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Ça bouge, dans les médias
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Ça bouge, dans les médias
Author: le podcast de MediaConnect, filiale de l'AFP
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© Hugues Dago
Description
« Ça bouge, dans les médias » est une série d'interviews de quelques minutes, réalisées toutes les deux semaines et désormais, face à des acteurs ou experts des médias. Pour raconter et décrypter cet écosystème, bouleversé à bien des égards.
Un podcast réalisé par l'équipe éditoriale de MediaConnect (https://mediaconnect.com/), filiale de l’AFP et salle de presse numérique.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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79 Episodes
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Vous vous en souvenez peut-être : ce sujet de TF1 avait marqué les esprits.À l’occasion des 80 ans du Débarquement, la chaîne avait diffusé dans son JT une reconstitution immersive, en images de synthèse, des combats du 6 juin 1944.Grâce à la réalité augmentée, virtuelle et mixte, TF1 tente de repousser les limites de la narration journalistique, en donnant vie à des sujets autrefois difficiles à filmer, car relatifs au passé, au futur, ou à l’infiniment petit. Ces formats engagent les audiences. Le sujet consacré aux « limites planétaires » a dépassé les 15 millions de vues (TV + réseaux sociaux). Et celui sur l’histoire du changement climatique a été élu meilleure vidéo de l’année par l'Association Mondiale des Éditeurs de Presse d'Information.Yani Khezzar, responsable de l'innovation de l’information à TF1, est l’invité de notre podcast « Ça bouge dans les médias ». 15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux. Au programme :🔵 Les coulisses de fabrication des sujets🔵 L'impact sur les médias étrangers🔵 L’équilibre entre innovation visuelle et exigence éditoriale🔵 Les sources d’inspiration technologiques et culturellesHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’audiovisuel français est-il en pleine panne créative ? L’affirmer serait « très malhonnête », selon Alexia Laroche-Joubert. Pour la PDG de Banijay France, la filière de l’audiovisuel classique a bien des arguments à faire valoir.Malgré tout, face à la concurrence des plateformes, la baisse des audiences TV et la tendance des chaînes linéaires à recycler les programmes d’hier, le défi créatif paraît immense. En tant que premier groupe de production indépendant au monde, Banijay est passé maître dans la production des programmes de flux et de fiction, pour les chaînes de TV… et les plateformes. De « Koh-Lanta », à « Star Academy », en passant « TPMP » ou « N’oubliez pas les paroles », jusqu’à la dernière série « Culte », signée pour Amazon Prime.Sa dirigeante en France, Alexia Laroche-Joubert, est l’invitée de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux.Parmi les thèmes abordés :Le savoir-faire créatif de la production françaiseCe qui freine la prise de risque de certaines chaînes de TVLa concurrence asymétrique des plateformesL’enjeu de la protection de la propriété intellectuelle (IP)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus que 7 jours avant son grand retour. Le 14 janvier prochain, le festival « Médias en Seine » rouvrira ses portes pour une 7e édition, à nouveau façonnée par le groupe Les Echos–Le Parisien et franceinfo.« Médias, l’ère des défis » sera le thème de cette année… Des enjeux à la fois technologiques, économiques et démocratiques. Pour alimenter la réflexion, plusieurs conférences et des invités de premier plan sont au programme, dont : Rodolphe Belmer (PDG Groupe TF1), le vidéaste Hugo Travers, Pierre Louette (PDG Groupe Les Echos-Le Parisien), Melissa Bell (correspondante internationale chez CNN), ou Agnès Vahramian, nouvelle directrice de la radio franceinfo et l’invitée de notre podcast « ça bouge dans les médias ».15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux.L’ancienne correspondante au Moyen-Orient et aux Etats-Unis revient quelques temps forts de l’événement. Notamment la révélation des nouveaux résultats du Baromètre La Croix-Verian-La Poste, sur la confiance des Français dans les médias. Dans la précédente