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Author: Girls in Food

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La voix des femmes qui font la gastronomie aujourd‘hui
117 Episodes
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Issue d’une famille d’agriculteurs, Marielle Droisneau a été élevée loin du faste des palaces. Très jeune, elle a pourtant l’intuition que sa vie sera tournée vers le monde de la gastronomie. Après un passage en cuisine, c’est en salle qu’elle trouvera véritablement sa voie. Sans jamais se départir de sa simplicité, elle a su porter à son paroxysme l’art du service à la française, appris dans les plus belles maisons. A ses débuts, elle peine pourtant à se faire recruter dans une profession où les femmes ne sont pas les bienvenues. La grande aventure de sa vie sera celle de la Villa Madie, aux côtés de son mari le chef triplement étoilé Dimitri Droisneau. Dans cet épisode, Marielle nous raconte comment, alors qu’ils attendent leur premier enfant, le couple décide de relever le plus grand défi de sa vie en reprenant la Villa Madie, à Cassis. Sans business plan mais avec un savant mélange d’instinct et de goût du risque. Un choix audacieux et couronné de succès : c’est ensemble que Marielle et Dimitri monteront sur la scène de la cérémonie de remise des étoiles Michelin pour recevoir la récompense ultime de la gastronomie. Comment trouver sa place dans un milieu où seuls les chefs sont starifiés ? Comment trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle quand les deux sont aussi intimement liées ? Autant de questions auxquelles Marielle répond avec la simplicité et la sincérité qui la caractérisent.
Avec Cathy Paraschiv, je vous emmène à la rencontre de la cuisine des Balkans. Son histoire est celle d’un exil et d’une reconversion. D’une intégration et d’un retour aux racines. Une histoire en mouvement permanent. Une histoire intranquille. Dans cet épisode, elle nous parle du lien intime que sa famille exilée entretient avec la nourriture, de sa reconversion en cuisine après une carrière dans le domaine juridique. De l’entrepreneuriat qui fait d’elle un « couteau suisse » ; de la création d’un restaurant qui ne ressemble qu’à elle, loin des cadres normés destinés à plaire au plus grand nombre ; du poids qui pèse sur les épaules d’une cheffe et restauratrice quand on a mis autant de soi dans son établissement. Un épisode où la transmission et le partage sont la clef de voûte. Et si l’histoire de Cathy me touche autant, c’est aussi en raison de mes origines, qui se situent non loin des Balkans, en Croatie. La cuisine qu’elle propose chez Ibrik a pour moi le goût des vacances d’été et des familles nombreuses. J’espère qu’elle vous parlera autant qu’à moi.
Une âme voyageuse ancrée à Nantes, c’est ainsi que l’on pourrait décrire Lucie Berthier Gembara, la cheffe à la tête du restaurant Sepia. Vous reconnaissez sûrement son visage et sa voix gouailleuse de son passage dans Top Chef. Mais son histoire de cuisine commence bien plus tôt, lors d’une année en Californie pendant ses études, et dont elle gardera le goût des grandes tablées et du partage. S’en suivront une formation à l’Institut Paul Bocuse et des expériences, vécues intensément ou difficilement, dans une série de maisons prestigieuses. Mais Lucie est avant tout un esprit libre, qui a tôt fait de s’affranchir des normes et des chemins tout tracés pour suivre sa propre route. C’est ainsi que verra le jour Sepia, son restaurant nantais, premier né d’une aventure entrepreneuriale prometteuse, mais toujours connectée à la terre. Car les valeurs de Lucie la relient intimement au terroir local, sans que se tarisse son goût d’ailleurs, bien présent dans ses assiettes. Les pieds dans la terre et le regard clair fixé sur l’horizon, en somme.
Si les créations d’Andrea Rocagel de Luna Creation sont dans l’air du temps, elles sont pourtant le résultat d’un cheminement intime et personnel qui n’a rien à voir avec la tendance. Son parcours, Andrea l’a mené à l’instinct, entre Hong Kong et la France, après des études aux Beaux-Arts et jusqu’à devenir l’une des cheffes de file de la pâtisserie vegan. Au micro de Girls in Food, elle revient sans fard sur ses problèmes de santé, qui, au sortir de l’adolescence, l’ont conduite à repenser sa vie ; sur la richesse et la créativité découvertes dans l’alimentation raw et vegan. Sur la création de sa marque, Luna Créations et sur ses douceurs inédites adoubées par la figure tutélaire de la pâtisserie, Pierre Hermé. Andréa analyse avec franchise son équilibre actuel, frontière étroite entre succès public et syndrome de l’imposteur. Que vous soyez un créateur en devenir qui se questionne sur ses choix de vie ou son envie d’entreprendre, ou tout simplement bec sucré avide de découverte, cet épisode est fait pour vous. Dans tous les cas, le parcours d’Andrea vous parlera, j’en suis sure, autant qu’à moi.
