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Seniors... et alors ? Profitez de votre retraite
Seniors... et alors ? Profitez de votre retraite
Author: Nostalgie Belgique
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Description
Seniors... et alors ? est le podcast dédié aux seniors modernes qui souhaitent vivre pleinement leur âge, vivre leur retraire en harmonie et profiter de chaque instant. Présenté par Sabine Mathus sur Nostalgie+, ce rendez-vous audio explore tous les sujets qui concernent les plus de 55 ans, avec des conseils, des témoignages et des astuces pratiques pour vieillir en harmonie avec soi et les autres.
Parce que la retraite est une nouvelle aventure, il est essentiel de prendre soin de soi et de s’informer pour vivre cette période, en harmonie, avec dynamisme et sérénité. Seniors... et alors ? aborde une multitude de thèmes qui touchent directement les seniors d’aujourd’hui. La santé est au cœur des préoccupations : comment prévenir les maladies chroniques comme l’arthrose, le diabète ou l’hypertension ? Quels sont les secrets pour bien dormir, préserver sa mémoire et garder une bonne vitalité au fil des années ? Des médecins, nutritionnistes et spécialistes du bien-être apportent des éclairages concrets et faciles à appliquer au quotidien.
Le bien-être physique et mental occupe aussi une place centrale dans ce podcast. L’importance d’une activité physique adaptée après 55 ans, les bienfaits de la marche, du yoga ou encore des exercices de renforcement musculaire sont expliqués en détail. Mais le bien-être passe aussi par l’équilibre émotionnel et la confiance en soi. Comment appréhender cette nouvelle étape de la vie, s’épanouir après la retraite, trouver de nouveaux projets, cultiver des relations épanouissantes avec ses proches et rester curieux du monde qui nous entoure ?
La sexualité et la vie affective ne sont pas oubliées. Désir après 60 ans, rencontres tardives, complicité dans le couple, impact des bouleversements hormonaux sur la libido… ces sujets, souvent tabous, sont abordés sans jugement, avec des spécialistes qui répondent aux questions que l’on n’ose pas toujours poser.
Seniors... et alors ? s’adresse à tous ceux qui veulent casser les idées reçues sur l’âge et prouver qu’il est possible de rester actif, indépendant et heureux après 55 ans. Que vous soyez déjà à la retraite ou encore en activité, en pleine forme ou en quête de nouvelles habitudes de vie plus saines, ce podcast vous accompagne avec des conseils pratiques, des échanges bienveillants et des interviews de personnalités inspirantes.
Disponible sur Nostalgie+ et sur toutes les plateformes d’écoute, Seniors... et alors? est le compagnon idéal pour mieux comprendre les enjeux du vieillissement et en faire une véritable opportunité pour se réinventer, pour aborder la pension avec énergie, sans stress et vivre une retraite en harmonie.
Parce que la retraite est une nouvelle aventure, il est essentiel de prendre soin de soi et de s’informer pour vivre cette période, en harmonie, avec dynamisme et sérénité. Seniors... et alors ? aborde une multitude de thèmes qui touchent directement les seniors d’aujourd’hui. La santé est au cœur des préoccupations : comment prévenir les maladies chroniques comme l’arthrose, le diabète ou l’hypertension ? Quels sont les secrets pour bien dormir, préserver sa mémoire et garder une bonne vitalité au fil des années ? Des médecins, nutritionnistes et spécialistes du bien-être apportent des éclairages concrets et faciles à appliquer au quotidien.
Le bien-être physique et mental occupe aussi une place centrale dans ce podcast. L’importance d’une activité physique adaptée après 55 ans, les bienfaits de la marche, du yoga ou encore des exercices de renforcement musculaire sont expliqués en détail. Mais le bien-être passe aussi par l’équilibre émotionnel et la confiance en soi. Comment appréhender cette nouvelle étape de la vie, s’épanouir après la retraite, trouver de nouveaux projets, cultiver des relations épanouissantes avec ses proches et rester curieux du monde qui nous entoure ?
La sexualité et la vie affective ne sont pas oubliées. Désir après 60 ans, rencontres tardives, complicité dans le couple, impact des bouleversements hormonaux sur la libido… ces sujets, souvent tabous, sont abordés sans jugement, avec des spécialistes qui répondent aux questions que l’on n’ose pas toujours poser.
Seniors... et alors ? s’adresse à tous ceux qui veulent casser les idées reçues sur l’âge et prouver qu’il est possible de rester actif, indépendant et heureux après 55 ans. Que vous soyez déjà à la retraite ou encore en activité, en pleine forme ou en quête de nouvelles habitudes de vie plus saines, ce podcast vous accompagne avec des conseils pratiques, des échanges bienveillants et des interviews de personnalités inspirantes.
Disponible sur Nostalgie+ et sur toutes les plateformes d’écoute, Seniors... et alors? est le compagnon idéal pour mieux comprendre les enjeux du vieillissement et en faire une véritable opportunité pour se réinventer, pour aborder la pension avec énergie, sans stress et vivre une retraite en harmonie.
