ALERTE : LA NOUVELLE ARNAQUE DES BANQUES POUR TOUT VOUS PRENDRE ! | GPTV
Description
Le 11 septembre 2025 à 19h, Gérard Faure-Kapper, Michel Guillaud et Christophe Degraeve étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
Gérard Faure-Kapper est un ex-banquier au Crédit Mutuel devenu militant contre les abus bancaires. Fondateur de l’APLOMB, il aide particuliers et entreprises à contester les frais illégaux. Auteur engagé, il a remporté plusieurs victoires judiciaires notables et sensibilise le public aux dérives du système.
Michel Guillaud, ancien directeur financier et fiscaliste, diplômé de Sciences Po, est président et cofondateur de France Conso Banque. Il œuvre pour défendre les usagers bancaires, dénonce les pratiques abusives et milite pour un meilleur équilibre entre banques et clients, notamment lors de litiges médiatisés.
Christophe Degraeve est avocat au barreau de Paris, associé au cabinet @MARK. Spécialisé en propriété intellectuelle, il conseille ses clients en France et à l’international. Il est aussi Directeur Général de l’entreprise KPF SI, basée à Lille.
Le piège des frais bancaires abusifs
Les banques imposent aux artisans et petites entreprises une série de frais qui deviennent vite insoutenables : commissions d’intervention, agios, frais de rejet, etc. Ces coûts s’accumulent souvent sans explication claire, dissimulés derrière un jargon technique.
Ce système ne vise pas à accompagner les clients, mais à exploiter leur fragilité. Une simple difficulté de trésorerie peut entraîner des centaines d’euros de frais, totalement déconnectés du service rendu. Chaque incident devient une source de profit pour la banque, qui transforme les défaillances en rente.
Les indépendants et commerçants se retrouvent piégés, leurs difficultés amplifiées par des frais injustifiables. Le mécanisme ne relève pas de la gestion, mais de la prédation institutionnalisée.
L’endettement et la faillite organisée
Au-delà des frais, les contrats de crédit contiennent des clauses piégeuses : taux réels flous, assurances gonflant les coûts, restrictions de remboursement. Ces pièges enferment les emprunteurs dans une spirale infernale.
La relation bancaire devient une dépendance où chaque respiration financière est facturée. Le soutien disparaît dès que la situation se tend, provoquant la faillite. Chaque année, des milliers d’entreprises disparaissent non à cause d’un manque de clients, mais sous l’effet direct de ces logiques prédatrices.
Loin de soutenir l’économie, les banques contribuent à sa destruction, sacrifiant le tissu productif pour maximiser leurs profits à court terme.
Une guerre silencieuse contre l’économie réelle
Le système bancaire concentre les richesses au détriment de ceux qui produisent. Chaque artisan ruiné alimente une logique de centralisation qui affaiblit l’économie nationale.
Derrière l’apparence d’un service essentiel se cache une stratégie de prédation. La banque ne soutient pas l’économie, elle la parasite. Elle prospère sur la fragilité, capte la richesse, et sert une minorité privilégiée, accentuant la disparition des entreprises productives.
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