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Dinguerie Room

Dinguerie Room

Author: Engle

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Description

Bienvenue dans Dinguerie Room, le refuge et sanctuaire à la dinguerie. Tous les quinze jours, Amelle Chahbi reçoit une personnalité de la scène comique pour une discussion sans filtre. L ‘intimité, le off, le drôle mais aussi le moins drôle. Dans Dinguerie Room, on parle de ce qui les fait vibrer, flipper et rêver dans ce métier pas comme les autres. Le point commun entre Amelle et ses invités ? Un micro et une passion pour l’humour et la scène. Dinguerie Room, une nouvelle discussion entre passionnés à savourer tous les 15 jours.
Présenté par Amelle Chahbi
Productrice : Clemence Friess
Réalisateur : Raphael Fruchard
Ingénieur du son : Thomas Gabriel
Coordinatrice de production: Alix Penichon
Suivez-nous sur les réseaux sociaux sur @dinguerieroom.
Dinguerie Room est un podcast original Engle.

62 Episodes
Reverse
Amelle se prête au jeu et donne les reines de Dinguerie Room à Yacine Belhousse le temps d’un épisode très spécial.Naître et grandir au coeur de Paris dans l’atmosphère très faubourg d’une rue Saint-Denis où les gens se respectaient et savaient vivre ensemble. Le souvenir des portiers qui guettent et qui protègent, de Madame Rose dont on admire déjà toute petite l’élégance sans connaître le métier qu’elle exerce mais qui va marquer de son empreinte une envie de donner à travers son Art le respect que les ces femmes prostituées méritent. Une maman au grand coeur qui porte le voile et inculque la politesse, la tolérance et le non jugement de l’autre. Venir d’une famille pauvre mais surtout riche d’amour et dans laquelle le peu d’opportunités forge une détermination sans faille, parce qu’on n’a rien à perdre. Les codes appris très tôt qui permettent de bâtir des ponts entre différents mondes. L’humour comme une clé et la scène comme une prise de pouvoir. Les amis, les figures féminines, les jobs d’étudiante choisis pour atteindre les objectifs qu’on s’est fixés et cette première scène douloureuse mais où l’on sait qu’on est au bon endroit. Embrouilla et l’amour assumé pour le beau. L’importance de ne rien laisser au hasard et de ne jamais lâcher une idée qui tient çà coeur. L’aversion pour les gens qui se la racontent et pour tout ce qui est excluant. Et plus que tout, cet amour viscéral pour le stand up qui fait qu’on remet les pieds sur scène après 6 ans d’absence même en devant ré-accorder son instrument. On parle de licorne, de VHS, d’amitié, de Lilou, Raphaelle, Margaux, Marion, Julien, Malika, Jamel, Wahid, Gad, Kader, Arielle, Fred, Dominique, Rachid, Jean-Louis, Urbain, Smaïn, Virginie, des deux Louis, Blanche, Monthy, Eddie et Suzy, de ces femmes rares qui donnent une chance. D’un film avec des chaussettes, du verlan et de cette envie aujourd’hui de laisser une trace, un héritage. Bien sur, on revient sur ces 2 années Dinguerie Room, de cette importance de bien recevoir celles et ceux qu’on respecte et avec qui on a le feeling, de cette envie de faire comprendre à quel point ce métier est fait d’humilité, qu'il est beau et qu’il mérite d’être respecté. Pour ce dernier épisode, on découvre avec vous et on savoure ensemble comme des cadeaux les messages laissés par les invités de la dernière saison dans le livre d’or audio. Merci du fond du coeur à Yacine pour ce dernier épisode. Vive la dinguerie. Et surtout vive le stand up.
Abonnez vous et retrouvez l’ensemble des épisodes de la Réplique iciLa Réplique avec Constance Gay Dans cet épisode de La Réplique, Ambre Larrazet échange avec Constance Gay sur son parcours de comédienne, ses débuts, ses méthodes de travail et son amour pour la Belgique. Une discussion sincères et pleine d'humour sur les coulisses du métier.
La Dinguerie Room de Papy.