25 Episodes
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Senior et Alors, le podcast du bien-vivre de Nostalgie Plus. Aujourd’hui, un geste simple, presque oublié, qui peut pourtant transformer notre quotidien : tenir un journal.Enfant, adolescent, beaucoup d’entre nous ont déjà confié leurs secrets à un carnet, sous forme de journal intime. Puis la vie a défilé : travail, famille, responsabilités… et l’écriture personnelle s’est peu à peu effacée. Pourtant, après 55 ans, au moment où l’on se retourne sur son parcours et où l’on prépare la suite, le journaling peut devenir un formidable chemin de connaissance de soi.Nous écrivons souvent pour les autres : listes de courses, courriers, e-mails, démarches administratives… Mais si nous écrivions, enfin, pour nous-mêmes ? Avec un simple stylo et un cahier, vous pouvez explorer les rôles que vous endossez au quotidien : parent, grand-parent, ami, collègue, voisin, aidant… Demandez-vous :Quels sont les rôles que je joue ?Qu’ai-je fait hier, et qui étais-je dans ces moments-là ?Qu’est-ce que tout cela me fait ressentir ?Au fil des jours, si vous restez assidu(e), des thèmes et des schémas vont apparaître. Vous verrez plus clair dans vos envies, vos limites, vos fatigues, vos élans. Votre journal est un espace sans jugement, sans tabou : personne ne le lira. Écrivez librement, sans vous soucier de l’orthographe ni du style.Installez-vous toujours au même endroit, pourquoi pas avec une petite bougie ou une tasse de thé : faites-en un rituel rien qu’à vous.Cette introspection douce vous aidera à mieux vous comprendre, à accueillir vos émotions et, petit à petit, à gagner en énergie et en estime de vous.
Seniors, et alors ? Le podcast du bien-vivre de Nostalgie Plus. Lorsque les jours raccourcissent et que la lumière se fait timide, beaucoup ressentent ce petit voile gris qui s’installe. La luminothérapie apparaît alors comme une alliée douce, naturelle… et redoutablement efficace.La lumière n’influence pas seulement notre moral : elle joue aussi sur la concentration, le sommeil, l’énergie et même la libido. Depuis longtemps, les poètes décrivent cette mélancolie hivernale. Baudelaire parlait déjà de « ce ciel bas et lourd » qui pèse sur l’âme. Mais il faudra attendre 1984 pour que la science démontre clairement la responsabilité de la lumière dans la dépression saisonnière et les variations d’humeur liées à l’hiver.Chaque changement de luminosité agit sur notre horloge biologique, cette formidable mécanique interne qui dicte nos cycles : sommeil, vigilance, appétit, dynamisme. Quand l’hiver s’installe, cette horloge peut se dérégler, provoquant fatigue, moral en baisse ou sommeil perturbé.La luminothérapie éclaire alors littéralement notre santé. Comment ? Le principe est simple : une lampe spéciale diffuse un rayonnement mesuré en lux, une intensité bien supérieure à celle d’un éclairage domestique. La lumière passe par le nerf optique pour atteindre le cœur du cerveau, jusqu’à l’hypothalamus, véritable chef d’orchestre de nos hormones :Plus de sérotonine le jour pour stimuler l’humeur,Plus de mélatonine le soir pour apaiser et favoriser le sommeil.L’idéal est de commencer doucement : 10 à 20 minutes les premiers jours, puis augmenter progressivement selon les recommandations. Toujours, toujours demander l’avis de votre médecin avant de commencer, surtout si vous êtes sensible des yeux ou sous traitement spécifique.Parce qu’en hiver, se donner de la lumière, c’est se donner du soin.
Seniors, et alors ? Le podcast du bien-vivre de Nostalgie Plus. Aujourd’hui, penchons-nous sur ces messagers discrets qui nous accompagnent depuis toujours : nos cheveux, notre peau et nos ongles. À tout âge — et plus encore après 55 ans — ils nous parlent, ils nous préviennent, ils nous informent. Encore faut-il savoir les écouter.Commençons par nos cheveux. Leur cycle est immuable : un cheveu pousse plusieurs années, tombe naturellement, puis laisse place à un nouveau. Ce processus se répète environ 25 fois au cours de notre vie. Il est même normal de perdre un peu plus de cheveux au printemps et en automne, lorsque lumière et températures changent. En revanche, une chute importante qui s'étire sur plus de deux à trois mois n’est pas anodine : une carence en fer peut en être la cause. Là, le signal mérite d’être entendu.Passons à la peau, notre premier manteau. Elle se dessèche avec l’âge, c’est vrai, car le film hydrolipidique qui la protège devient plus fragile. Mais notre mode de vie y joue aussi un rôle : le soleil, le tabac, la déshydratation ou une eau calcaire peuvent l’assécher et la rendre plus fine, plus vulnérable. Une peau qui tiraille n’est pas seulement un inconfort : c’est un message.Et puis il y a nos ongles, sentinelles discrètes mais bavardes. Cassants ou dédoublés ? Peut-être des produits ménagers, sans gants… ou une carence en fer. Jaunis ? Possiblement une mycose. Striés ? Un petit traumatisme, parfois ancien. Chaque signe peut raconter quelque chose de notre santé. Une consultation médicale est toujours sage pour ne pas passer à côté d’un déséquilibre.Car au fond, notre objectif à tous reste le même : être en forme, de la tête aux pieds, avec douceur, lucidité et bienveillance.
