CHEFS
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CHEFS

Author: David Ordono

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Description

CHEFS, c’est le podcast imaginé par David Ordono pour donner la parole aux grandes figures de la gastronomie française.

À son micro, les chefs se racontent sans filtre, livrant le récit intime de leur parcours : leurs racines, leurs inspirations, leurs doutes, leurs échecs, leurs victoires et leurs révélations...


Chaque lundi, retrouvez CHEFS, les portraits de celles et ceux qui font notre gastronomie,
chaque vendredi, retrouvez CHEFS d’entreprise-s, pour découvrir des entrepreneuses et entrepreneurs de la food,
et une fois par mois, dans CHEFS talks, nous débattons d'un sujet qui anime la scène gastronomique !


CHEFS c'est le podcast qui met en lumière les acteurs et actrices de la cuisine actuelle et à travers leurs voix le mouvement de notre patrimoine gastronomique.

Des histoires de chefs, de passion, de risque et d’engagement, des récits hors normes, des visions singulières et toujours inspirantes!

Production : NOLA

Journaliste et réalisateur : David Ordono

Production Éditoriale : Sandrine Robert

Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

242 Episodes
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Au bout du bout de la Bretagne, face à l’océan et au phare de la Pointe Saint-Mathieu, Nolwenn Corre tient la barre d’une maison mythique.Fille, petite-fille et sœur de restaurateurs, elle incarne la quatrième génération d’une famille qui, depuis 1954, accueille voyageurs et gourmets dans ce lieu battu par les vents.Enfant, elle grandit derrière le bar, au milieu des équipes, du linge plié et des rires des habitués. Très tôt, la cuisine s’impose comme une évidence.À 12 ans, elle lance un défi à ses parents : « Moi je vais faire mieux que vous, je vais avoir une étoile Michelin. »Promesse tenue...À 28 ans, Nolwenn décroche sa première étoile et inscrit à son tour la maison familiale parmi les grandes tables bretonnes.Aujourd’hui, elle continue d’y faire vivre une cuisine juste, lumineuse, iodée, qui puise sa force dans la mémoire et la mer.Pour découvrir l'univers de Nolwenn Corre, c'est par ici !🎬Production : NOLA📰Journaliste : David Ordono🎶Réalisation : David Ordono📋Production éditoriale : Sandrine RobertCet épisode a été produit avec le soutien de Tourisme Bretagne.📲Retrouvez le podcast CHEFS sur toutes les plateformes de streaming audio et sur YouTube.📷Suivez nous au quotidien sur INSTAGRAM !🌐Plus d'infos et de contenus sur chefspodcast.comPour toute demande de partenariats, sponsoring ou interventions, écrivez-nous!Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
CLAUDE BOSI - PARTIE 2