La Dinguerie Room de Papy.

2023-06-1401:02:16

Amelle reçoit celui qui fait sauter les verrous. La légende vivante. Papy.Le rôle crucial de la considération et l’importance de la singularité. Avoir beau être une légende vivante, se sentir avant tout un accompagnateur artistique chanceux de vivre des aventures humaines. Les rencontres qui marquent, le métier de metteur en scène, l’improvisation théâtrale mais aussi littéraire. L’importance de tester parce que le vrai metteur en scène c’est le public. Être un enthousiaste qui communique son enthousiasme à des gens qui doutent. Une future Papynière à Trappes ou encore le jumelage de la ville de Trappes avec la Comédie Française. L’amour des clowns et des burlesques américains parce que le comique de situation c’est fabuleux. L’importance de maitriser sa respiration au bon endroit et d’être dans le présent avec l’autre, dans l’accident possible. Cette chance de faire du spectacle vivant. La charge mentale qu’un spectacle représente pour un artiste qui comme un pilote de formule 1 n’a pas le droit à l’erreur. Le profond respect pour les personnes qui se mettent à nue pendant plus d’une heure. Ce surnom adoré d’un enfant abandonné chez Tata Tonton, et qui est devenu au fil des ans le papy de tout le monde. Les dingueries du passé et celle du future. On parle de Jamel Debbouze, Blanche Gardin, Bun Hay Mean, Wahid Bouzidi, Sophia Aram, Arnaud Tsamère, Alban Ivanov, Issa Doumbia, Mounia Aram, Jacques Massadian, Chloé Oliveres, Monsieur Fraize, Buster Keaton, Éric Ruf, Molière, Les frères Tamouille, Sanseverino, Frédéric Jeandupeux, Déclic Théâtre, le Trophée Culture et Diversité, la séquence du spectateur, Mustapha El Atrassi ou encore Coluche. Et puis on voyage, à fête de l’Huma, au Movie’s, au Field … et forcément à Trappes.
Amelle reçoit celui qui tient la promesse qu’il s’est faite d’être debout sur scène et de kiffer la vie. Wahid Bouzidi.Passer du théâtre mélodramatique au stand up et y retrouver une famille avec laquelle on vit les meilleurs moments de sa vie, on passe des messages collectivement et on se créé des souvenirs impérissables sur (et hors) scène. Une générosité qu’on apprend à 44 ans à mesurer avec des « non ». L’importance de donner de la force aux autres, au moins pour la première. Un troisième AVC qui change tout avec des parloirs blancs qu’on pardonne mais dont on oubliera jamais la solitude, et cette promesse faite que si on arrive à contredire les médecins en remarchant on kiffera la vie en sortant de l’hôpital. L’amour inconditionnel pour une femme exceptionnelle qu’on veut plus que tout rendre fière. Une renaissance qui fait évoluer ses priorités à base de sport, de semaines rythmées par des rendez-vous mais aussi des vacances. Cette première qui prend la forme d’une victoire. L’écriture, les dingueries, le plus beau cadeau du monde… On parle de Booder, Papy, Kader Aoun, Yacine Belhousse, Noom Diawara, Frédéric Chau, Patson, Mouss Diouf, Thomas Ngijol, Fabrice Éboué, Claudia Tagbo, Paul Séré, Chris Rock, Emilio Butragueño. Et on voyage au Jamel Comedy Club, au Casino de Paris en passant pas la salle Jacques Prévert d'Aulnay sous bois, le République, le Théâtre de Dix Heures, le Grand Point Virgule, le Petit Point Virgule, l'Apollo et l’Olympia.