Seniors, et alors ? Le podcast du bien-vivre de Nostalgie Plus s’intéresse aujourd’hui à un phénomène bien actuel : la dermorexie, cette obsession d’obtenir une peau parfaite, sans pores, sans rides, sans défauts.Après le corps idéal et l’alimentation parfaite, c’est désormais la peau qui devient le centre de toutes les attentions — et parfois de tous les excès. Le mot dermorexie vient du grec dermo (la peau) et du suffixe -rexie, utilisé pour parler des troubles obsessionnels. Popularisé aux États-Unis, il traduit une quête effrénée de perfection cutanée, amplifiée par les réseaux sociaux et leurs filtres lissants.Dans les cabinets dermatologiques, les demandes explosent : peau plus lisse, plus lumineuse, plus jeune. Les vidéos de “routines beauté”, devenues virales depuis la pandémie, ont imposé de nouveaux standards. Après le maquillage sophistiqué, c’est désormais le règne du “naturel travaillé”, obtenu à grands renforts de sérums et de soins répétés.Mais derrière cette recherche de perfection, se cache souvent un mal-être plus profond. L’impression de devoir correspondre à des codes de beauté inatteignables provoque anxiété, stress et perte d’estime de soi. Le paradoxe, c’est qu’à force d’en faire trop, la peau finit par saturer : les actifs cosmétiques s’annulent ou ne sont plus absorbés correctement.La véritable beauté, c’est celle d’une peau vivante, expressive, qui raconte votre histoire. La consultation dermatologique, elle, reste la voie la plus sûre pour retrouver équilibre et bienveillance envers soi-même.
Seniors, et alors ? Le podcast du bien-vivre de Nostalgie Plus s’attaque aujourd’hui à un sujet universel : le craquage alimentaire.Qui n’a jamais eu une envie soudaine de fromage, de chips ou de chocolat ? Ces pulsions nous tombent dessus sans prévenir, souvent après une journée stressante ou une nuit trop courte. Pas de panique : tout le monde connaît ces petits écarts, mais il est possible de les comprendre pour mieux les maîtriser.Les chercheurs l’ont démontré : les zones de notre cerveau qui gèrent les émotions sont aussi celles qui contrôlent la faim. Lorsque l’on se sent tendu, fatigué ou triste, notre organisme déclenche un besoin de réconfort. Et quoi de plus réconfortant qu’un aliment sucré, salé ou gras ? En un instant, le circuit du plaisir s’active et nous apaise.Mais attention : se priver trop sévèrement ou suivre un régime trop restrictif crée le phénomène inverse. La frustration augmente, l’envie grandit, et la culpabilité s’installe. C’est un cercle vicieux. Mieux vaut apprendre à écouter son corps :Une envie de salé peut indiquer un manque de sodium.Après le sport, un besoin de protéines est naturel.La fatigue ou le manque de sommeil amplifient les grignotages.Certaines périodes de la vie, comme la ménopause, ou la prise de médicaments peuvent aussi dérégler les signaux de faim et de satiété.Le secret ? Trouver la juste mesure, adopter une alimentation équilibrée et ne pas diaboliser les plaisirs. Se faire aider par un professionnel peut aussi être précieux pour retrouver un rapport serein à la nourriture.
