Deux étudiants de l’EPFL veulent encourager la population à louer leurs objets du quotidien. Ils vont lancer à la fin du mois de mai une application nommée Bobi. Le concept : mettre les objets que l’on n’utilise que peu en location.

Ne laissez pas votre appareil à raclette prendre la poussière entre deux repas. A l’origine de cet appel : deux étudiants de l’EPFL. Ils vont lancer, à la fin du mois de mai, une application nommée Bobi. Le principe : les utilisateurs proposent des objets qu’ils n’utilisent pas au quotidien à la location. Une manière de lutter contre la surconsommation. Maxime Dargent, co-créateur de l’application, nous explique comment est née cette idée.

Plusieurs initiatives de ce type ont déjà vu le jour, notamment les étiquettes à coller sur sa boîte aux lettres pour prêter des objets à ses voisins. Qu’est-ce que Bobi apporte de différent ? Réponse de Julien Jeandroz (z à prononcer) et Maxime Dargent, co-créateurs de l’application.

Les deux étudiants conseillent de louer l’objet à un prix avoisinant 5% du prix d’achat. Un appareil à raclette acheté 100 francs serait ainsi loué à 5 francs la journée. 

Mais que se passe-t-il si l’on loue notre bien à un utilisateur peu soigneux ? Réponse de Julien Jeandroz (z à prononcer) et Maxime Dargent, co-créateurs de l’application.

Plus d’information sur cette application sur les réseaux sociaux de Bobi ou sur bobi.app.