DiscoverLe choix musical de RFI
Le choix musical de RFI
Claim Ownership

Le choix musical de RFI

Author: RFI

Subscribed: 4Played: 84
Share

Description

Du lundi au vendredi, chaque matin, un journaliste vous parle des artistes qui font l’actualité des musiques de l’espace francophone, de l’Afrique et de ses diasporas. Vous pourrez y entendre plus largement des musiques du monde et du Sud, des musiques actuelles et urbaines qui sont au cœur de l’identité de RFI.

Diffusion 8h50, heure de Paris, 7h50 TU.

144 Episodes
Reverse
Militante des droits des femmes et de la paix, Liraz sort son nouvel EP « Enerjy » où elle conjugue pop iranienne des années 70 et musique urbaine d'aujourd'hui. Uniquement chantés en farsi, les quatre titres de la chanteuse israélienne d'origine iranienne résonnent comme un cri du cœur pour un monde d'une énergie meilleure.
Du blues au programme avec l’harmoniciste français Jean-Jacques Milteau. Son nouvel album est intitulé Key to the Highway. Sur ce disque, accompagné de quatre chanteurs, il adapte à son harmonica de grands classiques soul, folk et rock. Jean-Jacques Milteau est un musicien surdoué qui, tout au long de sa carrière, s’est mis au service des autres. La liste des vedettes qu’il a accompagnées est impressionnante : Charles Aznavour, Barbara, Johnny Hallyday ou Yves Montand pour ne citer qu'eux. Il a aussi joué avec les plus grands musiciens américains, à commencer par la légende américaine de la guitare BB King.Le titre de son nouvel album Key to the Highway est celui d'un grand classique du répertoire blues repris à maintes reprises de Freddie King, en passant à John Lee Hooker ou Eric Clapton.Il s’est entouré cette fois d’un quatuor vocal masculin de haut vol : le Danois Mike Andersen, le Canadien Harrison Kennedy et les Américains Michael Robinson et Carlton Moody. Avec eux, il adapte à son harmonica de grands classiques soul, folk et rock. On trouve sur cet album – entre autres – des reprises de Bob Dylan, Tony Joe White, Stephen Stills, Eric Clapton. Ces musiques, Jean-Jacques Milteau les joue, comme toujours, avec un immense respect et un « feeling » impeccable.
Le choix musical de ce lundi 20 mai 2024 nous emmène entre le Japon et l'Afrique de l'Ouest avec le troisième album du groupe Ajaté intitulé Dala Toni. Le collectif nippon est adepte d'afrobeat et de highlife ghanéen. Il y a une vingtaine d'années, Junichiro Imaeda achète à Tokyo un disque de Fela Kuti, trouvant la pochette plutôt originale. Après avoir déposé le vinyle sur sa platine et calé le diamant, sa vie bascule. La magie de l'afrobeat s'empare de lui. Il se rend au Ghana en 2009 et découvre les similarités musicales entre l'afrobeat et le highlife d'un côté, et les sonorités du ohayashi, musique traditionnelle nippone, de l'autre.En 2011, il crée Ajaté, un collectif de dix musiciens. Dala Toni est leur troisième album. Il reprend, comme les deux précédents, les principes de base de l'afrobeat originel à la Fela Kuti, nappé de sauce japonaise et il baptise le tout « afrobayashi ».Junichiro Imaeda ne pratique pas l'appropriation culturelle, mais l'hybridation entre deux musiques si semblables malgré les 13 000 kilomètres qui séparent Lagos de Tokyo. De plus, il s'amuse à recréer des instruments de bambou. Une sorte de xylophone-balafon, le jaate. Et le piechiku, version électrique du ngoni malien. Après une tournée mémorable qui l'a fait connaitre du public européen en 2018, le collectif Ajaté revient sur le vieux continent cet été pour jouer son nouvel album. Dala Toni célèbre l'universalité et l'unité des peuples du monde. Il rend hommage à l'afrobeat nigérian qui a su planter son drapeau dans le monde entier et jusqu'au sommet du mont Fuji.
