Émission proposée en partenariat avec Weelz!

En plateau – Nathan Douillard

Si le vélo était une ponctuation, ce serait quoi ?

• Trois points de suspension, comme une histoire qui n’est pas terminée, qu’il faut imaginer ?


• Un point. Tout con. Tout bête. La séparation entre la fin d’un moment, d’une vie et le début d’une autre.


• Un point d’interrogation, parce que le vélo soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses. Parce que la quête de ses réponses est un chemin que l’on voudrait sans fin.


• Un point d’exclamation, parce que le vélo, c’est la surprise, l’enchantement, l’émotion


• une parenthèse, ou deux. Parce qu’à vélo le moment est hors du récit, un aparté, une précision


• un point-virgule pas tout à fait un point, pas tout à fait une virgule, le point virgule  sert à équilibrer une phrase longue… A vélo, le point virgule serait cela, une pause, qui n’en pas pas tout à fait une de la journée de la semaine qui s’étire.


• Deux points : parce que le vélo apporte une énumération, une longue liste


• Le vélo serait-il des guillemets, un tirait, un crocher, une accolade


• Le vélo serait-il une virgule, un moment de respiration, qui semble ne rien changer mais qui change tout. Ce petit signe insignifiant mais indispensable en grammaire.

“Allons manger les enfants” ou “allons manger, les enfants”…

Mon invité du jour, quel signe de ponctuation il proposerait pour définir ce qu’est le vélo pour lui. La virgule, peut-être. En tout cas, c’est le nom de son entreprise. La virgule est une petite boîte, qui l’air de rien, a de grandes ambitions. Les ambitions sont-elles en terme de chiffre d’affaire ? D’impact ? C’est quoi la virgule ?

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L’agenda vélo de la semaine… Pas d’agenda émission enregistrée

Chronique Abel Guggenheim :

Musique : Elifelet 23 Sababa 5

Réalisation : Jérôme Sorrel / Montage final et mise en ligne : Olivier Grieco.