deux formatsLes avantages et les limites de chacunLa charge de travail à concilier avec la préparation du concours Et surtout, ce que ces expériences leur ont apporté — aussi bien pour réussir le CRPE que pour vivre leur toute première rentrée en tant qu’enseignantes.C’est un épisode qui s’adresse à tous ceux qui envisagent ce métier, qui sont en formation ou en reconversion, ou qui s’interrogent sur le fonctionnement du master MEEF aujourd’hui (attention de nouvelles réformes sont prévues).Solenne et Anaëlle partagent avec beaucoup de sincérité, de recul et de générosité leur formation pour devenir enseignante et leurs débuts dans le métier alors je vous invite à vous installer confortablement… et à vous laisser porter par leurs récits. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Théa fait partie de la première promotion à suivre le master MEEF après son changement de maquette. Elle a choisi de faire son master 2 en alternance, une expérience particulièrement formatrice dont elle nous partage tous les bénéfices. Après une année de PES en maternelle, elle obtient un poste de TRS, qui lui permet de découvrir plusieurs niveaux et méthodes de travail. Aujourd’hui, elle occupe un poste définitif, et pas n’importe lequel : celui de ZIL.Dans l’académie de Montpellier, être TR ZIL (Titulaire remplaçant zone d’intervention localisée) signifie assurer des remplacements de courte durée dans différentes écoles et niveaux, un défi qui exige une grande capacité d’adaptation. Concrètement, cela signifie qu’elle peut être appelée le matin même pour se rendre dans une école qu’elle ne connaît pas, auprès d’élèves qu’elle découvre sur le moment, avec parfois seulement quelques minutes pour s’approprier les lieux et organiser sa journée. Un défi quotidien qui demande une grande réactivité, une capacité d’adaptation à toute épreuve et une organisation sans faille.Et pourtant, Théa adore son poste ! Depuis la rentrée, elle a remplacé dans de nombreux niveaux, y compris en ULIS, et elle y trouve une richesse incomparable. Chaque jour est différent, chaque classe est une nouvelle expérience, et c’est justement cette diversité qui lui plaît. Contrairement à l’image souvent stressante du remplacement, elle voit son rôle comme une opportunité d’apprendre, d’expérimenter et de rencontrer une multitude d’élèves et d’enseignants. Dans cet épisode, elle nous partage son quotidien de TR ZIL, ses astuces pour s’adapter rapidement et tous les avantages qu’elle trouve à ce poste si particulier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Angélique est une enseignante au parcours aussi riche que mouvementé. Elle a enseigné dans plusieurs niveaux et cycles, dont une GS dédoublée en REP+, et a ainsi expérimenté différentes approches pédagogiques.Très vite, elle a compris que trop préparer ses cours pouvait être contre-productif : plutôt que de s’épuiser à tout anticiper, elle préfère s’adapter en classe aux besoins réels de ses élèves. Une approche qui va à contre-courant de ce que l’on entend souvent dans le métier, et qu’elle partage avec nous à travers des conseils précieux, aussi bien pour la maternelle que pour l’élémentaire. J’espère que ses conseils vous aideront à alléger votre charge de travail à la maison tout en restant efficaces en classe. Des conseils essentiels pour apprendre à déculpabiliser, à prendre du temps pour nous, sans jamais perdre de vue l’essentiel : proposer le meilleur à nos élèves pour qu’ils évoluent sereinement.Mais au-delà de la classe, Angélique nous parle aussi d’un sujet parfois méconnu, surtout en début de carrière : le mouvement et les mutations. Un élément central du métier, mais qui peut aussi être un poids énorme lorsqu’on ne parvient pas à se rapprocher de chez soi. Pour elle, l’attente et l’incertitude ont été si pesantes qu’elle a pris une décision radicale : démissionner. Quitter le métier qu’elle aime, renoncer à son concours pourtant difficile à obtenir pour repartir de zéro, dans l’espoir de retrouver un équilibre avant de repasser son concours. Un choix fort, courageux, qui montre à quel point cette réalité, souvent méconnue en début de carrière, peut bouleverser un parcours et amener à tout remettre en question… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Attendez, quoi ? Enseigner en prison quand on est prof des écoles, c'est possible ?! Spoiler : oui. Et c'est une mission hors du commun et Clémence va tout nous raconter.Après une mauvaise expérience dans le milieu de l'industrie, Clémence décide de se reconvertir. Sur un coup de tête, elle tente le CRPE, sans trop le préparer… et contre toute attente, elle décroche les écrits… puis les oraux ! Sa vie est sur le point de basculer. Dès sa première rentrée, c'est une évidence : au plus profond d'elle, c'était son rêve de petite fille.Mais son histoire ne s'arrête pas là. Après une année dans l'enseignement « ordinaire" Un jour, un courrier arrive dans sa boîte académique. Une offre pour un poste à profil. Et pas n'importe lequel : enseigner en prison. Son cœur s'emballe. Son instinct lui souffle de foncer. Alors, sans trop réfléchir, elle envoie sa candidature.Comme pour le CRPE, elle se rend à l'entretien sans grande attente. Mais quelques jours plus tard, la nouvelle tombe : elle est prise. Et sa prise de poste est prévue… la semaine suivante ! Une nouvelle vie démarre. Derrière les murs. Derrière les barreaux. Dans un univers où l'école n'a plus rien d’ordinaire.Comment entre-t-on dans une prison quand on est prof ?Quelles matières enseigne-t-on en détention ?Les détenus sont-ils volontaires pour suivre des cours ?À quoi ressemblent ses journées face aux détenus ?Quels élèves se cachent derrière ces murs ?Dans cet épisode, Clémence nous plonge au cœur de son quotidien d'enseignante en détention. Elle raconte tout. Sans filtre. Parce que je ne sais pas vous, mais moi, je me posais des tas et des tas de questions… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Attendez, quoi ? Enseigner en prison quand on est prof des écoles, c'est possible ?! Spoiler : oui. Et c'est une mission hors du commun et Clémence va tout nous raconter.Après une mauvaise expérience dans le milieu de l'industrie, Clémence décide de se reconvertir. Sur un coup de tête, elle tente le CRPE, sans trop le préparer… et contre toute attente, elle décroche les écrits… puis les oraux ! Sa vie est sur le point de basculer. Dès sa première rentrée, c'est une évidence : au plus profond d'elle, c'était son rêve de petite fille.Mais son histoire ne s'arrête pas là. Après une année dans l'enseignement « ordinaire" Un jour, un courrier arrive dans sa boîte académique. Une offre pour un poste à profil. Et pas n'importe lequel : enseigner en prison. Son cœur s'emballe. Son instinct lui souffle de foncer. Alors, sans trop réfléchir, elle envoie sa candidature.Comme pour le CRPE, elle se rend à l'entretien sans grande attente. Mais quelques jours plus tard, la nouvelle tombe : elle est prise. Et sa prise de poste est prévue… la semaine suivante ! Une nouvelle vie démarre. Derrière les murs. Derrière les barreaux. Dans un univers où l'école n'a plus rien d’ordinaire.Comment entre-t-on dans une prison quand on est prof ?Quelles matières enseigne-t-on en détention ?Les détenus sont-ils volontaires pour suivre des cours ?À quoi ressemblent ses journées face aux détenus ?Quels élèves se cachent derrière ces murs ?Dans cet épisode, Clémence nous plonge au cœur de son quotidien d'enseignante en détention. Elle raconte tout. Sans filtre. Parce que je ne sais pas vous, mais moi, je me posais des tas et des tas de questions… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après deux échecs au CRPE, Sarah est prête à abandonner son rêve de devenir enseignante. Elle ne voit plus d’issue et commence à douter de ses capacités. Mais c’est sans compter sur la directrice d’une école où elle avait déjà réalisé deux stages. Convaincue de son potentiel, celle-ci l’appelle pour l’encourager à ne pas baisser les bras et lui propose un poste en service civique au sein de son établissement.Sarah accepte, sans trop savoir à quoi s’attendre, mais cette année va tout changer. En immersion totale dans une école, elle découvre concrètement la réalité du métier : la gestion de classe, la posture enseignante, l’importance du lien avec les élèves, la diversité des situations auxquelles un professeur des écoles doit faire face au quotidien. Cette expérience