édition, 57% d’entre eux disaient se méfier des médias dans leur traitement des grands sujets d’actualité. Parmi les thèmes de l’épisode :La remise en cause du concept de fatigue informationnelleLe modèle franceinfo pour sécuriser la confiance du publicLa concurrence des plateformes de divertissementHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Il faut arrêter de mettre des ours polaires partout pour parler du réchauffement climatique ! »Lancé en 2020, le média « Vert » s’est donné pour mission de sensibiliser le plus grand nombre aux enjeux écologiques, avec une approche « simple et funky ». Un travail pédagogique, qui passe également par des formations au sein des rédactions, pour « transformer le paysage médiatique » face à l’urgence climatique.« Vert » refuse l’étiquette de média militant, mais accepte volontiers celle de média engagé. Son dernier son appel aux dons vise à financer son projet « Chaleurs actuelles », pour renforcer son travail d’enquête, « sur l’extrême droite, ses climatosceptiques et ses médias ». Plus de 180 000 € récoltés à date.Pour assurer son indépendance, « Vert » a fait le choix d’un modèle sans publicité, qui repose à 90% sur les dons et où chacun des 6 000 abonnés souscrit à un prix totalement libre.Son cofondateur et rédacteur en chef, Loup Espargilière est l’invité de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux.Le dernier épisode de cette année ! Parmi les thèmes abordés : Le travail de transformation des rédactions à travers le prisme écoloLe portrait-robot des lecteurs du média VertLe lien entre extrême-droite et désinformationLe pari économique du modèle VertHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un étonnant camion jaune aux allures de « food truck »… Peut-être l’avez-vous croisé cet automne ?Sur une aire d’autoroute, un parvis de gare ou une place du marché, le « NewsTruck TropMytho », de l’association Lumières sur l’info, a sillonné l’Île-de-France du 1er au 19 novembre. Avec un objectif : aller à la rencontre des citoyens éloignés de l’actualité.À son bord, des journalistes de divers horizons, embarqués dans cette tournée expérimentale d’éducation aux médias et à l’information (EMI), pour (re)nouer le dialogue avec un public parfois défiant vis-à-vis des médias. Plus de 1500 personnes ont ainsi été abordées, autour d’un café, par ces professionnels de l’information.Depuis 2017, Lumières sur l’info se rend dans des établissements scolaires pour donner des outils face aux « fake news ». Reconnue d’intérêt général, l’association espère, via des opérations comme celle du camion itinérant, toucher bien au-delà des bancs de l'école. Son président, Damien Fleurot, également rédacteur en chef adjoint du service politique de TF1, est l’invité de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux. Parmi les thèmes de l’épisode :la genèse de la campagnela réception du publicles difficultés de financement d’une association d’EMIl’absence de coordination des acteurs d’EMIHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Arrivé à la tête des rédactions des Echos en mai dernier, Christophe Jakubyszyn, a clos une année de crise de gouvernance au sein du titre du groupe LVMH. L’ancien présentateur et directeur de la rédaction de BFM Business se retrouve désormais chef d’orchestre du quotidien économique de référence, chargé de mettre en musique et d’amplifier sa transformation numérique. Fort d’un voyage d’étude entrepris l’été dernier aux Etats-Unis, auprès des équipes du Wall Street Journal, Christophe Jakubyszyn mène aux Echos une réorganisation profonde. Le fonctionnement du journal a été repensé pour rendre son bouclage « permanent », au plus près de l’actualité économique 24h/24, et engager les audiences. Ces abonnés, numériques à 80%, en appellent d’autres : Les Echos entend conquérir les jeunes décideurs et les femmes, qui composent 30% du lectorat du journal. À tous ces publics, Les Echos lance une invitation-slogan :« Prenez un temps d’avance ». Le journal, fondé en 1908, aime à rappeler qu’il a su déceler nombre de signaux faibles qui ont fait les grandes tendances économiques. De l’essor des voitures électriques, à l’intelligence artificielle, en passant par la révolution Netflix. Christophe Jakubyszyn