On les retrouve dans les sodas light, les sirops sans sucre, les pastilles pour la gorge, les chewing-gums, certains dentifrices, voire même des compléments alimentaires aux allures inoffensives. Les édulcorants sont partout. Mais que savons-nous réellement de ces substituts du sucre, devenus si familiers depuis les années 1980 ?Remplacer le sucre… sans les caloriesLes édulcorants ont été conçus pour répondre à une promesse séduisante : retrouver la douceur sucrée sans les inconvénients du sucre. Leur pouvoir sucrant est impressionnant : selon les molécules, il peut être jusqu’à 600 fois supérieur à celui du saccharose, le sucre de table. Résultat : quelques milligrammes suffisent pour sucrer une boisson ou un yaourt, sans apporter de calories ou presque.C’est d’ailleurs ce qui les a rendus populaires auprès des personnes cherchant à surveiller leur poids ou à contrôler leur glycémie. Et c’est aussi pourquoi de nombreux seniors, attentifs à leur santé, y ont recours.Deux grandes familles : synthèse ou nature ?On distingue deux types d’édulcorants :Les édulcorants de synthèse, comme l’aspartame, l’acésulfame K ou le sucralose. Ils sont fabriqués en laboratoire et n’existent pas à l’état naturel.Les édulcorants dits "naturels", comme la stévia ou le xylitol, qui sont extraits de végétaux.À noter : "naturel" ne veut pas dire "sans effet" sur l’organisme. Ce n’est pas parce qu’un édulcorant provient d’une plante qu’il est inoffensif.Des effets contradictoires sur la santéSi leur usage ponctuel n’est pas remis en cause, les études sur leur consommation régulière posent question. À court terme, remplacer un soda sucré par une version édulcorée peut aider à réduire l’apport calorique. Mais sur le long terme, la balance penche dans l’autre sens.Des études récentes montrent que la consommation régulière d’édulcorants est associée à une prise de poids et à un risque accru de diabète de type 2. Pourquoi ? Une des hypothèses avancées est que ces substances trompent le cerveau : le goût sucré déclenche des réactions métaboliques censées traiter du sucre… qui n’arrive jamais. Résultat : le corps se dérègle.Autre piste inquiétante : les édulcorants perturberaient le microbiote intestinal, cet ensemble de bactéries qui joue un rôle clé dans notre digestion, notre immunité, voire notre humeur.Le conseil des nutritionnistes ?Plutôt que de se tourner vers des substituts, souvent ultra-transformés, mieux vaut réduire progressivement sa consommation de sucre. Et savourer, à petites doses, un carré de chocolat noir, un fruit bien mûr ou une compote maison.La douceur ne se mesure pas qu’en calories. Elle est aussi dans le plaisir, dans l’équilibre… et dans la modération.
ChatGPT peut-il remplacer un psy ? En cas de solitude, de rupture ou de passage à vide, certains trouvent auprès de l’intelligence artificielle une présence rassurante et disponible 24h/24. L’outil semble bienveillant, réactif et surtout gratuit. Il écoute, il répond, il conseille… mais qu’en penser réellement ?ChatGPT sait analyser les émotions dans les mots. Il repère la tristesse, le stress ou la colère et propose des pistes simples : respiration, relaxation, dialogue. Il peut même reformuler nos pensées, nous amenant parfois à mieux comprendre ce que l’on ressent. C’est une aide utile pour mettre des mots sur un mal-être.Mais il y a une différence essentielle : ChatGPT ne ressent rien. Ses réponses reposent sur des statistiques, pas sur de la véritable empathie. Il ne perçoit ni le ton de la voix, ni les silences, ni le langage corporel – ces signaux qui, chez un thérapeute, nourrissent la compréhension de l’autre.L’intelligence artificielle est programmée pour dire ce que nous voulons entendre, pas nécessairement ce dont nous avons besoin. Elle peut aussi, parfois, commettre des erreurs ou donner des conseils inadaptés, voire risqués, comme inciter à interrompre un traitement.L’IA ne remplace donc pas la chaleur d’un regard, la profondeur d’une écoute humaine, ni la compétence d’un psychologue ou psychiatre qualifié. Elle peut être un soutien ponctuel, mais jamais une solution durable.
Seniors, et alors ? Le podcast du bien-vivre de Nostalgie Plus s’intéresse aujourd’hui à une substance aussi fascinante que mystérieuse : le shilajit, surnommé l’or noir de l’Himalaya.Connu depuis des millénaires dans la médecine ayurvédique, le shilajit refait surface sur les réseaux sociaux. Cette résine sombre et visqueuse est vantée pour ses vertus revitalisantes, énergisantes et rajeunissantes. Selon la tradition, elle aiderait le corps à mieux s’adapter au stress, renforcerait les fonctions naturelles de l’organisme et favoriserait la longévité.Mais d’où vient cette mystérieuse substance ? Le shilajit se forme à partir de la décomposition lente de matières organiques, végétales et minérales emprisonnées dans les roches de haute montagne, notamment celles de l’Himalaya. Les scientifiques ne s’accordent pas totalement sur son origine : certains évoquent des sécrétions végétales, d’autres des agglomérats de micro-organismes ou de résidus animaux.Aujourd’hui, le shilajit se décline sous plusieurs formes :En résine, à dissoudre dans l’eau chaude, pour les amateurs d’authenticité.En gélules, plus pratiques et sans le goût terreux parfois difficile à supporter.Avant toute utilisation, il est essentiel de demander conseil à votre médecin ou à un pharmacien, surtout si vous suivez un traitement. Comme beaucoup de produits naturels, le shilajit n’est pas un remède miracle, mais peut s’inscrire dans une démarche de bien-être global.Pour les seniors en quête d’énergie douce et naturelle, la prudence reste la meilleure alliée.