Amelle reçoit celui pour qui chacune de ses blagues est un accident, trouvée sur le moment. Louis Dubourg.Une passion pour le stand up née bien avant de monter sur scène. L’impossibilité d’écrire sur commande. Faire ou pas faire une heure telle est la question. Cette horrible première fois sur scène mais après laquelle on décide d’en faire son métier. Le rôle du MC qui permet d’apprendre que le plus important c’est ce qu’on diffuse au public. L’envie d’être anonyme sur scène. Des cheveux qui prennent feu dans la salle. Le podcast Un café au Lot 7. L’enfance, la famille, les sacrifices qu’il faut faire les premières années, l’ego, les dingueries. S’être coupé des réseaux sociaux, ChatGPT ou encore vivre des déclics qui font avancer. On parle de Bill Burr, Patrice O'Neal, Norm MacDonald, Louis CK, David Letterman, Fary, Yacine Belhousse, Pierre Thevenoux, Adrien Arnoux, Paul Dechavanne, Nathan Bensoussan, Alex Nguyen, Panayotis Pascot, Vérino, Seinfeld, Sarah Silverman, Jason Brokerss, Doully, Johnny Hallyday, Blanche Gardin, John Mulaney, Todd Barry, Seth Rogen, Jude Apatow, Will Ferrell, Amy Schumer, Richard Pryor, Thomas VDB, Eddy King, Dave Chappelle, Alain Chabat, Éric Judor, Harry Potter, Jay-Z… En passant par le Fridge, Saturday Night Live, les Soirées 1ere fois, le Goku, le Zonar, le théâtre de l’Atelier, l’Européen et biensûr au Madame Sarfati.
Amelle reçoit celui pour qui tout le monde est capable de tout comprendre, si on situe la vanne. Haroun.La hantise de l’excès de parole et le besoin de rester en retrait pour se concentrer sur ce qu’on a envie de dire et la façon de clarifier son propos. Le partage de culture gratuite, la responsabilité qu’ont les humoristes de leurs blagues et la façon dont les gens en rient. La sur-bienveillance derrière laquelle se cache souvent du mépris. Avoir à coeur de parler de sujets sociétaux avec des références populaires. Aimer par-dessus tout l’écriture. L’acmée et comment se renouveler et faire mieux que le spectacle précédent. L’importance de s’intéresser aux générations qui suivent. La folie et la démesure des années 80. Les classiques de comédie avec des dialogues qui font la différence. Dans le désordre on parle de Jean-Pierre Bacri, Agnès Jaoui, Yacine Belhousse, Alex Vizorek, Rédouane Bougheraba, Michel Blanc, Dave Chapelle, George Carling, Coluche, le Splendide, Johnny Hallyday, Charles Aznavour, I AM, Jacques Audiard… Mais aussi de Pasquinade, de La lamentation du prépuce de Shalom Auslander, Viens chez moi j’habite chez une copine, Marche à l’ombre, Les Bronzés, Le père Noël est une ordure, Affreux sales et méchants, Un air de famille, Astérix et Obélix : Mission Cléôpatre, OSS 117, Cuisine et Dépendance ou encore Rocky.
Amelle reçoit celle pour qui il est important de ne pas oublier que si l’on s’amuse, les gens s’amusent. Virginie Hocq.Ces imprévus sur scène où le corps nous rappelle qu’on est juste humain. L’importance de la valorisation et de ne pas casser dans l’oeuf le désir de créativité. Se souvenir de tous les gens qui nous ont porté à un moment. Avoir depuis le premier jour conscience qu’on est toujours le plus petit de quelqu’un. Le théâtre, cette fondation acquise à l’Académie et au Conservatoire. Être remplie de doutes mais choisir la liberté. L’emploi du temps de maman dans lequel on a parfois l’impression d’être au cirque et de faire tourner des assiettes sur des baguettes. L’importance d’être curieux et d’avoir plusieurs cordes à son arc. Le besoin d’incarner les choses. L’empathie, la reconnaissance, l’amour des spectateurs qu’on aimerait pouvoir serrer dans ses bras. Les moments de grâce sur scène… On parle de Denise Gray, Vincent Taloche, Victor Scheffer, Blanche Gardin, Gad Elmaleh, Valérie Lemercier, Pascal Guillaume, Annie Cordy… Et forcément, on voyage entre Bruxelles et Paris.