CLAUDE BOSI - PARTIE 2

2025-06-2417:25

Dans cet épisode, rencontre avec Claude Bosi, chef doublement étoilé à la tête du célèbre restaurant Bibendum à Londres.Lyonnais d’origine, installé outre-Manche depuis près de 30 ans, Claude Bosi incarne un parcours rare : celui d’un chef français qui a choisi de faire rayonner notre gastronomie de l’autre côté de la Manche, a décroché sa première étoile dans une campagne anglaise, puis en plein cœur de la capitale britannique. Avant cela, c'est aussi le récit d'un apprentissage auprès de maîtres qui lui ont transmis le geste et leur vision (poke Alain Passard), le récit aussi de ce qui nourrit profondément sa cuisine : la famille...Un entretien fort, touchant, parfois très émouvant, où l’on comprend à quel point la cuisine de Claude Bosi est une histoire de cœur, d’héritage, et de résilience.🎧 Un grand chef, une grande voix, un moment à ne pas manquer.👉 CHEFS, c’est le podcast qui donne la parole à celles et ceux qui écrivent la gastronomie d’aujourd’hui.⭐ Pensez à vous abonner, noter, partager : ça aide à faire connaître toutes ces histoires et ceux qui les portent.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau format de CHEFS, nous explorons l’entrepreneuriat en gastronomie : créer un concept, structurer une offre, passer de l’idée au concret, gérer un business et une équipe… autant de défis cruciaux pour réussir dans la restauration.Pour inaugurer cette série, Julia Chican, co-fondatrice du groupe Maslow à Paris, à la tête de deux restaurants pour l’instant, Maslow et Fellows et qui continue son développement, forcément…Julia Chican c’était aussi l’une des boss de Food Chéri, et avant cela, elle avait fait partie de l’aventure Flam's... Elle a aussi développé une appli mais tout cela, elle va vous le raconter.Créer un concept, structurer une offre, passer de l’idée au concret, gérer de ouf la projection business mais aussi saisir l’air du temps, twister le veggie pour le rendre sexy, gérer son personnel en mode "21ème siècle" et j’en passe, cet épisode c’est une Masterclass et une sacrée dose d’inspiration !Je suis donc ravi que Julia Chican inaugure ce nouveau format de chefs car elle incarne à merveille cette nouvelle génération de restaurateur.rice.s, conscient.e.s, de tout, mais sans donner de leçon ni brandir de discours.Bonne écoute ! 🎧Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand j’ai lancé ce podcast, je suis allé à la rencontre des grands chefs, des noms connus, des grandes figures de notre gastronomie – pour découvrir l'histoire derrière la réussite. Ce plaisir est toujours là, vous le savez, mais au fil des épisodes, un autre bonheur s'est découvert : celui de raconter les chefs qui me touchent personnellement.Celles et ceux dont la cuisine ou la personnalité me parlent intimement, à table, en échangeant aussi, en les écoutant. Et parmi ces rencontres, il y a eu celle un soir au Perchoir, d'une lumière orange incroyable, d'une assiette brute et délicate à la fois, pensée, la découverte d'une cuisinière au geste rare. Pas de démonstration, pas d'effet, mais une intelligence sensible, une manière de comprendre profondément un produit pour le mener un peu plus loin. Ce soir-là, je me suis fait ceuillir.Depuis ce moment, je la suis. Et tant pis si la phrase semble usée – je la pense vraiment: pour moi, Alice Arnoux est l’une des cheffes les plus douées de sa génération.Aujourd’hui, je suis donc heureux de vous proposer cet épisode qui me tient particulièrement à cœur. Alice officie au Café de l’Usine, où chaque semaine, une dizaine de lignes composent la carte. Les assiettes y sont dressées avec chaleur et une forme de retenue, une simplicité qui dit une grande précision. Une cuisine qui régale en gardant la juste distance.C’est dans ce lieu que nous avons posé deux micros...Production : NOLAJournaliste : David OrdonoRéalisation : David Ordono et Célia CaillauxHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
PAUL PAIRET - PARTIE 3

