Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Retrouvez Toffee pour la dernière séance de la saison 1 ! Aujourd'hui, je reçois mon ami Michael, franco-serbe, né en France de deux parents serbes immigrés. Ensemble, on plonge dans la question de l’héritage culturel familial : celui qu’on reçoit sans le comprendre tout à fait, celui qu’on rejette parfois par besoin d’appartenance, et celui qu’on finit par réembrasser, souvent plus tard, avec curiosité et engagement.Michael partage son expérience : grandir entre deux cultures, naviguer dans le non-dit familial, et ressentir ce tiraillement subtil entre l’ici et l’ailleurs. On parle aussi de ces conversations avec les parents, celles qu’on n’ose pas toujours entamer plus jeunes — sur leur histoire, leur exil, leurs valeurs, leur langue, leurs blessures.Il raconte comment il s’est reconnecté à ses racines serbes, notamment à travers des voyages au pays, une redécouverte de la langue, de la musique, de la nourriture, et de tout ce que la culture familiale a laissé en lui.C’est un échange riche et nuancé sur l’identité, la transmission intergénérationnelle, le poids de l’histoire familiale, et les ponts que l’on peut bâtir — ou rebâtir — avec son héritage.Un épisode pour tous ceux et celles qui se posent des questions sur leurs origines, sur ce qui nous lie à nos parents, et sur la beauté parfois tardive de se réapproprier son histoire.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Ce mardi, je reçois Maylis, une artiste et photographe avec qui j’ai eu la chance de collaborer pour le shooting de la saison 2 du podcast. On a enclenché l’enregistrement juste après la séance photo — un moment spontané, ancré dans l’émotion du moment, avec l’envie de prolonger notre échange.J’avais besoin de prendre ce temps avec elle. Avoir la chance de travailler avec des personnes de ma communauté, c’est quelque chose qui me nourrit profondément. On a parlé de ce qu'on représentait au lycée, des regards extérieurs, de l’appropriation de nos identités métisses. Ensemble, on a réfléchi à la manière dont on a pris conscience de notre métissage, comment ça nous a façonnés, et à quel point cette conscience peut être mouvante, encore aujourd’hui.Et puis surtout, on a parlé de musique.Comme ancrage, comme héritage, comme moyen de transmission.Comment elle nous connecte à nos cultures, à nos parents, à nos souvenirs, mais aussi à notre propre créativité. C’est un fil conducteur dans nos vies, un territoire commun sur lequel on s’est retrouvés.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Dans cette deuxième partie de notre échange, Eva et moi poursuivons notre conversation en abordant un terrain encore plus intime : celui du corps.Comment les agressions racistes, les micro-agressions, les silences, et le poids du regard des autres s’inscrivent-ils dans la chair ? Quels liens entre trauma psychique et douleur physique ? Comment le corps métis porte-t-il, parfois malgré lui, l’histoire de plusieurs mondes qui ne cessent de se heurter ?On parle de fatigue, de tensions, d’anxiété, mais aussi de cette mémoire corporelle qu’on oublie souvent d’écouter. Un épisode à fleur de peau, entre vulnérabilité et lucidité.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Dans cet épisode intime en deux parties, je me confie à Eva – une amie d’un ami devenue, le temps d’une conversation, une oreille attentive et bienveillante. Ensemble, nous explorons les effets profonds que peuvent avoir le trauma et la discrimination sur les personnes aux identités métissées.Entre psychologie sociale, récits personnels et regards croisés, cet échange sincère ouvre une fenêtre sur les blessures souvent invisibles, les questionnements identitaires, mais aussi sur la résilience et la complexité d’être entre plusieurs mondes.Un épisode vulnérable, nécessaire, et, je l’espère, libérateur pour celles et ceux qui s’y reconnaîtront.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Dans cette deuxième partie de notre échange avec Clarisse, on poursuit notre exploration des identités métisses et ultramarines. On discute là de la nécessité de s’engager – grâce et à cause de nos histoires, de ce que l’on porte en nous, de ce qu’on nous a transmis, et de ce qui nous a été invisibilisé..Clarisse évoque son expérience du racisme et du colorisme à La Réunion, mais aussi le rapport complexe que la France hexagonale entretient avec ses territoires d’Outre-mer. Elle partage ce sentiment d’être française, et même temps de ne jamais tout à fait être sur le même pied d’égalité.On questionne la mise à l’écart des récits des îles, l’oubli volontaire de ces histoires dans le récit national. Et on pose une vérité essentielle : la France s’est construite sur le métissage – et pourtant, elle continue à nier qu’elle est elle-même métisse.