est l’invité du nouvel épisode de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux. Parmi les thèmes abordés : Les conditions de son accession à la tête du journalLes enseignements de son voyage d’étude au Wall Street JournalLa stratégie de conquête des femmes et des jeunes décideursLa concurrence BFM Business/La Tribune Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Certaines agences de communication l’assument : elles proposent des formations spéciales « Cash Investigation » à leur client. Quelle conséquence sur le travail des journalistes de l’émission ? « Cela en fera sans doute une meilleure interview », balaye Luc Hermann, co-directeur de l’agence de presse « Premières Lignes », qui produit la célèbre émission présentée par Elise Lucet sur France 2. Pour le journaliste producteur, l’enjeu est ailleurs : « les communicants font tout pour nous faire les poches ! » En d’autres termes : certains mettraient tout en œuvre pour leur faire barrage. Pour les empêcher de révéler ce qui a fait la réputation de l’émission : des enquêtes capables de faire trembler le monde des affaires. La dernière en date, était consacrée au cabinet de conseil McKinsey. Sans mettre la totalité des communicants dans le même sac, Luc Hermann perçoit dans ces tentatives d’entraves, une grande influence de la figure anglo-saxonne du « spin doctors », à partir des années 2000. Il est l’invité de ce nouvel épisode de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 15 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux. Parmi les thèmes abordés : Quels types d’entraves la rédaction de « Cash Investigation » subit-elle ?Que penser du « media training » assuré par des journalistes au service des communicants ?Les communicants doivent-ils tout dire aux journalistes ?Que dire des communicants qui aident les journalistes à effectuer leur travail ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’actualité est ainsi faite : parfois, les événements s’entrechoquent. Fin septembre, la direction de BFM a donc lancé BFM 2, petite sœur 100% numérique de la célèbre chaîne d’information en continu. Un nouveau canal, en direct, pensé pour offrir de la complémentarité, tout en s’inspirant des codes du « stream ». Et un nouveau territoire d’expression pour les plus de 300 journalistes de la chaîne, qui pourront passer d’une antenne à l’autre, si l’actualité l’exige. Challengée par CNews sur le linéaire, BFMTV augmente ainsi sa force de frappe numérique. Suivie par 20 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux, la marque revendique, sur le seul mois de septembre, 172 millions sur ses sites et applications, pour 102 millions de vidéos vues. Une offre numérique riche, étoffée par le succès de ses productions podcasts. Dont « L’Afterfoot » (RMC), solide leader du marché, ou « Le Titre à la Une », format natif signé BFM. Dans cet épisode, rencontre avec l’architecte du numérique dans le groupe : Julien Mielcarek, Directeur délégué à l’information digitale de BFM et RMC. Parmi les thèmes abordés : les difficultés d’un lancement de chaîne l’évolution des usages et des algorithmes la concurrence de CNewsle bilan de la stratégie podcast du groupe Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’été dernier, sa chaîne YouTube a franchi le cap du million d’abonnés. Mais à la différence de ses confrères Squeezie ou Mister V, Gaspard G n’a pas fait le choix du divertissement, mais celui de l’actualité. Au programme : enquêtes de terrain, décryptages et portraits de personnalités.Pari gagnant pour le jeune homme de 26 ans, qui parvient même à interviewer des personnalités de premier plan. Le dernier en date s’appelle Emmanuel Macron. Un entretien mené en mai dernier, dans l’avion présidentiel, sur le vol retour d’un reportage consacré à la crise en Nouvelle-Calédonie. Gaspard G ne s’est pas seulement frayé un chemin dans la jungle des créateurs de contenus, il apporte sa contribution pour en structurer l’écosystème. Car en plus d’être secrétaire général de l’UMICC (Union des Métiers de l’Influence et des Créateurs de Contenu), le youtubeur a aussi fondé l’agence « Intello » en 2021. Son objet : accompagner dans leurs projets une vingtaine de créateurs de contenus spécialisés dans la vulgarisation des savoirs. Parmi eux : César Culture G… ou Claire Chazal. Parmi les thèmes abordés : Son ambition d’« information servicielle »Les coulisses de son interview du Président MacronSes rapports avec les journalistes « traditionnels »Le développement du « smart content »Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