C’est une femme authentique, drôle et sincère que j’ai rencontrée il y a plus d’un an à Nice autour d’un apéro, après avoir échangé pendant longtemps avec elle sur Instagram. Elle incarne à elle seule les belles rencontres rendues possibles par les réseaux sociaux. Dominika Zielinska est volubile, téméraire et engagée. Sa belle énergie contagieuse et sa nature avenante cachent pourtant des moments difficiles et une réflexion intense sur son métier de boulangère pas comme les autres. Car cette autodidacte, qui a commencé à faire son pain chez elle avant d’en faire un choix de carrière, aurait beaucoup à apprendre à certains professionnels. Dans cet épisode, Dominika nous livre sa vision de la boulangerie moderne, qui a beaucoup à voir avec un retour aux sources. Elle partage sa manière d’utiliser les réseaux pour transmettre ses valeurs. Elle revient sur l’étape capitale qu’a représenté pour elle, femme immigrée, le fait de voir son nom de famille affiché sur la devanture d’un commerce en France. Pour toutes ces raisons et de nombreuses autres que vous découvrirez dans cet épisode, j’ai grand plaisir à partager avec vous le parcours de Dominika aujourd’hui.
Sous-cheffe à 18 ans, étoilée à 21, entrepreneure à 23 : le parcours de mon invitée du jour pourrait se résumer à une série de premières fois retentissantes. Mais Julia Sedefdjian est bien plus que cela. Celle qui a longtemps été connue comme « la plus jeune cheffe étoilée de France » n’est pas que la bonne élève de la gastronomie. Déterminée, généreuse, mais aussi impulsive et un peu rebelle, Julia analyse son parcours, sans concession, avec l’authenticité qui la caractérise, loin du storytelling ambiant. Dans cet épisode, elle revient pour nous sur son départ à Paris sur un coup de tête à 17 ans, sur son évolution personnelle en tant que manager en cuisine et sur la difficile question de l’équilibre vie privée-vie professionnelle quand on travaille dans la restauration. Et si l’évolution de son regard sur le rôle du chef de cuisine – entre ses débuts il y a 15 ans et son statut de cheffe confirmée et respectée aujourd’hui – était un indicateur sur l’évolution des mentalités dans la gastronomie ?
Vous la lisez dans Cuisine et Vins de France, vous la voyez parcourir la France sur vos écrans, à la rencontre des producteurs et des chefs qui font la gastronomie : j’ai le plaisir d’accueillir aujourd’hui Sophie Menut Yovanovitch dans Girls in Food. J’ai croisé Sophie pour la première fois il y a bientôt deux ans. Toutes deux en reportage, nous avions, un peu par hasard, dîné en tête-à-tête à la table du chef Jean Sulpice et de sa femme Magali, que j’étais venue interviewer. Sophie m’avait impressionnée par son expertise sur les mets et les vins, et par son aisance. Un vrai poisson dans l’eau. Tour à tour cheffe, autrice, journaliste, créatrice de recettes, elle aime autant décrypter la cuisine d’un grand chef qu’imaginer une recette du dimanche. Sophie est une passeuse de savoir, aussi à l’aise à l’écrit qu’à la télévision, avant tout amoureuse du terroir et de la gastronomie. Dans cet épisode, il est question de ses racines serbes, de son enfance dans le Sud de la France, de grandes tablées, mais aussi d’image et de confiance en soi. Et pour les entrepreneur.e.s food et les chef.fe.s, cet entretien recèle quelques précieux conseils pour se faire repérer par la presse. Je laisse donc place à mon entretien avec la lumineuse Sophie Menut Yovanovitch
Elle fait partie du cercle très fermé des femmes cheffes étoilées. De Fanny Rey, vous connaissez le visage depuis sa participation à Top Chef il y a une dizaine d’années déjà. En personne, elle a ce regard intense, cette présence qui impressionnent. Et c’est précisément de cette force et de cette détermination qu’elle a eu besoin pour tutoyer les étoiles. Aujourd’hui installée au cœur de la Provence, elle dévoile à l’Auberge de Saint-Remy une partition contemporaine, avec une cuisine qui fait la part belle aux produits locaux qu’elle aime tant, elle, la fille de Bourgogne. Aux côtés de son mari pâtissier Jonathan Wahid, elle a construit une belle entreprise familiale, qui allie gastronomie et hôtellerie. Elle a trouvé sa place. Dans cet épisode, elle nous parle de son parcours de cheffe, elle partage son expérience, avec les moments de joie intense et de créativité qu’on associe à la gastronomie. Mais aussi les coups durs et les difficultés de l’entrepreneuriat, autre facette indispensable de sa vie de cheffe d’entreprise.