PAUL PAIRET - PARTIE 3

2025-03-3132:33

Aujourd’hui, CHEFS reçoit un grand nom de la gastronomie devenu familier : Paul Pairet.Pour le grand public, il est cette silhouette reconnaissable entre mille, lunettes et casquette vissées sur la tête, tempérament vif et regard malicieux. Depuis quelques années, il régale les téléspectateurs dans Top Chef, et vous allez découvrir derrière cette image médiatique un chef à l’engagement total, un chercheur insatiable, un cuisinier qui va toujours plus loin dès qu’il entreprend.On connaît son restaurant Ultraviolet à Shanghai, triplement étoilé, ce lieu mystérieux où dix convives par service vivent une expérience sensorielle unique, où sons, images et saveurs se répondent dans un ballet millimétré. Mais ce que l’on connaît moins, c’est son histoire, son parcours, les influences et rencontres qui ont façonné sa vision de la cuisine.Cet épisode a une résonance particulière : alors que Paul Pairet vient de réapparaître dans la saison 16 de Top Chef, il ferme en parallèle un chapitre majeur de sa carrière: Ultraviolet ne rouvrira pas. Une annonce qu’il me fait en plein enregistrement, alors que la nouvelle n'a pas encore été communiquée (l'épisode a été enregistré en janvier 2025).Voilà donc un enregistrement dont la saveur est particulière et je vous invite à écouter cette dernière partie sur la vision que le chef a déployé à Ultraviolet, c'est une masterclass, à l'heure où le maître referme définitivement la porte.Bon heureusement, l'histoire n'est pas finie car s'il vient d'éteindre les trois étoiles qu'il faisait briller dans le ciel de Shangaï, on peut toujours le retrouver en cuisine dans ses restaurants, là-bas au bout du monde pour les plus voyageurs, et chez Nonos au sein de l’Hôtel de Crillon, à Paris, où je l'ai retrouvé ce ce jour là.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de CHEFS, nous avons l’honneur d’accueillir Georges Blanc, figure incontournable de la gastronomie française. Chef triplement étoilé, il est à la tête d’un empire culinaire de plus de 200 employés et d’un véritable village gourmand à Vonnas, où il a transformé l’affaire familiale en un haut lieu de la gastronomie.L’héritage, il le porte depuis toujours. Sa grand-mère, Elisa Blanc, surnommée la Mère Blanc, obtenait déjà deux étoiles dans les années 1930. Quarante ans plus tard, c'est lui même qui allait offrir, en 1981 la troisième étoile à cette institution. Aujourd’hui, Vonnas, c’est chez lui. Ses hôtels et restaurants, son univers gastronomique, son ancrage dans la culture bressane font de lui plus qu’un chef : un bâtisseur et le défenseur d'un patrimoine.🎧 Plongez dans l’histoire d’un chef visionnaire en son temps qui a su transformer un héritage familial, par une vision, en un haut lieu de la gastronomie française.PROD : NOLAJournaliste : David OrdonoRéalisation : David OrdonoProduction Éditoriale : Sandrine Robert#Podcast #CHEFS #GeorgesBlanc #Gastronomie #TroisEtoiles #Vonnas #CuisineFrançaiseHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque seconde, 40 burgers sont consommés en France. Le burger fait partie de notre quotidien, et derrière ce classique de la restauration rapide se cachent des histoires, des souvenirs… et parfois, des révolutions.Celle de Louis Frack et Anthony Darré commence sur les bancs d’une école de commerce. Amateurs de burgers depuis toujours, ils se posent une question simple mais ambitieuse : Pourquoi ne pas en faire ? Mais surtout, pourquoi ne pas le faire bien, bon, pour nous, pour la planète, pourquoi pas le faire... bio !?Il y a près de 15 ans, ils décident de créer Bio Burger, une enseigne 100 % bio qui réconcilie plaisir et engagement écologique. Des premiers tests de sauce dans une cuisine d’étudiant aux 24 restaurants ouverts en France, leur pari semblait fou… et pourtant, il fonctionne !Alors ils sont passés par bien des épreuves et Louis va nous les raconter.Comment ont-ils structuré leur projet dès leurs études ? Quels choix leur ont permis de transformer une idée en entreprise pionnière ? Comment construisent ils aujourd’hui l’avenir du fast-food responsable ?Dans cet épisode de CHEFS d’entreprise-s, plongez dans l’histoire d’une aventure entrepreneuriale audacieuse, où chaque étape a été pensée pour prouver qu’on peut concilier rapidité, plaisir avec responsabilité.🎧 Écoutez l’histoire de Louis Frack et de Bio Burger.#Podcast #CHEFS #BioBurger #Entrepreneuriat #FastFoodResponsable #Innovation #AlimentationBioPour découvrir l'entreprise de Louis c'est par ici !