SOMMES-NOUS DÉJÀ EN GUERRE CONTRE LA RUSSIE ? | LA MATINALE GPTV
Description
Le 1er octobre 2025 à 7h, Finn Andreen, Stéphane Bonnard, le colonel Jacques Baud et John de Point de Rupture étaient les invités de Nicolas Stoquer, en direct dans La Matinale sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé en géopolitique et économie. Il intervient dans plusieurs médias pour décrypter les dynamiques internationales.
Stéphane Bonnard est expert en géopolitique et armement. Ancien membre du SGDN, il anime la chaîne YouTube « Réinformation sur le Monde ».
Jacques Baud est un ancien colonel de l’armée suisse, spécialiste du renseignement. Il a travaillé pour les services suisses, l’ONU et l’OTAN, et publié de nombreuses analyses sur la guerre en Ukraine.
John est l’animateur du média Point de Rupture, un podcast quotidien conservateur axé sur les fractures de notre époque et la critique des récits dominants.
Sommes-nous déjà en guerre avec la Russie
L’Europe s’engageait dans une spirale suicidaire face à la Russie. En cédant à l’hystérie de ses élites atlantistes, elle devenait cobelligérante. Les livraisons d’armes à Kiev plaçaient les capitales européennes dans une confrontation directe avec Moscou.
La mort de soldats européens en Ukraine ne relevait plus de la rumeur. Les gouvernements masquaient ces pertes. Bruxelles, loin de chercher la désescalade, alimentait la guerre en inventant des menaces comme les drones russes. Ce climat entretenait un conflit que l’Europe assumera seule.
L’UE ne faisait plus preuve d’autonomie. Les livraisons de missiles capables de frapper Moscou démontraient que l’Europe avait pris parti, sans mandat populaire. L’affaire du faux drapeau en Pologne, impliquant des drones russes modifiés par Kiev, exposait la duplicité ukrainienne et l’aveuglement européen.
Des centaines de soldats européens seraient morts, dans le silence. Moscou considérait désormais Bruxelles comme un ennemi.
Le désengagement américain face au bourbier ukrainien
Washington n’espérait plus gagner. L’objectif initial était d’affaiblir la Russie. Désormais, l’Amérique voulait sortir, face aux coûts colossaux. Le débat sur les missiles Tomahawk révélait une fracture : une escalade entraînerait une riposte russe.
Contrairement à l’Europe, les États-Unis mesuraient le risque. Les dirigeants européens, eux, multipliaient les alertes sécuritaires pour piéger Washington, refusant son retrait.
La stratégie : présenter Moscou comme menace existentielle pour forcer les Américains à rester. Mais ces derniers n’en avaient plus les moyens ni la volonté. L’Europe poussait désormais seule vers l’escalade.
La poudrière baltique provoquée par l’Europe
La Baltique devenait un nouveau foyer de tensions. L’Estonie et la Finlande entravaient les navires russes. Moscou réagissait par le déploiement de MiG-31.
L’Europe, inconsciente, risquait une riposte massive. Chaque provocation pouvait déclencher une guerre ouverte.
Des drones étaient signalés à travers l’Europe, entretenant un climat de peur. Cette guerre psychologique préparait l’opinion à un conflit. Moscou avait pourtant averti : toute atteinte à sa souveraineté déclencherait une réponse militaire. L’Europe flirtait avec la guerre, sans en mesurer les conséquences.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/