La chocologue… Ce nom m’est revenu aux oreilles bon nombre de fois ces dernières années … Ce n’est que quand je l’ai rencontrée pour la première fois en participant à l’un de ses ateliers pour apprendre à déguster le chocolat que j’ai compris à qui j’avais affaire. Une experte au palais affuté, impressionnante de précision et de concentration. Et surtout une technicienne capable de transmettre sa passion et ses connaissances avec une pédagogie rare. Victoire Finaz, docteure en psychologie, est donc l’une des plus grandes expertes en chocolat. Un produit que tout le monde – ou presque – adore, et croit connaître, moi la première. Comment reconnaître un bon chocolat ? Quelles différences entre chocolat d’artisan et de grande distribution ? Dans cet épisode, Victoire nous aide à y voir plus clair. Mais Victoire est aussi une consultante plébiscitée par les artisans comme par les mastodontes du secteur et une entrepreneure accomplie, à la tête de sa propre marque de chocolat. Avec le sens du partage qui la caractérise, elle nous confie son expérience entrepreneuriale, les moments de doute qu’elle a dû affronter et ses conseils pour les créateurs d’entreprise.
Je suis très heureuse de vous retrouver après une longue pause et avec un épisode particulièrement cher à mon cœur : je rêvais d’inviter Christine Ferber dans Girls in Food depuis les débuts du podcast. Quand elle m’a donné son accord cet été, elle m’a aussi ouvert la porte de son univers enchanteur, au cœur de l’Alsace, avec une immense générosité. Vous le savez sûrement, Christine Ferber est la reine des confitures, une pâtissière hors du commun, reconnue par ses pairs et plébiscitée jusqu’au Japon. Dans le village de Niedermorschwihr, non loin de Colmar, elle confectionne confitures, pâtisseries et produits boulangers avec son équipe, dans une démarche 100% artisanale. Elle aurait pu choisir la voie de l’industrialisation pour produire plus, ouvrir des points de vente partout dans le monde, mais cela ne l’a jamais intéressée. Ce qu’elle aime, c’est faire plaisir et donner vie à des créations inspirées des merveilles que la nature lui offre. Mais le parcours de Christine n’a pas été un long fleuve tranquille. Rare femme dans le métier à ses débuts, elle a dû faire preuve de persévérance et d’une grande force de caractère pour pouvoir se former au plus haut niveau. Le parcours de Christine est également intimement lié à celui de l’entreprise familiale, avec tous les défis que cela comporte. Une histoire de transmission, de respect de la tradition et d’innovation. C’est avec émotion que je vous invite à entrer à votre tour, dans l’univers de Christine Ferber. Si vous aimez ce podcast et que vous voulez m’aider à le faire connaître : laissez un commentaire et 5 étoiles sur Apple Podcasts ou sur votre appli de podcast préférée ! Vous êtes prêts à passer à table ? Je suis Adeline Glibota, et voici le portrait de Christine Ferber dans Girls in Food !
Après une expatriation au Japon, Mathilda Motte remet en question son parcours professionnel jusque là tourné vers l’art et le patrimoine. Elle revient avec l’envie de partager son amour pour la culture japonaise, en proposant au public français des daifuku mochis, des petites boules dont l’enveloppe de riz gluant révèle une multitude de garnitures possibles. C’est ainsi qu’est née la Maison du Mochi, aujourd’hui bien connue des gourmands. Mais rien de prédestinait Mathilda à devenir entrepreneure, et encore moins dans l’univers de la food. Comment peut-on faire d’un coup de cœur absolu pour un produit une aventure entrepreneuriale ? Comment se faire connaître partout en France tout en gardant un ancrage régional – en Tourraine en l’occurrence ? Comment rendre hommage avec sincérité à une culture qui n’est pas la sienne ?  Et comment faire grandir son entreprise petit à petit, en marge de la course aux millions et aux fonds d’investissement ? Autant de question auxquelles répond Mathilda dans cet épisode, sans jamais être intimidante mais en apportant des éclairages indispensables à tous ceux qui rêvent de se lancer.