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode de CHEFS, préparez-vous à découvrir une histoire hors du commun. Yazid Ichemrahen est aujourd’hui un chef pâtissier reconnu, dont les créations se dégustent dans les endroits les plus prestigieux, comme le Royal Monceau à Paris, mais aussi dans de nombreux pays à l’étranger. Il emploie plus d’une centaine de personnes, a écrit un livre et a même inspiré un film...Mais derrière ce succès, son parcours est tout sauf ordinaire. Placé en famille d'accueil à deux ans, puis en foyer, il a dû affronter des épreuves de vie monumentales. Pourtant, avec une détermination sans faille, il a gravi les échelons jusqu’à décrocher le titre de champion du monde des desserts glacés à 22 ans.Vous ne pourriez pas croire pas cette histoire, et pourtant, elle est vraie!Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de CHEFS Experience-s, je suis allé à la rencontre du chef Maxime Le Meur. Dix questions pour retracer les moments clés de son parcours, mais surtout pour comprendre les enseignements qu’il en a tirés.Je l’ai rejoint au Gemellus, son restaurant situé au 37 avenue Duquesne, dans le 7ᵉ arrondissement de Paris. Cuisiner, c’est avant tout pour lui recevoir. Une intention qu'il veut faire ressentir dans chaque plat, une envie de partage qui dépasse finalement le cadre de la cuisine.Dans cet échange, il nous livre sa vision du métier et partage avec nous son histoire. Rendez-vous dans le petit salon qui jouxte sa cuisine, micros ouverts, pour une rencontre pleine de sincérité. Bonne écoute !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici un épisode très attendu sur CHEFS, l'épisode de Bruno Verjus. Pourquoi "tant attendu" ? Et bien pour deux raisons :Vous êtes nombreux à avoir demandé qu'il vienne enfin raconter son histoire. Bruno Verjus intrigue... Et pour cause : il a ouvert son restaurant Table à 54 ans, sans expérience en tant que chef. C’était en 2013. Cinq ans plus tard, il décroche sa première étoile Michelin, puis une seconde en 2022. Aujourd’hui, Table occupe la 3ème place au classement mondial du 50 Best Restaurants, rien de moins.La seconde raison est plus personnelle. Avant de devenir chef, Bruno Verjus était un observateur averti de la gastronomie mondiale. Journaliste, chroniqueur culinaire, il a su mettre la cuisine en mots. C'est par ses textes que je l'ai découvert, notamment sur son blog Foodintelligence. Je lui avais alors proposé un projet qui nous avait beaucoup amusé : je lui soumettais des livres de cuisine et lui les critiquait, au même titre qu’on l’aurait fait pour une sortie littéraire. On filmait ça et ça passait à l’époque à la télé dans une émission dont j’avais la responsabilité.Puis un jour, il m’annonce : "Je vais ouvrir mon restaurant, ça va s'appeler "Table." Depuis, je l’ai suivi, et je suis très heureux qu'aujourd'hui ce soit lui qui me rejoigne ici, pour vous. Pour vous raconter son aventure unique, ses racines, son histoire, celle qui l’a mené à devenir l’un des chefs les plus en vue de notre gastronomie.Pour (re)découvrir le livre de Bruno Verjus L'art de nourrir c'est par ici.Production : NOLAJournaliste et réalisateur : David OrdonoHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici un épisode très attendu sur CHEFS, l'épisode de Bruno Verjus. Pourquoi "tant attendu" ? Et bien pour deux raisons :Vous êtes nombreux à avoir demandé qu'il vienne enfin raconter son histoire. Bruno Verjus intrigue... Et pour cause : il a ouvert son restaurant Table à 54 ans, sans expérience en tant que chef. C’était en 2013. Cinq ans plus tard, il décroche sa première étoile Michelin, puis une seconde en 2022. Aujourd’hui, Table occupe la 3ème place au classement mondial du 50 Best Restaurants, rien de moins.La seconde raison est plus personnelle. Avant de devenir chef, Bruno Verjus était un observateur averti de la gastronomie mondiale. Journaliste, chroniqueur culinaire, il a su mettre la cuisine en mots. C'est par ses textes que je l'ai découvert, notamment sur son blog Foodintelligence. Je lui avais alors proposé un projet qui nous avait beaucoup amusé : je lui soumettais des livres de cuisine et lui les critiquait, au même titre qu’on l’aurait fait pour une sortie littéraire. On filmait ça et ça passait à l’époque à la télé dans une émission dont j’avais la responsabilité.Puis un jour, il m’annonce : "Je vais ouvrir mon restaurant, ça va s'appeler "Table." Depuis, je l’ai suivi, et je suis très heureux qu'aujourd'hui ce soit lui qui me rejoigne