Seniors, et alors ? Le podcast du bien-vivre de Nostalgie+ vous invite aujourd’hui à redécouvrir une activité aussi douce que complète : la natation.Ce sport aquatique, très populaire, sollicite pas moins de 24 groupes musculaires et constitue un entraînement global pour le corps. Chaque nage présente ses avantages, à vous de trouver celle qui correspond le mieux à vos capacités et à vos envies. Beaucoup d’entre nous profitent de la piscine en vacances, parfois juste pour se rafraîchir. Pourtant, pratiquer la natation régulièrement permet de préserver la santé, la vitalité et la mobilité après 55 ans.Une erreur fréquente est de crisper les muscles, ce qui freine la glisse naturelle et complique les mouvements. Au contraire, la natation permet de travailler tous les muscles de manière symétrique, contrairement à d’autres sports comme le golf ou le tennis. C’est également une activité excellente pour le moral : elle stimule la sécrétion de sérotonine et d’endorphines, les hormones du bien-être. Résultat : une sensation de légèreté et un stress qui semble… soluble dans l’eau.Avant d’entrer dans le bassin, pensez à réaliser 10 minutes d’échauffement à sec : mouvements circulaires des bras, étirements doux, mobilisation des hanches et des genoux. Côté équipement, munissez vous de lunettes de natation, d’une gourde d’eau pour rester hydraté, et éventuellement de bouchons d’oreilles pour éviter les désagréments liés au chlore.Accessible à tout âge, la natation est un remède naturel contre les raideurs, le stress et la perte de tonus musculaire. Un sport complet qui, bien équipé et bien pratiqué, ne vous veut que du bien.
Seniors, et alors ? Le podcast du bien-vivre de Nostalgie+ met aujourd’hui à l’honneur un accessoire rond, ludique et pourtant très efficace : le Swiss Ball, aussi appelé ballon suisse ou ballon de Klein.Ce gros ballon, utilisé aussi bien dans les cabinets de kinésithérapie que dans les salles de sport ou même les bureaux, a été popularisé par Suzanne Klein Vogelbach, kinésithérapeute suisse. Elle fut la première à l’employer dans la rééducation de ses patients, et depuis, il a conquis le monde du mouvement.Pourquoi plaît-il tant aux professionnels de santé et du sport ? Tout simplement parce qu’il permet un travail corporel spécifique et complet. Assis ou allongé dessus, le corps est en déséquilibre permanent. Cette instabilité oblige les muscles profonds stabilisateurs à se contracter, améliorant ainsi la posture, l’équilibre et le tonus musculaire.Pour les seniors de 55 ans et plus, le Swiss Ball est un allié précieux : il remuscle en douceur, soulage les tensions musculaires et articulaires, aide à affiner la silhouette, développe la souplesse et favorise la relaxation. Il peut même remplacer la chaise de bureau : contrairement à l’assise classique qui favorise le relâchement et les mauvaises postures, le ballon incite à bouger régulièrement et à maintenir une position plus dynamique.Disponible facilement en magasin de sport, il doit être choisi selon la taille de l’utilisateur et regonflé de temps en temps. Bien utilisé, il soulage autant qu’un antidouleur, mais sans effets secondaires.
Seniors, et alors ? Le podcast du bien-vivre de Nostalgie Plus vous propose aujourd’hui un focus sur une pratique étonnante et pourtant très simple : le tapping. Inspirée de l’acupuncture, cette méthode repose sur la stimulation de points énergétiques par de légers tapotements.Le principe est accessible à tous : il s’agit d’associer une stimulation manuelle de points d’acupression avec des phrases pensées ou verbalisées, centrées sur le problème à traiter. Ce double mécanisme envoie des signaux au cerveau, notamment à l’amygdale cérébrale (le centre des émotions et des alertes) et au cortex préfrontal, le siège de la réflexion.De plus en plus d’études mettent en lumière l’efficacité du tapping. Chez les seniors, il est particulièrement intéressant pour réduire l’anxiété, le stress, les troubles du sommeil, mais aussi les compulsions alimentaires ou les fringales. Certaines recherches évoquent même son intérêt dans l’accompagnement des addictions.L’un des grands avantages du tapping est sa simplicité. Il ne nécessite aucun matériel, peut être pratiqué presque partout, et ne présente pas de véritable contre-indication. C’est donc une technique idéale à découvrir après 55 ans, que l’on soit en retraite ou encore actif, pour mieux gérer son énergie et préserver son équilibre.Bien sûr, pour en tirer tous les bénéfices, il est conseillé de se tourner vers un spécialiste du tapping. Quelques séances guidées permettent d’intégrer la pratique et de l’adapter à vos besoins. Des ouvrages existent également, comme Le Grand Livre du Tapping (Éditions Thierry Souccar), pour approfondir vos connaissances.🎙️ Parce que la vie après 55 ans mérite sérénité et vitalité : "Fini les tensions accumulées au bureau ou dans les bouchons, Nostalgie+, c’est le meilleur des 60’s et 70’s avec le bien-être d’aujourd’hui."