Comment traiter la cuisine et la gastronomie quand on est journaliste au sein du plus grand média national ? C’est l’une des nombreuses questions à laquelle répond mon invitée du jour, Elvire Von Bardeleben. Passionnée depuis toujours de musique, de mode et de food, Elvire a commencé comme pigiste dans la presse musicale, avant de devenir l’une des plumes de Libération, puis du Monde. Juste avant la pandémie, elle a consacré un livre au Chef star Cyril Lignac, retraçant son parcours incroyable à l’aune des mutations du monde de la gastronomie. Quels sont les enjeux d’un journaliste food aujourd’hui ? Comment donner plus de visibilité aux femmes ? Peut-on à la fois observer cet écosystème tout en gardant ses distances ? Avec une grande franchise, Elvire partage ses engagements, ses clefs de décryptage et apporte un éclairage passionnant sur ce milieu dont elle a analysé tous les bouleversements majeurs des 10 dernières années.
Sandra Salmandjee, alias Sanjee est autrice et fondatrice de Bollywood Kitchen, une agence de conseil en cuisine indienne, ce qui lui permet à la fois de créer des cartes pour des restaurants, de monter des collaborations avec des marques qui l’inspirent et de développer un univers très personnel. En lançant – un peu par hasard – un blog de cuisine indienne il y a 11 ans, après une carrière dans la mode, Sandra a tiré le fil d’un univers professionnel unique et qui ne ressemble qu’à elle. Elle a construit son activité autour de ses talents et de ses passions, n’hésite pas à aller à la rencontre des gens qui l’inspirent et s’épanouit dans ces collaborations nées d’une envie partagée, avec toute la spontanéité qui la caractérise. Dans cet épisode, vous découvrirez comment créer son métier sur-mesure, comment gérez l’exposition quand on est le visage de sa marque et comment oser, tout simplement ! Je dois vous dire que mon échange avec Sandra m’a boostée comme jamais, et j’attends avec impatience vos impressions sur cet épisode survitaminé !
Catherine Kluger n’en finit plus de se réinventer : avocate, elle plaque tout pour ouvrir un restaurant dédié aux tartes salées et sucrées, sans passer par la case CAP. Quelques années plus tard, elle remet les compteurs à zéro pour créer la marque de granola et de produits à base de graines SuperNature. Dans cet épisode, Catherine répond à beaucoup de questions que se posent les candidats à la reconversion : comment trouver LE projet qui vous fera vibrer ? Comment sauter le pas ? Un succès fulgurant est-il toujours une bénédiction ? Catherine délivre de nombreuses clefs et revient pour nous sur les hauts et les bas de son expérience en regardant avec lucidité par-dessus son épaule, avec une grande humilité.
Dans les épisodes "hors-série" de Girls in Food, j’invite des personnalités de l’univers créatif à partager leur vision, leur parcours et bien sûr leur passion pour la food. Mon invitée d’aujourd’hui a créé ce qui est peut être la marque de céramiques la plus désirable : Three Seven Paris. Et pourtant, ce projet est né d’un coup de tête, d’une rencontre, sans préméditation. Car Caroline Petit-Mason est une femme d’instinct, qui va au bout de ses envies, sans s’imposer de limites. Et du contenant au contenu, il n’y a qu’un pas : pour Caroline, nos assiettes et les arts de la table influencent notre rapport à l’alimentation, et notre perception des aliments. D’où l’importance d’y accorder une attention particulière. Une réflexion passionnante qui a donné envie à Caroline d’investir le champ des recettes, où le végétal occupe une place centrale. Dans cet épisode, Caroline revient avec franchise sur les difficultés de l’entrepreneuriat, sur le fait de d’oser se lancer mais aussi de s’autoriser à changer de cap, sans avoir toutes les clefs mais sans aucun complexe. Pour celles et ceux qui souffrent du syndrome de l’imposteur, le parcours de Caroline pourrait bien être le témoignage qui vous manquait pour reprendre confiance ou oser vous lancer.