ici, pour vous. Pour vous raconter son aventure unique, ses racines, son histoire, celle qui l’a mené à devenir l’un des chefs les plus en vue de notre gastronomie.Pour (re)découvrir le livre de Bruno Verjus L'art de nourrir c'est par ici.Production : NOLAJournaliste et réalisateur : David OrdonoHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici un épisode très attendu sur CHEFS, l'épisode de Bruno Verjus. Pourquoi "tant attendu" ? Et bien pour deux raisons :Vous êtes nombreux à avoir demandé qu'il vienne enfin raconter son histoire. Bruno Verjus intrigue... Et pour cause : il a ouvert son restaurant Table à 54 ans, sans expérience en tant que chef. C’était en 2013. Cinq ans plus tard, il décroche sa première étoile Michelin, puis une seconde en 2022. Aujourd’hui, Table occupe la 3ème place au classement mondial du 50 Best Restaurants, rien de moins.La seconde raison est plus personnelle. Avant de devenir chef, Bruno Verjus était un observateur averti de la gastronomie mondiale. Journaliste, chroniqueur culinaire, il a su mettre la cuisine en mots. C'est par ses textes que je l'ai découvert, notamment sur son blog Foodintelligence. Je lui avais alors proposé un projet qui nous avait beaucoup amusé : je lui soumettais des livres de cuisine et lui les critiquait, au même titre qu’on l’aurait fait pour une sortie littéraire. On filmait ça et ça passait à l’époque à la télé dans une émission dont j’avais la responsabilité.Puis un jour, il m’annonce : "Je vais ouvrir mon restaurant, ça va s'appeler "Table." Depuis, je l’ai suivi, et je suis très heureux qu'aujourd'hui ce soit lui qui me rejoigne ici, pour vous. Pour vous raconter son aventure unique, ses racines, son histoire, celle qui l’a mené à devenir l’un des chefs les plus en vue de notre gastronomie.Pour (re)découvrir le livre de Bruno Verjus L'art de nourrir c'est par ici.Production : NOLAJournaliste et réalisateur : David OrdonoHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici une histoire que j’espérais depuis longtemps me voir confier, celle du chef Arnaud Donckele.Mais jusqu'à lors on a eu du mal à se trouver car vous le savez sûrement, il a la particularité de diviser son temps pour résumer entre deux restaurants réunis sous la bannière Cheval Blanc. L’un se trouve à St Tropez, l’autre au premier étage de la Samaritaine, au cœur de Paris, là précisément où, en ce matin de novembre il m’a donné rendez-vous.Il est 9h45 quand j’installe les micros dans le petit salon. Dehors le ciel est chargé, le mercure frôle les 0 degrés, on sent que l’hiver va arriver et je me dis qu’on pourrait le passer ici, à regarder Paris.Juste au-dessus de la Seine. Au-dessus du va et vient des piétons, des files de voiture… Car non ce restaurant il n’as pas été installé au sommet, de l’immeuble, et ça en dit beaucoup... Il n'est pas déconnecté, il n’est pas clinquant et il sait saisir la ville. De ce point-là, on embrasse le pont qui conduit à l’île, les façades, les quais, on a pile la bonne hauteur pour saisir la poésie, pour en être sans s’y perdre…Vous allez découvrir le portrait d’un homme qui n’aime rien moins justement que la satisfaction d’être au sommet. Comme quoi on peut rester soi, à la bonne hauteur, alors que sur le papier, du guide rouge notamment on fait partie des plus grands…Vous allez découvrir l’histoire d’un chef qui porte aujourd’hui six étoiles entre deux restaurants. De celui qui a cueilli les trois dernières d’un coup et en quelques mois seulement. D’un homme qui place l’humain au centre de tout et fait du cœur celui de son attention, voici l’histoire d’Arnaud Donckele.PROD : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisation : Nathan CohenPour découvrir la Vague d'Or, le restaurant d'Arnaud Donckele à Saint Tropez c'est ici !Pour découvrir Plénitude, le restaurant d'Arnaud Donckele à Paris, c'est là !