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Lors de cette séance en deux volets, je reçois Clarisse, une invitée passionnée et engagée, pour une discussion profonde autour du métissage, des identités ultramarines et de la transmission culturelle.Clarisse est franco-guadeloupéenne, née à La Réunion. Avec elle, on explore la richesse et la complexité de son identité, entre racines, cultures et vécus. Ensemble, on questionne la différence entre "avoir des racines" et "appartenir à une culture", à travers son histoire personnelle.Les territoires d’Outre-mer sont au cœur de son travail de création sur les réseaux, où elle partage des récits, des poèmes et des fragments d’Histoire trop souvent oubliés.On aborde aussi un sujet sensible : la distinction (et parfois la dissociation) entre les territoires d’Outre-mer et les pays d’Afrique. Pourquoi cette volonté d’être perçus comme différents ? D’où vient ce besoin de distinction, et qu’est-ce qu’il dit de nos histoires et de nos imaginaires ?Disponible en deux parties. Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Lorsque j’ai rencontré Gaëtane au travail pour la première fois, j’ai eu cette pensée : "Oh mon dieu, on est ensemble." Très vite, nous sommes devenues amies, et les discussions sur l’identité sont naturellement arrivées. Mais ce qui m’a frappée, c’est que sa réalité est bien différente de celle que je m’étais imaginée.Gaëtane a fait le choix, de par son histoire familiale, son environnement et son éducation, de vivre son métissage sans en avoir la culture. J’admire profondément sa capacité à être à l’écoute, à comprendre les enjeux du métissage tout en restant fidèle à son propre ressenti. Même si nos points de vue diffèrent, je respecte profondément son choix et son vécu, car chaque métisse a le droit de choisir son identité et de définir ce qu’il souhaite en faire.Un épisode où l’on explore les subtilités de l’identité, du métissage, et du respect des choix de chacun.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Je retrouve Anne et Lola pour la suite de notre conversation, et cet échange m’a profondément chamboulée. C’est un épisode qui m’a confrontée à mes propres préjugés, en particulier sur les enfants métissés ayant une mère noire. Je pensais que leur africanité était souvent plus marquée, car c’est la mère qui, selon moi, porte et transmet cette identité. Mais ce que j’ai découvert au cours de cette conversation m’a ouvert les yeux.Anne et Lola partagent des histoires intimes et personnelles sur la relation complexe entre leur mère noire et leur père blanc, sur les défis qu’elles ont rencontrés, mais aussi leurs craintes et leurs avis sur cette double culture. Elles évoquent également leur propre relation avec leur père. Un épisode très émouvant, où les liens familiaux, l’héritage et l’identité se croisent pour offrir un témoignage puissant sur le métissage.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Dans cette nouvelle séance, je discute avec Anne et Lola. Nous plongeons dans l'univers de deux identités métissées à travers le parcours de DJ parisiennes. Ensemble, nous abordons la question de la couleur et du métissage dans le monde de la musique, et comment, en tant que femmes, elles naviguent dans un milieu encore largement dominé par les hommes et par les stéréotypes.Nous discutons de la sexualisation des femmes dans l'industrie musicale, de la manière dont elles sont perçues, ainsi que de la façon dont elles s’affirment à travers leur art. Anne et Lola nous partagent leurs expériences, leurs ressentis, et comment elles vivent la musique à leur manière, loin des stéréotypes qui les associent souvent à un genre de musique particulier.Un échange puissant sur les réalités complexes de la scène musicale, entre identité, expression et empowerment.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette nouvelle séance, je prends la parole seule et je vous parle à cœur ouvert. Je reviens d’un voyage de deux semaines à Cuba, et franchement… j’en suis pas ressortie indemne. Ce podcast, c’est un peu (beaucoup) ma thérapie perso, et j’avais besoin de poser tout ça, de le partager avec vous.J’y raconte ce que j’ai ressenti là-bas, les rencontres qui m’ont marquée, l’histoire incroyable (et souvent méconnue) de l’île, ses liens puissants avec l’Afrique – notamment le Congo et l’Angola – et toute la richesse de la culture afro-cubaine.J’ai aussi beaucoup réfléchi à ce que ça veut dire d’être chez soi, à comment une communauté insulaire s’organise, survit, crée du lien… et à ce que ça réveille en moi, en tant que personne métissée.C’est un épisode très personnel, un peu brut par moments, mais rempli d’émotions. Merci d’être là pour m’écouter, ça me touche toujours autant de pouvoir partager ces morceaux de moi avec vous.Je te souhaite une très bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Lors de cette séance, je reçois à nouveau mon amie Maeva pour discuter d’un sujet qui nous touche profondément : la manière dont la communauté noire semble souvent être celle qu’on critique et rabaisse le plus, comme si la partie noire de notre identité n’était pas entièrement acceptable ou valorisée.