Avoir bon pied, bon œil après 55 ans n’est pas toujours évident. Entre le temps passé devant les écrans, la sécheresse oculaire ou les maux de tête, nos yeux nous rappellent souvent à l’ordre. Dans notre podcast Seniors, et alors ? sur Nostalgie+, nous avons exploré une solution innovante : les masques oculaires massants.Ces dispositifs électriques, volumineux et posés comme de grandes lunettes, recouvrent le front, les yeux et les pommettes. Leur objectif ? Soulager et relaxer la zone fragile autour des yeux. Ils utilisent différentes technologies : massage par air comprimé, vibrations, diffusion de chaleur douce ou infrarouge. Grâce à ces fonctions, ils peuvent aider à réduire la sécheresse oculaire, atténuer les yeux gonflés, soulager certains maux de tête ou sinusites, et même favoriser la circulation sanguine.Certains modèles vont plus loin : ambiance sonore relaxante, musique douce, sons de la nature ou bruits blancs pour une détente complète. De véritables petits cocons sensoriels, parfaits pour un moment de bien-être à la retraite.Mais attention : ces masques ne conviennent pas à tout le monde. Un avis médical est indispensable avant toute utilisation. Si vous avez une forte myopie, si vous avez été récemment opéré des yeux, ou si l’épaisseur de votre cornée est particulière, ces appareils peuvent être déconseillés. Toujours consulter votre ophtalmologue avant de commencer.Bien utilisés, ils deviennent de précieux alliés pour les seniors soucieux de préserver leur confort visuel et de profiter sereinement de la lecture, des promenades ou des moments en famille.
Avec l’âge, il arrive que le désir sexuel s’essouffle. Une situation courante, parfois taboue, mais qui mérite d’être abordée sans honte ni culpabilité. Après 55 ans, la baisse de libido peut toucher aussi bien les femmes que les hommes. Elle résulte souvent de déséquilibres hormonaux : baisse des œstrogènes à la ménopause pour les unes, chute de testostérone pour les autres.Mais les hormones ne sont pas seules en cause. Le stress, le manque de sommeil, une surcharge de travail ou une fatigue chronique peuvent également réduire l’envie. Résultat : une libido en berne, alors même que le désir reste un pilier d’une vie épanouie, y compris à la retraite.Bonne nouvelle : il existe des solutions simples pour redonner du peps au désir. Tout commence par une alimentation adaptée. Exit les sucres raffinés, l’alcool en excès ou le tabac qui perturbent la circulation sanguine et les hormones. Privilégiez au contraire les aliments riches en zinc (huîtres, viandes rouges, oléagineux), qui soutiennent la production de testostérone. Ajoutez des antioxydants (vitamine C et E) présents dans les fruits rouges, les agrumes, les épinards ou les amandes. Et surtout, n’oubliez pas l’hydratation : boire assez d’eau permet au corps de fonctionner de manière optimale.L’activité physique régulière joue aussi un rôle clé : elle stimule la circulation, réduit le stress et libère des endorphines, hormones du plaisir et du bien-être. La marche, le yoga, la natation ou même la danse peuvent réveiller énergie et complicité.Le désir fait partie de la vie, à tout âge. À 55 ans et plus, il ne disparaît pas : il évolue. En prendre soin, c’est aussi préserver son équilibre, son moral et sa complicité de couple.
Avec l’âge, notre santé devient une priorité. Nous nous posons mille questions sur notre corps, notre énergie, nos petits maux du quotidien. Il est naturel de vouloir comprendre, mais une nouvelle tendance s’est imposée depuis l’essor d’Internet : la cyber-condrie.Ce terme, introduit en 1999 par le médecin américain Donald Capra, désigne l’habitude de remplacer la consultation médicale par des recherches en ligne. Chaque symptôme, du plus banal au plus inquiétant, est décortiqué sur des moteurs de recherche ou des forums, jusqu’à provoquer stress et anxiété. Une forme moderne d’hypocondrie qui touche toutes les générations… mais qui peut particulièrement fragiliser les personnes de plus de 55 ans, déjà soucieuses de préserver leur bien-être au moment de la retraite.Le danger ? Internet regorge d’informations, parfois fiables, parfois complètement fantaisistes. On y trouve tout et son contraire : des articles médicaux sérieux côtoient des témoignages alarmistes qui peuvent accentuer la peur et pousser à de mauvais réflexes. Cette dépendance numérique peut mener à l’angoisse permanente, voire à une perte de confiance envers son médecin.Or, rappelons-le : votre médecin reste le seul véritable garant de votre santé. Lui seul connaît votre dossier médical, vos antécédents et vos besoins spécifiques. Bien sûr, il n’est pas interdit de chercher des informations, mais il est essentiel de les vérifier (sources fiables, dates de mise à jour) et de ne jamais se fier uniquement à « docteur Google ».Dans ce nouvel épisode de Senior, et alors ?, nous explorons la question de la cyber-condrie, pour apprendre à garder Internet comme outil de curiosité, et non comme substitut médical.
