Episode 14 - La bioéconomie caribéenne
Update: 2024-04-17
Description
A l'heure actuelle, le monde entier parle de souveraineté alimentaire. Chaque continent, pays, île discute autour de la relocalisation de la production, notamment agricole, tout en continuant d'importer (pour nous, les systèmes insulaires), plus de 95 % de nos ressources.
C'est à dire qu'entre le dire et le faire, il y a un pas énorme à franchir, d'autant qu'il faut savoir à quelle échelle on se situe.
Par exemple, en zone Caraïbes doit-on réfléchir à l'échelle de l'île ? Des l'archipel ? Régionalement avec les îles autour ?
Un programme de recherche a tenté de répondre à toutes ces questions : caractériser les productions locales, puis de les comparer, dans la méthode, les résultats. Et aussi, (surtout ?) faire se rencontrer tous ses acteurs.
J'ai reçu à mon micro le coordinateur de ce projet qui mélange économie, agriculture et politique.
Harry Ozier-Lafontaine est un infatigable optimiste, qui réfléchit sans relâche à tout ça. Quand on l'écoute, on s'aperçoit vite que pour lui, la coopération caribéenne c'est assez simple à mettre en œuvre.
Non seulement nos territoires sont complémentaires, mais en plus nous sommes tous rompus à pratiques agricoles proches. Et ce qu'il manque, c'est comme souvent, une volonté politique forte.
Je vous souhaite une bonne écoute de cette conversation, un peu dense, je vous l'accorde, mais passionnante.
C'est à dire qu'entre le dire et le faire, il y a un pas énorme à franchir, d'autant qu'il faut savoir à quelle échelle on se situe.
Par exemple, en zone Caraïbes doit-on réfléchir à l'échelle de l'île ? Des l'archipel ? Régionalement avec les îles autour ?
Un programme de recherche a tenté de répondre à toutes ces questions : caractériser les productions locales, puis de les comparer, dans la méthode, les résultats. Et aussi, (surtout ?) faire se rencontrer tous ses acteurs.
J'ai reçu à mon micro le coordinateur de ce projet qui mélange économie, agriculture et politique.
Harry Ozier-Lafontaine est un infatigable optimiste, qui réfléchit sans relâche à tout ça. Quand on l'écoute, on s'aperçoit vite que pour lui, la coopération caribéenne c'est assez simple à mettre en œuvre.
Non seulement nos territoires sont complémentaires, mais en plus nous sommes tous rompus à pratiques agricoles proches. Et ce qu'il manque, c'est comme souvent, une volonté politique forte.
Je vous souhaite une bonne écoute de cette conversation, un peu dense, je vous l'accorde, mais passionnante.
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