Amelle reçoit Mustapha El Atrassi.Les adieux sur scène à la scène. La stigmatisation de l’Islam. Le prix et les fruits d’une indépendance totale. L’amour inconditionnel pour la grande Khadija El Azzouzi. Être sur scène comme dans la vie. Le public et l’impact de sketchs dans la vie des gens. Jacques Brel. Chris Rock. Il était une fois dans le Bronx… Et partir la tête pleine de souvenirs après avoir vécu des moments extraordinaires sur scène. Bienvenue dans une dinguerie plus qu'exceptionnelle.
Amelle reçoit celui qui aime dans le stand up son instantanéité. Pierre Thevenoux.La première fois qu’on réalise qu’on peut gagner de l’argent en faisant ce qu’on aime et que ça a de la valeur. Les clubs où une palette fait office d’estrade, les chichas où en plein milieu de son passage le DJ peut envoyer un son gyrophare. Les bides jazzy ou cette sensation d’avoir craquer le code quand les blagues marchent. Aimer par-dessus tout écrire et aller tester. La salle de sport qui permet de se sentir en forme parce que dans le métier c’est tous les soirs samedi. L’importance de savoir se dire « c’est bien » sans tomber dans la catégorie des non lucides, et de garder une vie sociale en dehors du métier. Le ski qu’on commence à 33 ans en mode flocon. Le côté positif du stand up où on peut faire tout tout seul et à son rythme mais aussi son versant loup solitaire. Les chroniques à la radio, les dingueries heureuses et moins heureuses sur scène. La famille, les potes et la journée parfaite qui démarre par la méditation.… On parle de Samy Bel, Boriss Chelin, Thomas VDB, Yacine Belhousse, Ghislain Blick, Jean-Patrick je suis lapin, Franjo, Louis Chappey, Nordine Ganso, Rachid Badouri, Paul Mirabel, Djimo, Gérémy Credeville, Roman Frayssinet, Louis Dubourg, Mustapha El Atrassi, Morgane Cadignan, John Sulo, Merwane Benlazar, Jamel Debbouze, Ahmed Sparrow, Djamil Le Shlag, Benjamin Tranié, Yassine Belattar, Pierre-Emmanuel Barré, Mouloud Achour, Fary, Urbain, Adrien Arnoux, Dave Chapelle, Louis CK, Bill Burr, Chris Rock, Kevin Hart, Ali Wong, Sarah Silverman, Kev Adams, Gad Elmaleh. Et on voyage au Loup Comedy, Fridge, Madame Sarfati, White Dream, Café Oscar, Paname, l’Arena de Poitiers, l’Art Du à Marseille, le One more Joke, l’Apollo, le Comedy Cellar ou encore au Trianon.
Amelle reçoit celle qui aime voir la transformation que l’art peut provoquer chez les gens. Tahnee.Rêver secrètement de faire du stand up et tout en devenant une ingénieure se lancer pour vivre de sa passion. L’importance de parler sur scène de choses qui touchent et dont entend pas assez parler. La sous-représentation des femmes dans le stand up qu’on combat en créant un plateau safe, féministe et solidaire dans lequel la communauté LGBQI+ a la place qu’elle mérite. Les rencontres précieuses qui donnent la confiance et la force, l’importance de la transmission. La famille, les racines, le métissage d'un papa guadeloupéen et d'une mère ch'ti qu’on vit et qu’on éclaire. La Guadeloupe, la Normandie mais aussi la Touraine. Le besoin d’être en mouvement pour stimuler sa créativité, l’attente interminable derrière le rideau avant la rencontre avec le public et la musique qu’on aime entendre quand les gens s'installent dans la salle... Mais aussi et surtout le bonheur des moments où l’on prend conscience que ce que l’on dit résonne autant avec d'autres… On parle d’Alicia Cesttout, Mahaut, Lucie Carbone, Tatiana, Fanny Spinetta, Gad Elmaleh, Jamel Debbouze, Florence Foresti, Rémi Boyes, Shirley Souagnon, Urbain, Sibylle de Montigny, Nina Simone, Oxmo Puccino, Diam’s, Bob Marley, Billie Holiday, Aretha Franklin, Ayo, Laura Domenge, Marine Baumange, Morgane Cadignan, Anna Gatsby… Et comme toujours on voyage, au Good Girls Comedy Club, Comedy Love, Topito, Jardin Sauvage, Barbès Comedy Club, le théâtre des Trois bornes, l’Européen, la LIP en passant par le Festival Afro Punk ou encore Planète Rap.
