« Depuis le 7 octobre je me sens juive de nationalité française », Annie, 61 ans

« L'antisémitisme est la maladie mentale la mieux partagée au monde », Linda, 70 ans

« Dans mon entourage on n'en parle pas », Tal, 17 ans

« J'ai toujours le sentiment d'être le juif de service », Nicolas, 47 ans

« Ma vie a basculé face au silence qui a suivi le 7 octobre », Julie, 44 ans

« Le 7 octobre est ce qui arrive a chaque génération de Juifs », Yaïr, 66 ans

« Je me suis éloignée de beaucoup de monde à cause des réseaux sociaux », Sandy, 24 ans

« Depuis le 7 octobre je ne me définis qu'à travers ma judéité », Dana, 40 ans

« Je ne suis pas surpris mais je suis choqué de l'antisémitisme ambiant », Julien, 38 ans

« Je me dis que les ponts que j'ai créés servent encore à quelque chose », Léa, 33 ans

« Il y a une énorme solidarité qui nous aide à tenir », Esther, 64 ans

« Ce qui me choque c'est l'incapacité de mon entourage à dénoncer le 7 octobre », Audrey, 30 ans

« Cela fait des années que dès qu'il y a des tensions en Israël, il y a des répercussions sur les Juifs en France », Esther, 71 ans

« Quand on a passé la guerre, on n'a pas peur », Armand, 92 ans

« Le 7 octobre, c'est un point de rupture ou de clarification sur l'antisémitisme » Stéphanie, 38 ans

« Je me suis senti en décalage avec le reste du monde » Simon, 20 ans

« Le 7 octobre a réveillé le traumatisme de l'abandon de la société française » Anna, 30 ans

« C'est la première fois que ce conflit prend autant de place dans mon quotidien » Joseph, 19 ans

« Je ne pensais pas que l'histoire se répétait » Élise, 91 ans

« Je suis née juive le 8 octobre » Lisa, 46 ans