📣 C'est reparti pour une nouvelle saison de notre podcast, « Ça bouge dans les médias » !Sarkozy/Kadhafi, Bettencourt, ou Cahuzac : ses journalistes ont révélé de véritables affaires d’Etat.Loué ou critiqué, le média d’investigation Mediapart, lancé en 2008 par Edwy Plenel, assume le fait d’être un journal qui « dérange les puissants » et cumule aujourd'hui plus de 220 000 abonnés.Pour assurer son indépendance éditoriale, le titre s'évertue à garantir son indépendance économique. Dès l'origine, le média a donc fait le choix, « à contre-courant » à l'époque, de l'abonnement payant. Refusant publicité, subventions publiques, ou droits voisins des GAFAM. Aujourd’hui 98% de ses revenus proviennent de ses lecteurs et Mediapart a annoncé plus de 2 millions d’euros de résultat net sur l'année 2023. Carine Fouteau a eu la lourde tâche de succéder à Edwy Plenel cette année. La nouvelle présidente et directrice de la publication, est l’invitée de ce nouvel épisode de notre podcast. La suite du journal sans ses fondateursL’impact de ses enquêtes sur la vie publiqueLe modèle économique du titreLes accusations en partisanisme dont il fait l’objetHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel est le point commun entre Anne-Sophie Lapix, David Pujadas et Ruth Elkrief ? …Eh bien tous ont été formés au Centre de Formation des Journalistes.Au top du classement des meilleures écoles de journalisme de France, le CFJ, prestigieux établissement fondé en 1946 par le journaliste et résistant Philippe Viannay, recrute chaque année une cinquantaine d’étudiants, parmi plusieurs centaines de candidatures.Mais comment ces aspirants journalistes sont-ils formés, dans un contexte où désinformation, IA, défiance et précarité viennent percuter la profession ?Stéphanie Lebrun, directrice du CFJ, également cofondatrice de la société de production Babel Doc, répond à toutes ces questions. Elle est l‘invitée de notre podcast #69. Le dernier de la saison ! Parmi les thèmes abordés :L’adaptation des étudiants aux nouvelles technologiesLes armes fournies par l’école pour affronter la désinformationLe souci du CFJ de représenter la société pour répondre à la défianceLes limites fixées à l’engagement des étudiants : le cas du conflit israélo-palestinien Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a « streamé » avec Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot ou Fabien Roussel.Chaque semaine dans son émission « Backseat », Jean Massiet et ses chroniqueurs passent en revue l’actualité politique sur Twitch.Suivi par plus 240 000 personnes sur la plateforme, le vidéaste dit appartenir au mouvement de « l’éducation populaire » et s’est donc fixé un objectif : vulgariser et analyser la politique pour sa jeune audience, âgée de 24 ans en moyenne. Sa manière à lui de sensibiliser cette génération qui se détourne de la chose publique et boude les médias traditionnels.Avec la dissolution de l'Assemblée nationale, Jean Massiet a décidé de multiplier ses émissions et de s’impliquer personnellement : le « streameur », passé par différents cabinets politiques, vient de signer une tribune appelant à voter pour le Nouveau Front Populaire aux prochaines législatives anticipées. Dans ce nouvel épisode de notre podcast, il revient pour MediaConnect sur :les raisons du succès de son émission « Backseat »son regret d’avoir accepté de participer à l’émission « Quelle époque » (France 2)son refus d’inviter des membres du Rassemblement Nationalle « business model » de son émission Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jusqu’à 5 000 photos, 400 dépêches et 40 vidéos par jour. Le tout en 6 langues ?C’est la promesse de l’AFP, dans sa couverture des prochains Jeux olympiques et paralympiques de Paris, du 26 juillet au 8 septembre.Avec plus de 200 journalistes mobilisés, la célèbre agence de presse compte bien se démarquer grâce à sa dimension internationale. Avec un traitement