Direction Abidjan où se tient le FEMUA, le Festival des musiques urbaines d’Anumabo créé il y a 15 ans par les membres du groupe Magic System. Pour clôturer la soirée de samedi, un enfant du pays, déjà reconnu pour ses productions, mais devenu tout récemment une star mondiale grâce à son Coup du marteau. Tam Sir est le choix musical de notre envoyé spécial en Côte d'Ivoire Guillaume Thibault.
Direction Abidjan, en Côte d’Ivoire, où se tient jusqu’au samedi 18 mai le FEMUA, le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo. Plus de 150 concerts avec des découvertes et des stars : Gims sera, par exemple, ce jeudi 16 mai sur la grande scène. Et cette soirée sera ouverte par un chanteur venu de Guinée-Bissau, pays invité de cette 16e édition. Il s'appelle Patche Di Rima.
Le groupe Ibibio Sound Machine emmené par la chanteuse nigériane Eno Williams et le producteur australien Max Grunhard sort son nouvel album Pull the rope. Une véritable déclaration d'amour à la musique de danse.
Solsad, le deuxième album studio du rappeur Zamdane est sorti en début d'année. Une profusion de collaborations prestigieuses et parfois surprenantes, et une mélancolie féroce pour celui qui a échappé en mai 2023 à un grave accident de voiture.  Une pochette d'album en dit parfois plus long qu'une chanson. Celle de Solsad avec son soleil anthropomorphe au visage triste, annonce la couleur. Un rouge ocre teinté de violet envahit l'espace. Le feu et la douleur. Zamdane qui a failli perdre la vie dans un accident de voiture alors qu'il préparait cet album, a peut-être vu sa vie défiler en accéléré. C'est en tout cas ce qu'il propose tout au long des vingt chansons de ce disque. Amours perdues, disparitions de proches, douleurs de l'exil. Le natif de Marrakech est mélancolique et sa musique s'en ressent.Un album mélancolique mais apaiséLe projet mélodique laisse place à un lyrisme rare dans l'univers du rap. Piano, violon et guitare sèche apportent une douceur mélancolique à de nombreux titres. Avec une voix aux timbres déchirants, Zamdane s'essaye même au chant sans pour autant renier complètement son flow expressif. La surprise vient des nombreux invités, il y en a huit au total. Josman, So La Lune, Kekra, Niska, etc. Au passage, Zamdane s'offre un pas de côté hors du circuit rap grâce à une belle ballade en compagnie de la Française Pomme. Lyrique et complexe, Solsad est aussi plus apaisé que le précédent album du Marocain, Couleurs de ma peine, sorti en 2022. 
La chanteuse américaine d’origine haïtienne Leyla McCalla vient de sortir son 5e album, intitulé Sun Without the Heat (le soleil sans la chaleur). La chanteuse de 38 ans s'est notamment inspirée des écrits de penseurs afro-futuristes comme Alexis Pauline Gumbs ou Octavia Butler. Leyla McCalla, née à New York de parents immigrés haïtiens, s’était fait connaitre du grand public en 2016. Son premier album était un hommage au poète américain Langston Hughes, militant du mouvement des droits civiques. Leyla McCalla y célébrait la culture et l'identité afro-américaines. Cinq albums plus tard, les textes sont toujours aussi militants, à l'instar du morceau titre où elle scande que l’on « ne peut pas avoir le soleil sans la chaleur ». Ce titre – qui est donc aussi celui de l'album –  s'inspire d’un discours prononcé en 1857 par l'une des plus grandes voix abolitionnistes américaines du 19e siècle, Frederick Douglass. Son discours avait précédé de quelques années seulement l’interdiction de l'esclavage aux États-Unis.Sur ces chansons aux tonalités souvent très folk, la chanteuse a voulu se replonger dans les musiques qui l’ont forgée. Leyla McCalla explique qu'une grande partie de son travail est centré autour de sa culture haïtienne. Leyla McCalla présentera ce disque en France au cours du Festival du Bout du Monde dans le Finistère en Bretagne, le 2 août 2024.