L’été arrive, et avec lui les moments de détente tant attendus : un plongeon à la piscine, une balade au soleil, une escapade à la plage. Pourtant, à partir de 55 ans, nous sommes nombreux à scruter notre corps avec un regard parfois trop sévère. Petites rondeurs, peau moins ferme, cicatrices ou varices : ces imperfections corporelles, bien que naturelles, peuvent peser sur notre moral et altérer notre plaisir de vivre l’instant.La vérité est simple : ces marques sont souvent les témoins de notre histoire, de nos rires, de nos efforts, de nos années vécues. Pourtant, il existe des moyens de les atténuer ou de les apprivoiser. Une alimentation équilibrée et une activité régulière aident à lisser et raffermir la silhouette, tandis que certaines astuces esthétiques – une tenue adaptée, un soin hydratant, une touche d’autobronzant – permettent de masquer ce qui nous gêne.Mais au-delà de la « correction », il y a l’acceptation. Apprendre à cohabiter avec ses petites imperfections, c’est aussi se donner la liberté d’être soi, sans se comparer à des standards irréalistes. À 55 ans et plus, la priorité n’est plus la perfection, mais le bien-être, la confiance et la sérénité.Dans ce nouvel épisode de Senior, et alors ?, nous vous donnons les clés pour relativiser vos petits complexes, les atténuer si vous le souhaitez, mais surtout les intégrer comme une part de vous-même.
Discrets… mais indispensables. Les tendons sont ces précieux cordons qui relient vos muscles à vos os, permettant chacun de vos mouvements, des plus simples aux plus vigoureux. Et pourtant, nous leur prêtons rarement attention… jusqu’à ce qu’une douleur vienne nous rappeler leur rôle central.Passé 55 ans, il est important de comprendre que nos tendons deviennent plus fragiles. Leur élasticité diminue, leur récupération se fait plus lente. Une mauvaise posture, un geste brusque ou un effort inhabituel, et c’est la tendinite qui pointe le bout de son nez. Protéger ses tendons, c’est protéger sa liberté de mouvement.De quoi sont-ils faits ? Principalement de fibres de collagène, organisées comme un câble solide mais souple. Leur santé dépend autant de votre activité physique que de votre alimentation. Bouger régulièrement, mais en douceur, aide à entretenir leur souplesse. Les activités comme la marche, la natation ou le vélo sont idéales après 55 ans, car elles sollicitent les tendons sans les traumatiser.Et en cas de douleur ? Repos, glace, gestes adaptés… et surtout écoute de son corps. Ne laissez pas une petite gêne s’installer. Un tendon entretenu, c’est un capital mobilité pour longtemps.Dans ce nouvel épisode de Senior, et alors ?, nous explorons les secrets pour garder vos tendons en pleine forme, comprendre leur fonctionnement et leur offrir l’attention qu’ils méritent.
Dormir… un geste quotidien, presque banal. Et pourtant, avec l’âge, il devient précieux.Passé 55 ans, un bon sommeil n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Si vous avez parfois l’impression de moins bien dormir qu’avant, sachez que c’est une réalité partagée. Le sommeil évolue, se fragmente, se raccourcit. Pourtant, il reste le meilleur allié de votre santé physique et mentale.Durant la nuit, votre corps se régénère : vos cellules se réparent, votre mémoire se consolide, votre système immunitaire se renforce. C’est une véritable mise au repos de l’organisme… mais aussi une relance. En dormant bien, vous gardez votre moral au beau fixe, vous prévenez la fatigue chronique, vous améliorez votre concentration, et vous luttez contre le vieillissement prématuré.Le sommeil est aussi essentiel à votre équilibre émotionnel. Vous avez remarqué ? Une mauvaise nuit, et tout paraît plus difficile. L’irritabilité, la nervosité, les petites douleurs deviennent plus lourdes à porter. À l’inverse, bien dormir, c’est retrouver une légèreté d’esprit qui rappelle les jours insouciants.Et si dormir était la plus douce des activités ? Dans ce nouvel épisode de Senior, et alors ?, nous vous offrons des clés pour retrouver un sommeil serein. Des conseils simples, adaptés à votre rythme de vie, pour vous endormir le cœur léger.