lui apporte un regard plus pragmatique et confiant sur l'enseignement, ce qui va s’avérer déterminant pour la suite.Grâce à cette année de service civique, Sarah aborde les oraux du CRPE avec une toute autre posture. Elle ne se contente plus d’appliquer des théories, elle peut désormais appuyer ses réponses sur des expériences vécues. Face aux questions de mise en situation, elle sait désormais comment réagir, car elle a déjà été confrontée à des situations réelles. Elle se sent plus légitime et crédible devant le jury, capable d’argumenter ses choix pédagogiques et d’illustrer ses réponses par des exemples concrets. D’ailleurs je la rejoins en tout point sur cette expérience, car j’ai moi aussi fait un service civique avant de passer et réussir le concours.C’est un vrai tournant qui lui permet d’enfin décrocher le concours… et de devenir PES dans une école bien particulière à ses yeux (mais je vous laisse la surprise !).Aujourd’hui, Sarah est adjointe en maternelle, dans une petite école au pied de la montagne. Avec 11 élèves de la TPS à la GS, elle adapte sans cesse ses pratiques, fait évoluer sa manière d’enseigner et profite d’un cadre exceptionnel. Dans cet épisode, elle nous raconte son parcours, les spécificités de son poste, les défis du multi-niveaux et la richesse d’un enseignement en pleine nature. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tout a commencé par une conversation anodine avec son copain. Une discussion comme une autre, et pourtant, ce jour-là, quelque chose s’est allumé en elle. Elle l’a su : elle voulait enseigner. Et dès lors, elle n’a plus envisagé d’autre chemin.Sa première année en tant que PES a été une véritable bulle de bonheur : une classe d’élémentaire, un environnement bienveillant, une équipe qui la soutient. Un cocon rassurant dans lequel elle se sentait parfaitement à sa place. Mais l’année suivante, tout bascule. Fini le confort de sa première classe, la rentrée marque son arrivée sur un poste de remplaçante. Un rôle qu’elle n’a pas choisi, où elle doit s’adapter sans cesse, découvrir de nouveaux élèves, de nouvelles écoles, sans jamais avoir le temps de poser ses valises.Le doute s’installe. Comment s’épanouir dans un métier où chaque matin réserve une nouvelle surprise ? Comment trouver sa place quand tout change en permanence ?Au cours de cette année, elle découvre un univers qui va tout bouleverser : la maternelle. Un long remplacement dans une classe de cycle 1, et là, c’est une évidence : son coeur est en maternelle.Aujourd’hui, elle a trouvé sa voie et s’épanouit pleinement dans sa classe de maternelle, un univers où elle compte bien rester encore longtemps. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lorsque Manon ouvre son mail après son second mouvement, elle y découvre son affectation avec la mention "EREA". Ne connaissant pas cet acronyme, elle fait des recherches et comprend qu’il s’agit des établissements régionaux d'enseignement adapté, et plus précisément d’un poste en SEGPA. Loin de s’y attendre, elle ressent immédiatement de l’inquiétude. Elle envisage un recours, mais cette option s’avère impossible. Face à l’inévitable, elle décide alors de se lancer, malgré ses doutes et ses appréhensions.Dès ses premiers pas en SEGPA, Manon est confrontée à une réalité très différente de ce qu’elle connaissait déjà. Elle découvre un public d’élèves ayant des besoins spécifiques, souvent en grande difficulté scolaire, et un cadre d’enseignement qui exige une posture et des méthodes adaptées.Après quatre années en SEGPA, convaincue de l’importance de son rôle et du sens qu’elle trouve dans cet accompagnement, elle décide de passer le CAPPEI (Certificat d'Aptitude Professionnelle aux Pratiques de l'Éducation Inclusive). Ce diplôme lui permet de se spécialiser dans l’enseignement adapté.Aujourd’hui, elle enseigne depuis deux ans en ULIS collège, où elle accompagne des élèves dans un cadre plus inclusif. Elle s’épanouit pleinement dans cette mission, trouvant dans son métier un profond sentiment d’utilité et de satisfaction. Ce qui lui faisait peur au départ est finalement devenu une véritable passion. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Saïphone nous raconte son parcours inspirant, celui d'un rêve devenu réalité. Française, elle a toujours eu l'envie profonde de vivre aux États-Unis et s'est donnée tous les moyens pour y parvenir. C'est lors d'un stage dans une école d'immersion française aux États-Unis qu'elle a eu une révélation : elle voulait enseigner dans ce type d’école et aux États-Unis. À partir de là, elle a tout mis en œuvre pour concrétiser son projet, multipliant les expériences professionnelles et les allers-retours entre la France et les États-Unis, déterminée à trouver sa place.Après des années d'efforts et de persévérance, elle a enfin décroché la carte verte et peut désormais vivre pleinement son rêve : enseigner dans une école américaine qu'elle adore. Dans cet épisode, elle nous plonge dans son quotidien d'enseignante, en nous dévoilant les différences marquantes entre l'école aux États-Unis et en France. Elle partage également ses conseils pour ceux qui voudraient découvrir le système éducatif américain et tenter l'expérience à leur tour. Une aventure qu'elle recommande plus que tout, tant elle lui a apporté sur le plan professionnel et personnel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Petite, Florine n'aimait pas l'école. Elle ne voyait pas l'intérêt de tout ce qu'on lui demandait de faire. Mais un jour, à 8 ans, sa route croise celle d'une maîtresse exceptionnelle, qui transforme complètement sa vision. Cette rencontre devient un déclic : depuis ce moment, Florine sait qu'elle veut, elle aussi, devenir professeur des écoles, pour transmettre à d'autres ce qu'elle a reçu.Avec cette ambition chevillée au cœur, elle s’inscrit à la fac et se lance dans une licence après le bac. Mais très vite, elle se heurte à une montagne de difficultés : les cours s'enchaînent, elle peine à suivre, à s'organiser. Elle finit par abandonner, convaincue qu'elle n'est tout simplement pas faite pour la fac. Ce n'est que bien plus tard, à 26 ans, qu'elle comprendra enfin pourquoi : on lui diagnostique un TDAH. Cette révélation agit comme une clé, mettant enfin des mots sur ce qu'elle traverse depuis toujours.Déterminée à ne pas renoncer à son rêve, Florine prend un nouveau départ en Belgique, où elle va faire une école pour devenir enseignante. Diplôme en poche, elle rentre en France pleine d'espoir. Mais elle se heurte à un nouvel obstacle : son diplôme belge n'est pas reconnu en France. Qu'à cela ne tienne, elle devient contractuelle, enchaîne les postes et s'épanouit enfin dans son rôle d'enseignante, auprès de ses élèves.Et puis, en 2024, tout s'effondre. À la rentrée, on lui annonce que tous les postes de contractuels sont déjà pourvus : elle n'aura pas de classe cette année. Deuxième choc : il lui manque trois mois d'expérience pour pouvoir passer le concours en interne, ce qui la prive de cette opportunité en 2025.Aujourd'hui, elle nous raconte son parcours semé d'embûches, ses joies, ses doutes, et cette rage de transmettre qui ne l'a jamais quittée, malgré tout. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, Mathilde raconte son parcours riche en rebondissements. Après avoir hésité entre devenir professeur de mathématiques ou d'histoire, elle a finalement choisi de se tourner vers le métier de professeur des écoles. Originaire du sud de la France, Mathilde a pris la décision de passer son concours en région parisienne, où elle a vécu plusieurs années. Ces années ont été marquées par des expériences enrichissantes et de belles rencontres dans ses écoles.Cependant, à un moment charnière de sa carrière, elle s'est posée une question essentielle : se voyait-elle passer toute sa vie en région parisienne ? Le désir de retrouver ses racines dans le sud s'est imposé, mais les possibilités de retour étaient limitées. Face à ce dilemme, elle a pris une décision difficile : démissionner de son poste. Ce choix n'a pas été facile, mais il lui a permis de rentrer. L'année dernière, elle a décidé de repasser le concours et l'a obtenu avec succès. Aujourd'hui, Mathilde repart à zéro et entame une nouvelle année de PES déterminée à construire sa carrière dans la région qui lui tient à cœur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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