Les parisiens d'UTO reviennent avec When All You Want to Do Is Be The Fire Part of Fire, un deuxième album envoûtant. Au rayon des modèles pop du duo français, il y a le grand chanteur à textes américain à l’humour noir, Bill Callahan dont sa chanson « Sycamore » a inspiré le nom de cet album. Mais aussi l’électronique mélancolique et radicale des Anglais de Portishead et Aphex Twin. De ce mélange des genres, un disque audacieux voit le jour en pleine campagne beauceronne.  Formé en 2016 par une fille et un garçon, Neysa Barnet et Emile Larroche, le groupe perpétue avec brio ce travail d’acrobate entre expérimentations organiques et recherche synthétique. Il compare même la structure de ses chansons bien troussées à un programme de machine à laver : une musique qui démarre, s’arrête, s’accélère ou ralenti avec des pauses aussi, tout est possible…Sur le nouvel album, ils appuient encore plus les contrastes. Il apparait comme une envoûtante invitation aux divagations avec des basculements sonores surprenants, des interruptions mélodiques imprévues et des rythmiques inattendues. Et tout cela préserve avec classe l’uniformité des neuf chansons grâce à la voix de Neysa qui passe par mille artifices pour nous faire voyager dans le temps.C’est le cas avec le titre Napkin qui sample le rap classique « If Takes Two » sorti en 1988. UTO puise aussi son inspiration dans le passé, celui des rave-partys avec ses synthétiseurs qui percent la nuit, enveloppant les corps en extase, pour en faire une chanson irrésistible de 2024. À la pointe de l’avant-garde, UTO coche toutes les cases de la réussite électro-pop à la française chantée en anglais.
Le choix musical est consacré à Danyèl Waro, chanteur et poète qui porte haut le flambeau du maloya, l'emblème musical de la créolité réunionnaise, un blues issu du chant des anciens esclaves des plantations de canne à sucre. Une musique fusion vivante qui mêle chants créoles, sonorités afro-caribéenne, rock et jazz. Danyèl Waro est en tournée pour un mois sur les scènes européennes, Bruxelles, Vienne, Budapest et plusieurs dates en métropole, dont une à Paris le 18 mai au Cabaret sauvage.
Direction l’archipel des Comores avec le chanteur Eliasse. Son troisième album intitulé Zangoma vient de sortir le 12 avril. Eliasse mélange les rythmes traditionnels de son pays aux sonorités actuelles. Ce disque, Eliasse l’a baptisé Zangoma car c’est le nom du style musical qu’il a adopté. C'est un mélange de rock, de blues, de folk agrémenté des rythmes typiques de son archipel. Le chanteur s’est inspiré d’un autre artiste comorien qui est son ainé et qu’il considère un peu comme son mentor : Baco.Eliasse, qui vit dans le sud-ouest de la France, a façonné cet album pour rendre hommage à la musique des Comores. Ce petit archipel de l’océan Indien a connu des phases tumultueuses depuis son indépendance en 1975. Plusieurs titres nous plongent dans ces années émaillées de coups d'État et de désillusions. Le titre « Ndroso » évoque par exemple la douleur de toute une génération alors que la division douloureuse entre Mayotte et les Comores est évoquée sur le titre « Shana Na Mbere ».Dans cet album, il prend aussi position sur un autre thème d’actualité : le dérèglement climatique. Plusieurs titres mettent en avant la responsabilité collective face aux changements du climat et à ses conséquences. C’est le cas sur « Mwarata » et « Salama ».Eliasse va entamer bientôt en tournée en France. Il sera notamment à l’affiche le 2 août du festival du Bout du Monde, en Bretagne, sur la presqu’ile de Crozon, dans le Finistère.