éditorial de l’événement, entre le sportif et l’extra-sportif, entamé il y a maintenant plus de 10 ans.Pierre Galy, son chef du département des sports, est l’invité de ce nouvel épisode de notre podcast « ça bouge dans les médias ».Parmi les thèmes :le dispositif de couverture globale de l’événementla singularité de l’AFP vis-à-vis de la concurrencela place du chauvinisme dans une agence attachée au factuella question des critiques dans le traitement médiatique de l’événementHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec 11 millions d’abonnés sur TikTok, Gala assoie chaque jour un peu plus son rang de 3e compte média le plus suivi au monde sur le réseau social. Devant MTV.Le secret ? Des vidéos coulisses, captées au plus près des célébrités françaises et internationales, lors de grands événements. Des vidéos courtes, brutes, sans commentaire, presque sans montage et immensément virales.Désormais propriété du Groupe Le Figaro, Gala s’est ainsi taillé la réputation de rendre accessible l’inaccessible. A l’image du dernier dîner d’Etat à Versailles, en l’honneur de Charles III.Dans ce nouvel épisode de notre podcast, son directeur de la rédaction, Matthias Gurtler, nous raconte cette « succès story » numérique aux 3 milliards de vues… sur une plateforme chinoise néanmoins menacée dans plusieurs Etats.Parmi les thèmes :les ingrédients d’une recette devenue viralel'avenir incertain du réseau social Tik Tokla monétisation d’une audience considérablel'impact du rachat sur la vie du magazineHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J-1 pour la chaîne M6 : demain, son offre de streaming « 6Play » deviendra « M6+ ». Au programme : 30.000 heures de contenus, principalement issus des programmes phares du groupe.La plateforme de M6 fait peau neuve, quatre mois après le lancement de TF1+, l’offre de streaming du concurrent TF1. Dans un contexte où le temps moyen des Français devant la TV linéaire ne cesse de baisser, au profit de plateformes vidéo de plus en plus nombreuses ces dernières années.Comme la « Une », M6+ a fait le choix d’un modèle hybride, entre la formule gratuite financée par la publicité (AVOD) et l’abonnement (SVOD) pour accéder à certains avantages. Au-delà des contenus, M6 annonce investir 40 millions d’euros dès cette année et compte par ailleurs sur son moteur de recherche boosté à l’IA.Henri de Fontaines, membre du directoire de M6 et directeur du streaming, est l’invité de ce podcast #65.Parmi les thèmes :l’offre M6 et son modèle hybride AVOD / SVODla concurrence TF1+la problématique de trop-plein de contenusl’espérance de vie de la TV linéaireHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On voulait vulgariser et partager leurs savoirs.» Combiner l’expertise universitaire à l’exigence journalistique : telle est la mission de la rédaction de The Conversation France. Dans une époque où règnent la désinformation et l’opinion, ses journalistes ne collaborent qu’avec des académiques et des chercheurs, dans l'objectif de fournir une analyse de l'actualité, à la fois rigoureuse, fiable et indépendante. Déclinaison française d’un réseau international, née en 2015, The Conversation France a noué un partenariat avec 90% des universités du pays et comptabilise désormais plus de 6 millions de pages vues par mois. A la tête de cette rédaction inhabituelle, son directeur Fabrice Rousselot (ancien directeur de la rédaction de Libération), nous en raconte les coulisses, dans ce nouvel épisode de notre podcast dédié au monde des médias. Parmi les thèmes abordés : -la collaboration entre les experts et les journalistes -la garantie d’une ligne éditoriale objective et factuelle -les difficultés rencontrées pendant l’épidémie du COVID-19 -le modèle économique atypique d'un média à but non lucratifHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, place à une rédaction tout à fait singulière. Son nom ? « Citizen Facts. » Ses membres ne sont pas journalistes de métier, mais lycéens, sages-femmes, informaticiens, ou retraités... Tous détestent les fausses informations qui circulent en ligne et n’ont qu’une envie : démonter celles-ci. Un projet citoyen né pendant la crise du Covid-19, face à la montée en puissance des théories du complot et porté par la