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici une histoire que j’espérais depuis longtemps me voir confier, celle du chef Arnaud Donckele.Mais jusqu'à lors on a eu du mal à se trouver car vous le savez sûrement, il a la particularité de diviser son temps pour résumer entre deux restaurants réunis sous la bannière Cheval Blanc. L’un se trouve à St Tropez, l’autre au premier étage de la Samaritaine, au cœur de Paris, là précisément où, en ce matin de novembre il m’a donné rendez-vous.Il est 9h45 quand j’installe les micros dans le petit salon. Dehors le ciel est chargé, le mercure frôle les 0 degrés, on sent que l’hiver va arriver et je me dis qu’on pourrait le passer ici, à regarder Paris.Juste au-dessus de la Seine. Au-dessus du va et vient des piétons, des files de voiture… Car non ce restaurant il n’as pas été installé au sommet, de l’immeuble, et ça en dit beaucoup... Il n'est pas déconnecté, il n’est pas clinquant et il sait saisir la ville. De ce point-là, on embrasse le pont qui conduit à l’île, les façades, les quais, on a pile la bonne hauteur pour saisir la poésie, pour en être sans s’y perdre…Vous allez découvrir le portrait d’un homme qui n’aime rien moins justement que la satisfaction d’être au sommet. Comme quoi on peut rester soi, à la bonne hauteur, alors que sur le papier, du guide rouge notamment on fait partie des plus grands…Vous allez découvrir l’histoire d’un chef qui porte aujourd’hui six étoiles entre deux restaurants. De celui qui a cueilli les trois dernières d’un coup et en quelques mois seulement. D’un homme qui place l’humain au centre de tout et fait du cœur celui de son attention, voici l’histoire d’Arnaud Donckele.PROD : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisation : Nathan CohenPour découvrir la Vague d'Or, le restaurant d'Arnaud Donckele à Saint Tropez c'est ici !Pour découvrir Plénitude, le restaurant d'Arnaud Donckele à Paris, c'est là !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici une histoire que j’espérais depuis longtemps me voir confier, celle du chef Arnaud Donckele.Mais jusqu'à lors on a eu du mal à se trouver car vous le savez sûrement, il a la particularité de diviser son temps pour résumer entre deux restaurants réunis sous la bannière Cheval Blanc. L’un se trouve à St Tropez, l’autre au premier étage de la Samaritaine, au cœur de Paris, là précisément où, en ce matin de novembre il m’a donné rendez-vous.Il est 9h45 quand j’installe les micros dans le petit salon. Dehors le ciel est chargé, le mercure frôle les 0 degrés, on sent que l’hiver va arriver et je me dis qu’on pourrait le passer ici, à regarder Paris.Juste au-dessus de la Seine. Au-dessus du va et vient des piétons, des files de voiture… Car non ce restaurant il n’as pas été installé au sommet, de l’immeuble, et ça en dit beaucoup... Il n'est pas déconnecté, il n’est pas clinquant et il sait saisir la ville. De ce point-là, on embrasse le pont qui conduit à l’île, les façades, les quais, on a pile la bonne hauteur pour saisir la poésie, pour en être sans s’y perdre…Vous allez découvrir le portrait d’un homme qui n’aime rien moins justement que la satisfaction d’être au sommet. Comme quoi on peut rester soi, à la bonne hauteur, alors que sur le papier, du guide rouge notamment on fait partie des plus grands…Vous allez découvrir l’histoire d’un chef qui porte aujourd’hui six étoiles entre deux restaurants. De celui qui a cueilli les trois dernières d’un coup et en quelques mois seulement. D’un homme qui place l’humain au centre de tout et fait du cœur celui de son attention, voici l’histoire d’Arnaud Donckele.PROD : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisation : Nathan CohenPour découvrir la Vague d'Or, le restaurant d'Arnaud Donckele à Saint Tropez c'est ici !Pour découvrir Plénitude, le restaurant d'Arnaud Donckele à Paris, c'est là !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici une histoire que j’espérais depuis longtemps me voir confier, celle du chef Arnaud Donckele.Mais jusqu'à lors on a eu du mal à se trouver car vous le savez sûrement, il a la particularité de diviser son temps pour résumer entre deux restaurants réunis sous la bannière Cheval Blanc. L’un se trouve à St Tropez, l’autre au premier étage de la Samaritaine, au cœur de Paris, là précisément où, en ce matin de novembre il m’a donné rendez-vous.Il est 9h45 quand j’installe les micros dans le petit salon. Dehors le ciel est chargé, le mercure frôle les 0 degrés, on sent que l’hiver va arriver et je me dis qu’on pourrait le passer ici, à regarder Paris.Juste au-dessus de la Seine. Au-dessus du va et vient des piétons, des files de voiture… Car non ce restaurant il n’as pas été installé au sommet, de l’immeuble, et ça en dit beaucoup... Il n'est pas déconnecté, il n’est pas clinquant et il sait saisir la ville. De ce point-là, on embrasse le pont qui conduit à l’île, les façades, les quais, on a pile la bonne hauteur pour saisir la poésie, pour en être sans s’y perdre…Vous allez découvrir le portrait d’un homme qui n’aime rien moins justement que la satisfaction d’être au sommet. Comme quoi on peut rester soi, à la bonne hauteur, alors que sur le papier, du guide rouge notamment on fait partie des plus grands…Vous allez découvrir l’histoire d’un chef qui porte aujourd’hui six étoiles entre deux restaurants. De celui qui a cueilli les trois dernières d’un coup et en quelques mois seulement. D’un homme qui place l’humain au centre de tout et fait du cœur celui de son attention, voici l’histoire d’Arnaud Donckele.PROD : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisation : Nathan CohenPour découvrir la Vague d'Or, le restaurant d'Arnaud Donckele à Saint Tropez c'est ici !Pour découvrir Plénitude, le restaurant d'Arnaud Donckele à Paris, c'est là !