Amelle reçoit celui qui depuis toujours ne laisse rien au hasard. Merwane Benlazar.Des ateliers extra-scolaires dans le préfabriqué du collège où les cours d'impro théâtrale, parties de Loups-garous de thiercelieux et de RISK font naître une vocation et construisent un mental. L’importance des déclics qui font à chaque fois franchir une étape. La première scène à 16 ans, se sentir aujourd’hui validé par des pairs qu’on admirait quand on était petit. Le rôle du MC aussi formateur qu’impitoyable. La mécanique du C’est comme ou ce précieux troisième oeil qui pousse à supprimer ce qu'il faut. La sagesse et le recul que la religion inssufle. Le bide, ce bizutage qui dure dans le métier pendant des années. Avoir été ce pion au collège qui tout va tant que les élèves font travailler leur cerveau. Le super pouvoir de se déplacer dans les airs. Les moments de grâce, sur scène ou sur son canapé après avoir regardé un spécial qui réveille tous les sentiments qu’on a en soi. Mais aussi la famille et la pudeur de déclarations d’amour qui passent par des verrines… On parle de Kheiron, Fary, Jason Brokerss, Seb Mellia, Farid Chamekh, Lenny M’Bunga, Navo, Bun Hay Mean, Jerry Seinfeld, Chris Rock, Gad Elmaleh, Paul Dechavanne, Panayotis Pasco, Kyan Khojandi, Antoinette, Nordine Ganso, Ghislain Blick, Bo Burnham, Dave Chapelle, Kendrick Lamar, aussi des spectacles Make Happy et I’m Telling you for The Last Time. On voyage, direction le Bordel Club, Montreux, Madame Sarfati, Grand Coin, Goku, Fridge, le Point Virgule, le Barbès ou encore au Dôme.
Amelle reçoit celui qui fuit au maximum la gravité et le sérieux. R. Jonathan Lambert.Débuter à 19 ans dans une émission de télé à l’ancienne comme on l’aime, puis n’avoir qu’une envie : celle de rejoindre de grands débiles qui s’éclatent dans l’immeuble d’en face. Le tournant des premiers sketchs écrits de manière professionnelle et le souvenir impérissable de la première scène comme d’un dépucelage heureux. La perte d’un père qui fuyait comme la peste la gravité et le premier degré, et l’ajout de ce petit R comme d’un clin d’oeil qui lui est envoyé. Être un caméléon qui aime surprendre, utiliser un langage châtier puis sortir de nulle part un truc bien trash mais au bon moment. Le moteur de se remettre en question en permanence et cette validation qu'on cherche encore. Être animé par l’envie de faire du bien et par la curiosité. Les dingueries heureuses et celles moins heureuses sur scène. L’amour de la musique, dans laquelle en mode rouflaquettes et cheveux longs on se voyait à 17 ans devenir une rock star. La famille, la transmission, l'éclectisme, le partage avec les enfants qui grandissent et qui régénèrent sans faire de jeunisme. Cette règle de ne jamais rien imposer. L'amour de la bonne bouffe. On parle de Jean-Pierre Coffre, Arthur, Stéphane Courbit, Dominique Farrugia, Kad et Olivier, les Robins des Bois, Manu Levy, Fabrice Éboué, Bun Hay Mean, Arnaud Lemort, les Oliviers, Coluche, Raymond Devos, Farid Chopel, Philippe Katerine, Ramzy Bedia, Fred Testot, Florence Foresti, Morgane Cadignan, Prince, Trippy Red, Kendrick Lamar mais aussi de Comédie!, de la Grande Emission, des séries The Characters et Better Call Saul, en passant par le Trévise, l’Européen, le Joke Comedy Club, le studio Ornano, le Jardin Sauvage, le Splendide ou encore la Comédie de Paris.