Un éclat de rire… et tout va mieux. À l’heure où la vie ralentit un peu, où l’on savoure enfin les plaisirs simples de la retraite, il est bon de se rappeler que le rire est l’un de nos meilleurs alliés bien-être, surtout passé 55 ans.Oui, rire, c’est une activité physique à part entière ! En riant franchement, ce ne sont pas moins de 600 muscles qui se mettent en action. Le diaphragme, les abdos, les zygomatiques… c’est toute une symphonie corporelle qui se joue lorsque vous éclatez de rire devant une anecdote, une vieille émission, ou en repensant aux souvenirs joyeux d’antan.Mais le rire, ce n’est pas que du mouvement : c’est aussi un bouclier contre le stress. Il diminue le taux de cortisol – l’hormone du stress – et augmente celui de la dopamine, cette précieuse hormone du plaisir. Résultat ? Vous vous sentez plus léger, plus détendu, plus vivant.Dans notre podcast bien-vivre pour les seniors, on évoque aussi le pouvoir du rire sur l’immunité. Des études montrent qu’un bon fou rire stimule les défenses naturelles du corps, améliore la circulation sanguine, et aide même à réduire les douleurs chroniques, comme celles liées à l’arthrose.Et puis… rire, c’est partager. C’est tendre un pont entre les générations, entre amis de toujours ou voisins de palier. À la retraite, il est essentiel de garder ce lien vivant, de multiplier les occasions de rire à plusieurs. Une chanson de Carlos, un sketch de Raymond Devos, une réplique culte de Louis de Funès… autant de madeleines sonores qui font éclore les sourires.
Avec l’âge, et surtout dès la cinquantaine, nous constatons souvent que les kilos ont cette fâcheuse tendance à s’installer doucement mais sûrement, sans qu’on ait pourtant changé grand-chose à nos habitudes. Une situation bien connue des seniors, jeunes retraités ou actifs de 55+, qui veulent continuer à se sentir bien dans leur corps et profiter pleinement de la vie.Dans notre podcast sur Nostalgie+, nous abordons ce sujet qui touche tant de nos auditeurs : comment éviter de prendre du poids avec l’âge tout en gardant une belle énergie ? La première clé, c’est bien sûr l’alimentation. Inutile de se lancer dans des régimes draconiens : l’idée est de conserver une alimentation saine et équilibrée, riche en légumes, fruits, fibres et protéines maigres, en limitant les produits trop sucrés ou gras qui, au fil des années, finissent par se loger là où on les aimerait le moins.Autre point crucial : veiller à la qualité de votre masse musculaire. Avec l’âge, le corps perd naturellement du muscle, ce qui ralentit le métabolisme et favorise la prise de poids. Pour contrer ce phénomène, misez sur les activités physiques régulières, adaptées à votre âge et à vos capacités : marche rapide, vélo, natation, ou même quelques exercices de renforcement musculaire à la maison. Cela permet non seulement de brûler des calories, mais aussi de préserver ces jolies formes toniques qui donnent confiance et assurent une meilleure posture.Et puis n’oublions pas l’essentiel : restons raisonnables et indulgents avec nous-mêmes. Le but n’est pas d’avoir la silhouette de nos vingt ans, mais de conserver une belle silhouette qui nous ressemble, de nous sentir légers et dynamiques pour continuer à profiter des petits plaisirs de la vie, qu’il s’agisse de jardiner, de danser ou de partager un bon repas en famille.
Ce mois-ci, dans le podcast « Senior et alors ? », l’émission du bien vivre sur Nostalgie+, Sabine Matus a choisi un thème qui fleure bon les après-midis au grand air : « prendre soin de son jardin et rester en phase avec la nature ». Pour en parler, elle recevait Amir Bouyahi, guide nature passionné, qui partage son savoir-faire pour transformer nos espaces verts en véritables havres de vie.À l’heure où l’on prend le temps — la retraite ou le passage des 55+ nous offrant souvent ce luxe rare — le jardinage s’impose comme une activité douce, enrichissante, et bénéfique autant pour le corps que pour l’esprit. Comme le dit Amir, « un jardin, c’est avant tout un sol vivant qu’il faut apprendre à nourrir, avant d’espérer qu’il nous nourrisse lui-même ». Et pour cela, rien de tel que d’éviter les produits chimiques, de préférer les solutions naturelles (bicarbonate, savon noir, vinaigre blanc) et de laisser la vie reprendre ses droits.Amir nous rappelle combien il est essentiel de préserver la biodiversité. Pour nos petits-enfants, pour la beauté du monde, mais aussi pour nous-mêmes, seniors, qui avons tant de souvenirs liés aux insectes, aux oiseaux, aux jardins fleuris de notre jeunesse. Moins tondre, laisser des zones sauvages, semer une prairie fleurie, installer une haie champêtre ou une petite mare naturelle… autant d’idées pour observer rouges-gorges, mésanges, papillons et hérissons venir égayer nos journées.Le jardinage est une activité idéale pour les retraités et les plus de 55 ans : elle maintient en mouvement, invite à sortir, à respirer, à se pencher, à contempler. Elle crée du lien aussi : on échange boutures, conseils, souvenirs du potager de nos parents, on discute avec le voisin au-dessus de la clôture.Et puis il y a l’arrosage intelligent, un sujet crucial à l’heure où l’eau se fait plus précieuse. Amir conseille d’arroser tôt le matin ou en soirée, d’installer des oyas pour un arrosage tout en douceur, et de récupérer l’eau de pluie. Sans oublier de pailler pour garder la fraîcheur et limiter les mauvaises herbes.


