Marie Soria est la cheffe de cuisine d’un des plus célèbres créateurs d’événements, la maison Potel & Chabot. Dans ce secteur culinaire du traiteur et de l’évènementiel, pas d’étoiles pour reconnaître le talent. Et pourtant Marie Soria et son équipe sont au sommet de la haute gastronomie et de la créativité. En 22 ans de carrière dans la maison, Marie en a gravi tous les échelons, jusqu’à devenir cheffe de cuisine en 2016. Un accomplissement rare dans ce domaine très fermé. Entre innovation - pour concevoir des évènements toujours plus impressionnants – et extrême technicité, qui lui permet de reproduire à la perfection le menu d’un chef triplement étoilé, Marie Soria est capable de relever tous les challenges. Dans cet épisode, elle partage, avec la chaleur qui la caractérise, les joies et les difficultés rencontrées dans son métier, la chance d’avoir trouvé sa voie très jeune. Et pour elle qui fait désormais partie du top management, la réflexion et la responsabilité autour du bien être et des conditions de travail des collaborateurs, notamment pour permettre aux femmes d’avoir toute leur place dans l’entreprise.
Je vous emmène cette semaine chez Aponem, où la sommelière Gaby Benicio et la cheffe Amélie Darvas ont créé un lieu magique, avec une complémentarité unique. Alors qu’elles étaient à la tête de leur restaurant parisien, Amélie et Gaby ont eu le coup de cœur pour une auberge située au sommet du petit village de Vailhan dans l’Hérault. En quelques semaines, elles ont quitté leur vie d’avant et la scène parisienne pour se projeter dans un nouvel environnement. Faisant le pari d’une autre vie, ailleurs, en posant les bases projet audacieux qui avait tout de l’aventure d’une vie. Et justement, vivre sa vie pleinement, prendre des risques, faire des choix ambitieux, c’est le chemin que nous montrent Amélie et Gaby. Pas la voie de la raison mais une route toute personnelle. Je suis sure que, comme moi, cette rencontre va vous inspirer et peut être vous donner le courage qui vous manquait pour vous lancer ?
En cette période de Pâques, quoi de mieux qu’un épisode autour du chocolat pour se mettre en appétit ? Je vous emmène cette semaine sur les pas de Catherine Cluizel, de la célèbre maison éponyme. A travers elle, vous allez découvrir une saga familiale, où chaque génération apporte sa pierre à l’édifice. Aujourd’hui, Catherine revient pour nous sur le fait de travailler en famille, sur la collaboration étroite de la Manufacture Cluizel avec les producteurs, sur sa position de pionnier du bean-to-bar, sur la notion de terroir de cacao, sur les nouvelles attentes des consommateurs… Un épisode qui vous donnera l’impression de plonger dans l’univers de Charlie et la Chocolaterie !
Cette semaine, nous avons rendez-vous avec une femme aux liens étroits avec le monde du vin, mais qui n’est ni vigneronne, ni sommelière. Alice Tourbier est la fondatrice d’un groupe hôtelier ancré dans des domaines viticoles, Les Sources de Caudalie. Si ce nom résonne à votre oreille, c’est que la famille d’Alice est propriétaire du Château Smith Haut Laffitte et que sa sœur a fondé la marque de cosmétique Caudalie, en utilisant le raisin comme ingrédient principal. Une famille d’entrepreneurs, donc, qui tourne à 360° autour de la vigne. Alice a également choisi cette voie, en étant précurseure de l’œnotourisme dans le Bordelais. Et dans les hôtels d’Alice, la gastronomie n’est jamais loin : à l’activité hôtelière, elle a développé avec son équipe, une offre gastronomique de haut niveau, où le vin occupe évidemment une place de choix. Dans cet épisode, Alice Tourbier revient sur son parcours d’entrepreneure, sur le fait de réussir à innover dans l’environnement conservateur des vins de Bordeaux, sur l’ouverture d’un hôtel en pleine crise sanitaire et sur le concept de « gastronomie naturelle ».
Chez Anne Caron, le café coule dans les veines. Aujourd’hui à la tête de l’entreprise familiale, la Brûlerie Caron, Anne est donc issue d’une lignée de torréfacteurs. Comme son père avant elle, elle a d’ailleurs été élue meilleure torréfactrice de France, devenant la première femme à obtenir ce titre. Précurseure, elle l’est aussi dans ses engagements : si elle a à cœur de proposer le meilleur café possible – le fameux « blend Caron » est une référence en la matière - elle met tout en œuvre pour respecter le travail des producteurs et leurs terres. Son métier ? Faire le lien, pour nous amateurs de café, entre ce produit du bout du monde et notre quotidien. Mais comment faire face aux géants du secteur ? Comment trouver sa place dans une entreprise familiale ? Comment concilier préoccupations environnementales et attentes de consommateurs de plus en plus tournés vers les circuits courts ? Autant de questions auxquelles Anne répond dans cet épisode.
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