Amelle reçoit celui qui a su prendre le chemin de la liberté. Waly Dia.Avoir été très vite plongé dans la marmite en mode stage d’entreprise filmé. Les écueils des débuts où les codes enferment et font plus de mal qu’autre chose. Le déclic qui libère et conduit aujourd’hui à être aligné avec soi-soi-même et de tout assumer, même les erreurs. La promesse de dire tout le temps, très fort et en rigolant ce que beaucoup n’aiment pas entendre. Devenir père et ne plus parler de carrière mais d’héritage. Le trac le mois d’avant, les plateaux, Avignon, Twitter. L’importance de lire et de s’instruire pour se forger un avis. Qu’on le veuille ou non, être un exemple et faire le choix d’en être un bon. Combattre le système tout devant en faire partie et y survivre. Les belles dingueries qu'on savoure et celles moins cool qu'on gère. Avoir la conscience de son corps sur scène grace à la danse. Les rencontres, les parents, la transmission et cette scène où l’on est libre… On parle du Jamel Comedy Club, d’On ne demande qu’à en rire, de l'émission Par Jupiter sur France Inter, du documentaire Is that black enough for you ?!? sur Netflix, de Jamel Debbouze, Karim Debbouze, Malik Bentalha, D’jal, Nawel Madani, Omar Sy, Tahar Rahim, Frantz Fanon, Rokhaya Diallo, Quentin Ratieuville, Jason Brokerss, Busta Rhymes, Charline Vanhoenacker, Aex Vizorek, Guy Bedos, George Carlin... sans oublier Mickael Quiroga.
Amelle reçoit celui qui déclenche tout en élégance rires de cerveau et rires de ventre. Alex Vizorek.Aimer les alexandrins et avoir commencé l’humour au cours Florent, 90 euros les mieux investis de sa vie pour participer à un stage et y rencontrer sa mère de théâtre, l’importance de l’exigence et de l‘élégance au travail ou encore encourager les parents à emmener leurs enfants aux spectacles car il s’y passe épidermiquement parlant quelque chose. Le point commun entre humoristes et pilotes d’avion, faire du stand up même quand on porte une chemise, un micro casque et des chaussures de ville, utiliser tous les sens sur scène, excepté l’odorat qu’on n’a pas. Avoir pris du père la fibre artistique et de la mère la rigueur, la sensation d’avoir un rdv amoureux avec le public et pour lequel on se prépare. Ce plaisir d’apprendre qui permet de déboucher les canaux intellectuels, pouvoir formuler qu’on est quelqu’un d’heureux. Aimer les théâtres, les loges, le velour mais aussi aller en comedy club en basket avec une bonne bière. Adorer les ambiance populaire comme celle d’un stade foot, réaliser son rêve de gosse en allant voir le championnat du monde de flechettes ou encre écrire un conte pour enfant sur fond de suppositoire… On parle aussi des Grosses Têtes, Elie Kakou, Patrick Timsit, Jean-Marie Bigard, Dany Boon, Pierre Palmade, Coluche, Michel Boujenah, Philippe Lelièvre, Stéphanie Bataille, Christophe Meilland, Guillaume Meurice, Alex Lutz, Vincent Dedienne., Jérome Commandeur, Cyril Hanouna, Elie Semoun, Thomas Wiesel, Johnny Hallyday, Jennifer Lopez, Diam’s, Guillermo Guiz, Fanny Ruwet, Laurence Bibot, Bill Bur, Louis CK, Ricky Gervais, Rédouane Bougheraba, Antoinette du Point Virgule, Camille Lavabre, Marie s’infiltre, Michèle Laroque, Gérard Philipe, Arthur, Jhon Rachid, William Lemergi, Sophie Davant, Arnaud Ducret, Sugar Samy, Basile Boli, Jean-Marie Pfaff, Eric Gerets, Bruegel, Picasso, Miró, Corneilles ou encore Sophie Calle. On voyage au Cirque Royal, au Field, à la Main d’or, au Kings Comedy Club, aux festivals de Ramatuelle et Montreux, à l’Olympia ou encore au Théâtre Edouard VII.
