(5/5) Isabelle et la pratique de la gym : " C'est bon enfant et ce n'est vraiment que du plaisir "

(4/5) Rémy, cycliste de 77 ans : "Quand je ne peux pas faire de vélo, je ne suis pas bien dans mon corps"

(3/5) Laurence, 53 ans, fan de randonnée : " Un moment où je me retrouve seule et où je repousse mes limites "

(2/5) Vanessa joue au tennis en famille : "Tout ce que je veux, c'est passer un bon moment avec mon fiston"

(1/5) Stéphanie, adepte de fitness : "Avec mon boulot stressant, le sport, c'est une bouffée d'oxygène"

(5/5) Nicolas Andrieu, directeur de bureau d'étude : " Sur le bateau, tout est listé, protégé et numéroté "

(4/5) Ronan Martin, préparateur physique de skippers : "80% des activités concernent les membres supérieurs"

(3/5) Marie Lattanzio, directrice du projet Vendée Globe d'Eric Bellion : " J'ai mon téléphone allumé H24 "

(2/5) Guillaume Combescure, directeur technique et responsable de la cellule à terre de Charlie Dalin

(1/5) Vendée Globe, Ewen Le Clech est Boat-Captain : "Je pense qu'on connait mieux le bateau que le skipper"

(5/5) Gaël Fickou, rugbyman au Racing: " Notre éducation fait qu'aujourd'hui, c'est fluide avec les arbitres "

(4/5) Franck Séguéla, basketteur : " En 3*3, on n'a pas le temps de s'arrêter sur une décision arbitrale "

(3/5) Alexandra Collin, arbitre semi-professionnelle : "L'arbitrage, c'est de la gestion humaine"

(2/5) Simbala, 11 ans : "Quand je regarde des matches de foot, je préfère les arbitres"

(1/5) Christian Karembeu, ancien joueur de foot : "J'ai été suspendu six mois pour avoir poussé un arbitre"

(5/5) Sabine Fourmy s'occupe des adultes aquaphobes : "Il y a énormément de gens qui ne savent pas nager"

(4/5) Matthieu Jouvion-Plée, chef de bassin à Massy : "On est en pénurie pour fonctionner normalement"

(3/5) Nicolas Miquelestorena, chef du pôle compétition natation de Massy: "C'est le travail de tout un club "

(2/5) Myriam Méhigueni, jeune nageuse de 13 ans, licenciée à Massy : " Je me sens bien dans l'eau "

(1/5) Lucas Le Guenno, maître-nageur sauveteur à la piscine de Massy : " On ne nous dit pas souvent bonjour "