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Rendez-vous face à la mer, à Marseille, à quelques pas de la corniche Kennedy, au détour d’un petit passage qui débouche sur les rochers, on se retrouve devant le portail de cette bâtisse que toutes celles et ceux qui ont pris cette route littorale ont aperçue, nous voici dans un temple de la gastronomie française : Le petit Nice.Ce n’est pas rien de venir ici, de s’asseoir face au chef et d’entendre cet accent et surtout cette façon unique de prononcer certains mots...Ce n’est pas rien de retrouver dans cette musique la voix de son père et de repenser aux dizaines de fois où à l’arrière de la voiture alors qu’il conduisait on est passé par là, en longeant la mer, lisant ces lettres bleues peintes sur le mur blanc éclatant : PASSEDAT.Sur un rocher, la mer aux pieds, il y a donc là, depuis 1917, entre l’anse de Maldormé et celle de la fausse monnaie, une famille qui cuisine et reçoit Marseille, et qui l’incarne aussi.Ce nom d’ailleurs il est indissociable de la ville. Ici, on s’est battu pour défendre Marseille et faire entendre au loin le nom de cette ville aussi.Ce lieu est ancré là, comme un bateau qui ne voudrait jamais plus quitter son port et qui passe pourtant son temps à regarder vers l’horizon.Cet endroit ressemble à Gérald Passedat ou est-ce l’inverse? Quoi qu’il en soit, il y a là toute l’énergie que vous allez entendre d’un chef qui a su maintenir un héritage et l’emmener vers le Graal de la gastronomie.Cet endroit il est posé, immuable, face à la mer, dans le mistral il se tient fier immobile et en même temps il clame un nom à tous ceux qui passe devant…Pas si calme en fait, il gueule aussi son envie de vivre et d’explorer, son goût pour la densité d’une vie qui ne s’arrête pas quand vient la nuit.Je ne sais pas si je vous parle de cet endroit, de ce chef trois étoiles, si je vous dis que, face à nous, alors que j’allume les micros il y a l’immensité de la mer méditerranée, qu’on est baignés de lumière mais qu’on sent que l’énergie ici sait aussi épouser le tumulte.Les micros sont posés sur une table basse à côté d’un livre sublime que le chef a signé en 2013 et que je possède depuis sa sortie. Ce livre il s’appelle "Des abysses à la lumière", et on pourrait presque s’arrêter la… Mais je vous propose pour éclairer la profondeur de sa cuisine de découvrir l’histoire de Gérald Passedat.Pour découvrir la cuisine du chef, et passez un moment unique dans un endroit sans pareil (on peut pas dire autre chose), c'est par ici !Pour découvrir Club Pépites, notre partenaire de talent qui accompagne les chefs et fait profiter les gastronomes que nous sommes de produits et de moments exceptionnels, c'est par ici !Journaliste & réalisateur : David OrdonoUne production NOLAHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rendez-vous face à la mer, à Marseille, à quelques pas de la corniche Kennedy, au détour d’un petit passage qui débouche sur les rochers, on se retrouve devant le portail de cette bâtisse que toutes celles et ceux qui ont pris cette route littorale ont aperçue, nous voici dans un temple de la gastronomie française : Le petit Nice.Ce n’est pas rien de venir ici, de s’asseoir face au chef et d’entendre cet accent et surtout cette façon unique de prononcer certains mots...Ce n’est pas rien de retrouver dans cette musique la voix de son père et de repenser aux dizaines de fois où à l’arrière de la voiture alors qu’il conduisait on est passé par là, en longeant la mer, lisant ces lettres bleues peintes sur le mur blanc éclatant : PASSEDAT.Sur un rocher, la mer aux pieds, il y a donc là, depuis 1917, entre l’anse de Maldormé et celle de la fausse monnaie, une famille qui cuisine et reçoit Marseille, et qui l’incarne aussi.Ce nom d’ailleurs il est indissociable de la ville. Ici, on s’est battu pour défendre Marseille et faire entendre au loin le nom de cette ville aussi.Ce