EUROPE MAFIEUSE : LES RÉVÉLATIONS DU COMMISAIRE MARTY ET DE LUDOVIC MALOT | LA MATINALE GPTV
Description
Le 6 octobre 2025 à 7h, Claude Janvier, Olivier Piacentini, Ludovic Malot et Hubert Marty-Vrayance étaient les invités de Nicolas Stoquer, en direct dans La Matinale de GPTV.
Claude Janvier est écrivain et essayiste. Il s’illustre par ses prises de position critiques sur la société et le pouvoir. Il a publié plusieurs ouvrages, dont L’État profond français.
Olivier Piacentini est essayiste, diplômé de Sciences Po Paris, spécialisé en mondialisation et géopolitique. Il est l’auteur de La mondialisation totalitaire, Vers la chute de l’Empire occidental et La chute finale : l’Occident survivra-t-il ?.
Ludovic Malot est théologien et historien des religions. Il analyse les liens entre élites mondialistes et déclin civilisationnel. Il a publié plusieurs essais sur les mutations spirituelles et politiques contemporaines.
Hubert Marty-Vrayance, ancien commissaire des RG, a aussi travaillé pour le SCTIP, notamment au Gabon. Il est connu pour ses analyses critiques sur l’évolution du pouvoir en France.
L’État profond français verrouille le pouvoir et la corruption politique
Selon les invités, la France n’est plus gouvernée, mais verrouillée. Lecornu illustre l’impasse : sans majorité, noyé dans un système bloqué par une oligarchie tentaculaire composée de hauts fonctionnaires, magistrats, financiers et mafias. Les partis ne représentent plus que des vitrines au service d’un pouvoir qui siphonne l’argent public via des réseaux opaques, hors de toute légitimité démocratique.
La République, confisquée, est dirigée par des clans. L’élite, guidée par l’argent, a érigé un système où votes et décisions s’achètent. L’État profond fonctionne comme une mafia : parrains, hommes de main, omerta. Médias sous contrôle, opposition neutralisée. De Mitterrand à Sarkozy, tous ont servi le même capitalisme prédateur. La démocratie devient un théâtre : illusion de choix, trahison continue.
La corruption généralisée comme mode de gouvernance
La corruption n’est plus un dysfonctionnement, mais le mode opératoire du pouvoir. Ministères, mairies, entreprises publiques sont tenus par des intérêts privés. Lecornu est présenté comme symbole de cette technocratie déconnectée. Les lois favorisent une élite pendant que le peuple paie l’inflation, les taxes et la dette d’un État mafieux.
Les médias dissimulent cette réalité. Possédés par des milliardaires, ils fabriquent le consentement, inversent les responsabilités, censurent les voix dissidentes. Le véritable extrémisme serait celui du pouvoir financier. Pendant ce temps, la France se vide de son âme et perd toute autonomie.
Le référendum suisse, miroir d’une démocratie truquée
L’exemple suisse confirme ce diagnostic. Ludovic Malot révèle qu’à quatre jours du vote sur l’identité numérique, trois géants (Ringier, TX Group, Swisscom) ont injecté 200 000 francs suisses en faveur du OUI. Swisscom, partiellement détenue par l’État, a violé la neutralité démocratique.
Ce référendum devient un cas d’école : manipulation, financement orienté, consentement acheté. Même la Suisse glisse vers une démocratie simulée. Le numérique devient un outil de contrôle : traçabilité, surveillance, restriction des libertés. Le vote populaire est vidé de sens, remplacé par la logique financière.
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