À travers nos expériences personnelles et nos réflexions, nous explorons la réalité d’être métis, et comment cette double appartenance peut parfois créer une tension interne entre deux cultures qui, bien que liées par l’histoire, sont perçues différemment par la société.Nous abordons aussi la difficulté de réconcilier cette partie de nous-mêmes, souvent dévalorisée ou ignorée, avec les attentes sociales, et comment cela influence notre image de soi. En réfléchissant à la façon dont les médias, les discours sociaux et même nos proches peuvent renforcer ces stéréotypes et jugements, nous cherchons des pistes pour mieux accepter nos identités multiples et les célébrer pleinement.Je te souhaite une bonne écoute !Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Cette nouvelle séance est la suite et fin de ma discussion avec Laura. On discute ici, de notre métissage et de la manière dont nous le vivons au quotidien. Nous partageons nos expériences personnelles autour de cette identité complexe et souvent mal comprise, en expliquant comment, malgré notre métissage, nous nous sentons profondément connectées à la communauté noire.Laura nous parle avec émotion de son ressenti face aux commentaires de ceux qui tentent de minimiser ou de nier sa part noire. Pour elle, l’idée qu’on puisse lui dire qu’elle "n’est pas noire" est quelque chose qu’elle ne supporterait pas. Cela nous amène à une discussion plus large sur ce que signifie être métisse, sur cette identité hybride qu'on porte fièrement, tout en ressentant une appartenance réelle à la culture noire, tant dans notre vécu personnel que dans le regard des autres.Nous partageons des réflexions profondes sur l’importance de se définir soi-même, sans se laisser enfermer par des cases, tout en assumant fièrement notre héritage métissé et noir.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Dans cet épisode très spécial, je reçois Penda, une femme franco-sénégalaise dont le parcours et les récits sont marqués par des émotions profondes. Pour la première fois, je reçois une personne que je ne connais pas personnellement, mais dont l’histoire m'a touchée et qui a souhaité participer après que l’émission ait fait écho dans sa propre famille. Un geste symbolique : Penda a reçu des images d'archives en cadeau de Noël de sa mère, après que cette dernière ait écouté les épisodes avec ma propre mère, créant ainsi un lien particulier entre nos histoires.Au cours de cet échange, Penda partage son vécu au Sénégal, son ressenti sur la question du métissage dans son pays d’origine et nous plonge dans une histoire fascinante : celle des femmes métisses au Sénégal pendant la période de l’esclavage, une communauté méconnue mais encore très présente dans l’histoire du pays.Un épisode émouvant, riche en découvertes et en partage, où Penda nous raconte ce que c'est de se sentir à la fois chez soi et à la fois en décalage dans son propre pays. Une réflexion poignante sur le métissage, l’identité et la mémoire.Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Dans cet épisode, je reçois mon amie Maeva pour une discussion passionnante sur le métissage, les perceptions de la couleur de peau, et les dynamiques de communauté. Nous revenons sur un extrait du sketch de l'humoriste Fary, dans lequel il aborde l'inconfort des "blancs" lorsqu'ils sont catégorisés dans un groupe ethnique. Un moment cocasse qui met en lumière un paradoxe : pourquoi les autres groupes ethniques sont souvent mis dans des cases, tandis que cette catégorisation devient un sujet de malaise quand elle touche les blancs ?À travers notre échange, on parle de l'importance des regards, des préjugés, mais aussi de la richesse des identités croisées. Un épisode intime et réfléchi qui invite à déconstruire les idées reçues sur la couleur, l'identité et la place de chacun dans la société.