lieu est ancré là, comme un bateau qui ne voudrait jamais plus quitter son port et qui passe pourtant son temps à regarder vers l’horizon.Cet endroit ressemble à Gérald Passedat ou est-ce l’inverse? Quoi qu’il en soit, il y a là toute l’énergie que vous allez entendre d’un chef qui a su maintenir un héritage et l’emmener vers le Graal de la gastronomie.Cet endroit il est posé, immuable, face à la mer, dans le mistral il se tient fier immobile et en même temps il clame un nom à tous ceux qui passe devant…Pas si calme en fait, il gueule aussi son envie de vivre et d’explorer, son goût pour la densité d’une vie qui ne s’arrête pas quand vient la nuit.Je ne sais pas si je vous parle de cet endroit, de ce chef trois étoiles, si je vous dis que, face à nous, alors que j’allume les micros il y a l’immensité de la mer méditerranée, qu’on est baignés de lumière mais qu’on sent que l’énergie ici sait aussi épouser le tumulte.Les micros sont posés sur une table basse à côté d’un livre sublime que le chef a signé en 2013 et que je possède depuis sa sortie. Ce livre il s’appelle "Des abysses à la lumière", et on pourrait presque s’arrêter la… Mais je vous propose pour éclairer la profondeur de sa cuisine de découvrir l’histoire de Gérald Passedat.Pour découvrir la cuisine du chef, et passez un moment unique dans un endroit sans pareil (on peut pas dire autre chose), c'est par ici !Pour découvrir Club Pépites, notre partenaire de talent qui accompagne les chefs et fait profiter les gastronomes que nous sommes de produits et de moments exceptionnels, c'est par ici !Journaliste & réalisateur : David OrdonoUne production NOLAHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rendez-vous face à la mer, à Marseille, à quelques pas de la corniche Kennedy, au détour d’un petit passage qui débouche sur les rochers, on se retrouve devant le portail de cette bâtisse que toutes celles et ceux qui ont pris cette route littorale ont aperçue, nous voici dans un temple de la gastronomie française : Le petit Nice.Ce n’est pas rien de venir ici, de s’asseoir face au chef et d’entendre cet accent et surtout cette façon unique de prononcer certains mots...Ce n’est pas rien de retrouver dans cette musique la voix de son père et de repenser aux dizaines de fois où à l’arrière de la voiture alors qu’il conduisait on est passé par là, en longeant la mer, lisant ces lettres bleues peintes sur le mur blanc éclatant : PASSEDAT.Sur un rocher, la mer aux pieds, il y a donc là, depuis 1917, entre l’anse de Maldormé et celle de la fausse monnaie, une famille qui cuisine et reçoit Marseille, et qui l’incarne aussi.Ce nom d’ailleurs il est indissociable de la ville. Ici, on s’est battu pour défendre Marseille et faire entendre au loin le nom de cette ville aussi.Ce lieu est ancré là, comme un bateau qui ne voudrait jamais plus quitter son port et qui passe pourtant son temps à regarder vers l’horizon.Cet endroit ressemble à Gérald Passedat ou est-ce l’inverse? Quoi qu’il en soit, il y a là toute l’énergie que vous allez entendre d’un chef qui a su maintenir un héritage et l’emmener vers le Graal de la gastronomie.Cet endroit il est posé, immuable, face à la mer, dans le mistral il se tient fier immobile et en même temps il clame un nom à tous ceux qui passe devant…Pas si calme en fait, il gueule aussi son envie de vivre et d’explorer, son goût pour la densité d’une vie qui ne s’arrête pas quand vient la nuit.Je ne sais pas si je vous parle de cet endroit, de ce chef trois étoiles, si je vous dis que, face à nous, alors que j’allume les micros il y a l’immensité de la mer méditerranée, qu’on est baignés de lumière mais qu’on sent que l’énergie ici sait aussi épouser le tumulte.Les micros sont posés sur une table basse à côté d’un livre sublime que le chef a signé en 2013 et que je possède depuis sa sortie. Ce livre il s’appelle "Des abysses à la lumière", et on pourrait presque s’arrêter la… Mais je vous propose pour éclairer la profondeur de sa cuisine de découvrir l’histoire de Gérald Passedat.Pour découvrir la cuisine du chef, et passez un moment unique dans un endroit sans pareil (on peut pas dire autre chose), c'est par ici !Pour découvrir Club Pépites, notre partenaire de talent qui accompagne les chefs et fait profiter les gastronomes que nous sommes de produits et de moments exceptionnels, c'est par ici !Journaliste & réalisateur : David OrdonoUne production NOLAHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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