journaliste Aude Favre, fondatrice de la chaîne YouTube WTFake!, invitée de notre podcast cette semaine. Les enquêtes, menées en « open source », grâce aux compétences de chacun, ont fait l’objet d’une mini-série documentaire diffusée sur ARTE à l’automne dernier. Celle-ci nous plonge dans les coulisses du travail de cette rédaction virtuelle, qui s’efforce de démystifier des sujets bien réels, tels que le discours des « anti-vax », des « anti-IVG » ou la pratique du « greenwashing ». « Citizen Facts » compte aujourd’hui 2 000 « enquêteurs citoyens ». Européens, pour la plupart et tous bénévoles. Aude Favre nous raconte cette folle aventure.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ne l’appelez plus L’Obs, mais bien Le Nouvel Obs. Le célèbre hebdomadaire a officiellement fait peau neuve le 21 mars dernier. Changement de nom. Changement d’identité visuelle. Mais surtout : changement de site Internet, son plus gros chantier. Dans un contexte délicat pour les magazines d’actualité, les ventes du titre ont reculé de 7% en 2023 et l’hebdomadaire, lancé il y 60 ans par Jean Daniel et Claude Perdriel, est de nouveau déficitaire. Il s’est donc fixé un objectif de taille : augmenter le nombre de ses abonnés numériques de 20%, d'ici à 2025. Face à ces nombreux défis, sa directrice générale Julie Joly nous explique comment le newsmag, adossé au groupe Le Monde, entend écrire ce nouveau chapitre de son histoire. Parmi les thèmes abordés : Les grands axes de la nouvelle formule Les ambitions numériques du titre La ligne « clairement progressiste » du newsmag L’absence assumée de synergie éditoriale au sein du groupe Le MondeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les révélations ont eu l’effet d’une détonation.Des accusations de viol et agressions sexuelles portées contre le psychanalyste Gérard Miller en janvier dernier. Ces témoignages, recueillis et publiés par le magazine ELLE, ont ainsi marqué le point de départ de l’affaire, qui totalise désormais plusieurs dizaines d’accusations.Signée Cécile Ollivier et Alice Augustin, l’enquête a aussi permis de rappeler l’ambition du titre féminin : creuser le sillon d’une ligne éditoriale bien plus sociétale, dans un monde post-#MeToo.Une ligne portée par Ava Djamshidi, ancienne grand reporter au Parisien, désormais la rédactrice en chef du ELLE. Sous l’impulsion de Véronique Philipponnat, directrice du magazine et invitée de notre podcast, cette semaine.Emblématique et historique, le titre lancé en 1945 par Hélène Lazareff, revendique aujourd’hui près de 10 millions de lecteurs mensuels au global. Parmi les thèmes de l'épisode :Les raisons du virage éditorial du magazineSa vision transgénérationnelle du féminismeLa déclinaison internationale de la marqueLa santé économique du titre Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi, l'Arcom publie son rapport annuel sur la représentation des femmes en TV et radio. L'an passé, celui-ci faisait état de « résultats quantitatifs en progrès. » Alors cette semaine, à quelques jours du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, « Ça bouge dans les médias » avec Christelle Chiroux, directrice adjointe de l’information à TF1 et directrice déléguée de sa Fondation. En charge de la médiation et de la RSE au sein du groupe, elle porte l'initiative des « Expertes à la Une », programme d'accompagnement qui vise à renforcer la présence des expertes dans les médias, pour leur assurer une meilleure représentation. La 4e promotion sera dévoilée demain, mercredi 6 mars. 15 femmes, expertes de thématiques variées (géopolitique, environnement, aérospatial, etc.) vont ainsi bénéficier du parrainage de journalistes du groupe TF1, mais aussi d'ateliers de coaching et media training, opérés par des entreprises extérieures. Dans cet épisode, Christelle Chiroux revient notamment sur :-Le programme de tutorat de la 4e promotion-Les craintes des femmes expertes-Les origines de l’initiative des « Expertes à la Une »-L’engagement interne et externe du groupe TF1 sur ces questions>>> Pour accéder à l'interview écrite donnée par Christelle Chiroux à MediaConnect en 2023, c'est par ici !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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