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Je retrouve Héléna pour la suite de notre conversation, cette fois-ci plus intime et personnelle. Cette fois, il s'agit de parler de moi, de mes relations amicales et amoureuses, et de la manière dont l’identité métissée et les combats qui l’accompagnent peuvent influencer, voire guider, ces liens.Ensemble, nous abordons les défis auxquels on peut faire face dans des relations, qu'elles soient amicales ou amoureuses, lorsque l’on porte en soi une identité multiple. Comment ces enjeux affectent-ils la manière dont on se connecte aux autres ? Comment le métissage, les préjugés ou les attentes sociales peuvent impacter ces relations ? Un échange sincère et profond, qui invite à réfléchir sur la manière dont l’identité façonne nos liens personnelsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Je retrouve Juliette pour la suite de notre conversation autour du métissage, cette fois-ci centrée sur la manière dont elle aborde la parentalité avec ses enfants, eux aussi métissés. Dans cet épisode, nous discutons de l’importance de prendre soin de l’identité métissée de ses enfants, en commençant par des gestes simples, comme l’entretien des cheveux, mais aussi par des valeurs fondamentales : le partage et l’amour inconditionnel de deux parents.Juliette nous livre ses réflexions sur la manière de nourrir cette identité multiple, d’accepter les différences et de créer un environnement où ses enfants se sentent à la fois aimés et fiers de leur héritage culturel. Un épisode touchant, rempli de sagesse et de conseils sur l’éducation dans le respect des métissages.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Juan, c’est la première personne qui est venu raconter son histoire après avoir écouté les séances de Toffee. Dans cet épisode, je vous invite à découvrir son histoire, un ami, qui a grandi en France après avoir été adopté en Éthiopie par deux parents français et blancs. Son récit est une plongée complexe et profonde dans les problématiques d’identité liées à l’adoption, entre quête de soi et décalage d’histoire.Juan nous raconte les multiples facettes de cette aventure, souvent marquées par des tensions invisibles : la recherche de ses racines, le poids des non-dits, et parfois même des mensonges qui ont façonné son parcours. Comment se construire une identité quand on est né ailleurs, dans un autre pays, une autre culture, et qu’on grandit dans un environnement qui n’est pas le sien ? Comment réconcilier les morceaux d’une histoire éclatée, entre l’amour des parents adoptifs et le besoin de comprendre d’où l’on vient ?À travers son témoignage sincère et bouleversant, Juan explore ces questions universelles de décalage et de recherche de vérité, et nous livre une réflexion poignante sur la manière dont l’adoption façonne une vie. Un épisode à la fois émouvant et éclairant, qui montre à quel point l'identité est un puzzle complexe, entre héritage, mémoire, et la quête d’un passé qui nous échappe.Je te souhaite une bonne écoute,Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Avec Valentin, on parle beaucoup de racisme ordinaire durant toute nos conversations et des agressions auxquelles nous avons du faire face. Dans cet épisode, nous allons regarder toutes les choses qui aujourd'hui nous semblent évidentes de dire, de partager, de combattre, de dénoncer. Les choses que l'on aurait pu ou dû dire dans certaines situations où nous avons été confrontés à l'injustice. Egalement, mes tensions ressenties en étant avec nos amis blancs, et la manière dont le regard peut nous faire questionner sur notre identité, et même sur nos amitiés.Un autre sujet important : le manque d'éducation sur l'histoire des Noirs à l'école. Nous évoquons l'absence de cette dimension dans notre parcours scolaire, et comment nous avons dû, à un moment donné, nous éduquer seuls, parfois trop tard, pour comprendre des enjeux historiques et sociaux essentiels.Je te souhaite une bonne écoute, Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Disclamer : l’intégralité des propos tenus lors des séances sont propres à chacun, ils ne constituent à aucun moment un avis général.Dans cet épisode, Valentin et moi discutons des préjugés auxquels nous avons été confrontés, des violences, parfois invisibles, que l’on peut vivre dans les interactions avec des personnes blanches, mais aussi noires. Nous mettons en lumière le racisme ordinaire, celui qui s’infiltre insidieusement dans les échanges quotidiens et qui nous amène à questionner nos relations avec le monde qui nous entoure.Nous partageons également un aspect plus intime de nos parcours : la relation avec nos parents. Comment nos racines familiales ont-elles façonné notre identité et nos perceptions du racisme ?Cet épisode est une plongée dans les réalités du racisme quotidien et une réflexion sur la manière dont il influence nos vies et nos liens avec les autres.Je te souhaite une bonne écoute, Retrouve des extraits vidéos des séances sur Instagram @toffeecluubHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.