Amelle reçoit celui pour qui qu’importe l’endroit pourvu qu’il y ait un micro et un public. Reda Saoui.Ce premier contact avec l’humour à 9 ans grâce à une VHS qu’on n’oublie pas. Le Montréal doux et crémeux, le Paris vif où l’on se retrouve si bien humoristiquement parlant et où la connexion avec le public est immédiate. Ce plaisir d’écouter les bribes de phrases des gens qu’on croise en marchant dans la rue. Aimer être entouré de gens passionnés. Le métier, si dur et si beau à la fois. La famille et l’importance de ne pas tout sacrifier pour passer du temps avec ceux qu’on aime et voir les choses autrement. La vibe qu’il faut puiser dans la vérité du moment. La méditation, l’écriture, la validation, les rituels, les souvenirs… Mais aussi le Festival Juste pour rire, le Barbès Comedy Club, le Paname, l’Olympia, la Taverne de l’Olympia, l’Européen, La Scala, le Madame Sarfati, le Fridge, le Montreux Comedy Festival, la Place des Art et sa salle Wilfrid-Pelletier. On parle de Bun Hay Mean, Jason Brokerss, Jamel Debbouze, les Inconnus, Les Nuls, Alain Chabat, Fellag, Oum Kalthoum, Mustapha El Atrassi, Fary, Blanche Gardin, Baptiste Lecaplain, Rachid Badouri, Gad Elmaleh ou encore Léo Hardt.
Amelle reçoit celui qui aime mettre de la poésie dans le quotidien. Élie Semoun.Laisser libre cours à la part d’enfant qui est en soi, devenir à 11 ans orphelin d’une mère professeure de Français et savoir depuis faire rire avec le tragique. Une rencontre qui se transforme en coup de foudre amical. Les souvenirs sur scène, gravés à jamais. La création de personnages devenus des classiques. Le stand up, qui s’est complexifié et profondifié. Les tics verbaux qui agacent. L’importance d’être chic sur scène par respect pour le public. L'art des humoristes de savoir porter un regard sur la société et sur l’être humain. La ringardise comme une forme de paresse. La poésie, l’écriture, l’opéra, la musique, l'amour… Mais aussi Ducobu, l’Âge de glace, les Inconnus, Coluche, Dieudonné, Mehdi El Glaoui, Elie Kakou, Dany Boon, Pascal Légitimus, Jean-Marie Bigard, Gad Elmaleh, Hakim Jemili, Romane Frayssinet, Alain Chabat, Gérard Ouri, Florence Foresti, Guy Bedos, Raymond Devos, Alex Métayer, Fary, Rédouane Boughéraba, Manu Payet, Wagner, Ferré, Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, Aragon, Alain-Fournier, sans oublier Mikeline, Madame Piche, Garance, Kevina et George André Gaillard.
Amelle reçoit celui pour qui arrêter de faire du stand up serait un crime. Urbain.L’amour inconditionnel du stand up, le déclic, la culture US, les premières scènes, le bide qui transcende la barrière de la langue. Le poids de la tradition française qui déprime alors que Molière était un punk à son époque. Être dans une période de sa vie où on met un peu d’eau dans son vin et où l'on comprend que les trucs qu’on déteste marchent. Des impros sur scène qui peuvent être vues par des millions de gens. Une histoire de nude sur Insta. La chance dans ce métier de pouvoir devenir toujours meilleur. Les séquelles du confinement. Le metaverse... Mais aussi Kyan Khojandi, Smaïn, Robert Lamoureux, Haroune, Pierre Desproges, Coluche, Alban Ivanov, Dieudonné, Ahmed Sylla, Louis CK, Chris Rock, Eddie Murphy, Jamel Debbouze, Sebastian Marx, Blanche Gardin, Adrien Arnoux, Laurent Moreau, Antoinette, Molière, Booba, Renaud, Brassens, Romane Frayssinet, Kader Aoun, Aude Galliou, Pierre Thévenoux, Louane, Redouane Bougheraba, Zidane, LeBron James, Michael Jordan, Stephen Curry, Gandalf, Schwarzenegger… Aussi le Topito Comedy Night, le Point virgule, le Café Oscar, le Sarfati, le Fridge, le Paname, le So Gymnase, le Chinchman, Montreux… Les films Raw et Delirious, le Burger Quizz, le Cinéma de Jamel, Topito… Et Youtube, Tik Tok , Snapchat ou Instagram !
