Le Campus du numérique public est né d’une conviction : l’État ne peut pas se transformer sans investir dans les compétences de ses agents.

La transformation numérique ne se décrète pas, elle s’apprend et s’incarne.

Dans cet épisode, Fadila Leturcq, cheffe du Campus, raconte :

Pourquoi le Campus ?

• Pour combler un angle mort : les compétences numériques des agents publics. Avec un objectif clair : renforcer la souveraineté par la compétence et redonner aux agents confiance et pouvoir d’agir.

Comment l’aventure a commencé ?

• Six mois d’investigation, une équipe pluridisciplinaire, des méthodes agiles inspirées des startups d’État, et une volonté de bâtir une offre qui s’appuie sur l’existant tout en comblant les manques.

Ce qui a été lancé :

• Un catalogue hybride (formations en ligne, en présentiel, communautés), des produits inédits comme le Booster Agilité, des modules sur l’IA, la communication agile, ou encore le rôle de conseiller en stratégie numérique.

Le rapport d’étonnement après 18 mois :

• Les besoins sont immenses et les attentes fortes.
• Impossible de tout faire en interministériel : il faut s’appuyer sur les partenaires, les ministères et les formateurs internes.
• La formation n’est pas neutre : avoir accès à la formation, c’est avoir accès au pouvoir.
• La formation doit être pensée comme un investissement structurant, pas un coût.

Et demain ?

• Cap sur l’IA, la résilience des dirigeants, de nouvelles promotions du Booster Agilité, et le passage à l’échelle d’ici 2026.

Un épisode qui montre comment, derrière chaque agent formé, se joue la capacité de l’État à tenir sa promesse de service public à l’ère numérique.

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