Amelle reçoit celui qui conçoit sa vie comme les chapitres d’un même livre. Tareek.La magie de la première fois sur scène après qu’un pote se soit improvisé producteur. Arrêter net pour poursuivre ses études de médecine et puis fonder une famille. La radio en parallèle des études qui amène à renouer avec la scène des années plus tard après avoir trop vu les autres faire ce qu’on aime. Les rencontres qui marquent, qui durent et qui changent la vie. L’importance dans le stand up d’être sincère et de ne pas s’inventer une vie. Ce moment charnière où la perte de l’être le plus cher rend tout le reste surmontable. L’importance des livres qui ouvrent l’esprit et aident en impro à avoir plus de mots et de références avec lesquels jouer. Les anecdotes joyeuses et moins joyeuses sur scène. La mise en scène, cet objectif depuis le début. L’amour inconditionnel pour sa petite fille débordante de créativité et qui connaît les plateaux par coeur. On parle de Booder, Kader Aoun, Samia Oroseman, Phil Darwin, Jamel Debbouze, Gad Elmaleh, Jimmy Neutron, Fabrice Éboué, Michel Galabru, Thierry Ardisson forcément et Salut les Terriens ou Lunettes noires pour nuits blanches... Mais aussi de La Bourse du travail de Montreuil, du Field, du théâtre de Ménilmontant, de Beur FM, du théâtre Berthelot, du Dôme et du Paname.
Amelle reçoit celle qui dit tout haut ce que beaucoup n’osent pas se dire tout bas. Tania Dutel.L’importance de se mettre des dead lines dans les dead lines, la bonne tournure pour une vanne qui peut arriver direct mais aussi prendre des mois. Le plaisir de trouver un sujet et de se lancer dans les recherches pour le maîtriser. La sensation aussi vertigineuse qu’incroyable de jouer pour la première devant un public qui vous écoute. Aimer plus que tout la scène, le contact avec les gens et se voire faire ce métier toute sa vie. La manie de tourner en rond avant de monter sur scène, jamais sans son carnet. Parler de choses qui touchent à l’intime et qui peuvent mettre mal à l’aise. Une caméra cachée qui n’en est pas une, la gestion des bides, du rythme effréné des plateaux… Mais aussi Jason Brokerss, Yacine Belhousse, Shirley Souagnon, Fanny Ruet, Sophie-Marie Larrouy, Vérino, Kyan Khojandi, Franc Dubosc, Mustapha El Atrassi, Wahid Bouzidi, le Grand Rex, l’Européen, le One More, Pleyel, le théâtre Antoine… et Dirty Dancing.
Amelle reçoit celui pour qui le rire est une note, un accord. Smaïn.Avoir été bouleversé à 9 ans en voyant au cinéma un adulte faisant l’enfant, Jerry Lewis. Perdre trop tôt ses êtres chers mais s’interdir depuis toujours de se plaindre. Le pouvoir de validation de la télévision, qui change la vie. L’importance des rencontres, de l’histoire et du contexte. La conviction qu’être un artiste n’est pas un statut mais une urgence. La vis comica et le précieux muche muche. Le plaisir de partager et de réunir, la sensation extraordinaire de s’échapper sur scène. Les dingueries heureuse et celles moins heureuses. La passion grimaces ou ce besoin absolu de l’étonnement… Mais aussi Michèle Morgan, Isabelle Adjani, François Mitterrand, Blanche Gardin, Les Inconnus, Alexandre Arcady, Gad Elmaleh, Coluche, les clowns Les Bario, le chansonnier Pierre-Jean Vaillard, Booder, Alban Ivanov… et ce fabuleux West Side Story !
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