Funeral for Justice est le sixième album de Mdou Moctar. Le combo rock venu d'Agadez expulse sa colère sur des riffs de guitare incandescente et au rythme d’une batterie orageuse. Avec pour modèles Jimi Hendrix et Eddie Van Halen, Mdou Moctar sait ce dont une guitare Fender est capable. Le rockeur nigérien, né entre Sahel et Sahara dans la région d’Agadez, porte en lui un amour de la liberté et un esprit révolutionnaire qui ne se démentent pas au fil de ses albums. Funeral for Justice pousse à sa limite ce rock engagé et jouissif à la fois. Longs riffs de guitare, martèlement orageux de batterie et rythmes de takamba survitaminés.Anticolonialisme viscéralUne tempête du désert qui porte la colère d’un homme face aux injustices du monde, au racisme et au néo-colonialisme. Écrit au lendemain du coup d'État au Niger, en juillet dernier, Funeral for Justice relaie la fierté d'une partie des Nigériens qui ont le sentiment de vivre une deuxième décolonisation avec le départ des soldats français et américains. Il traduit aussi en creux l'impossibilité de critiquer autre chose que l'ancienne puissance coloniale dans le climat actuel au Niger, où la parole est désormais surveillée.
Viva Nana, c’est l’hommage musical vibrant et poétique rendu par Fred Soul et Zé Luis Nascimento au percussionniste Nana Vasconcelos, disparu en 2016. Il faut souvent des années pour digérer une disparition. Il en a fallu huit au pianiste français Fred Soul et au percussionniste brésilien Zé Luis Nascimento pour se décider à rendre hommage à leur maître à jouer, Nana Vasconcelos, décédé en 2016. Ces années de maturation ont servi leur projet. Viva Nana est un album hommage réussi, et qui se hisse à la hauteur de l’œuvre immense que le géant de Recife, percussionniste adulé et magicien du berimbau, a légué au monde de la musique. « Avec Zé Luis, on ne souhaitait pas faire un album de reprises des œuvres de Nana Vasconcelos, explique Fred Soul. Mais on souhaitait faire de la création avec l'esprit et la manière de Nana. »L'album est rythmé par les percussions qu'appréciait et utilisait Nana Vasconcelos comme le cachichi, petit panier rempli de coquillages, le berimbau et les congas. Un album luxuriant qui porte la mémoire d'un homme pour qui l'harmonie était la définition même de la vie. Fred Soul et Zé Luis Nascimento ont aussi rendu hommage à l’universalisme du musicien brésilien qui a tant influencé le jazz. Ils ont invité plusieurs jazzmen de la jeune génération comme le trombone Robinson Khoury ou l'accordéoniste Vincent Peirani.
Retour sur le Printemps de Bourges qui s’est achevé dimanche 28 avril. Aux côtés des vedettes confirmées, le Printemps a fait une bonne place, comme tous les ans, aux jeunes talents qui s’y sont produits par dizaines pendant cinq jours. Coup de projecteur sur trois artistes considérés comme des étoiles montantes de la chanson française. Joanna fait partie de ces jeunes espoirs. Âgée de 26 ans, c’était son premier Printemps de Bourges, une sorte de consécration pour cette jeune femme qui séduit par la qualité de ses compositions et par la justesse de son écriture. C’est le cas par exemple sur Ce n'est pas si grave interprété en piano-voix et dans lequel elle dénonce la culture du viol.Autre atmosphère avec un groupe qui est une sorte de tourbillon mêlant rap, rock, techno et électro.Il s’agit du collectif Akira & le Sabbat composé de trois filles et autant de garçons. Ils ont tous la vingtaine. C’est un groupe souvent qualifié de « punk » même si eux ne sont pas entièrement d’accord avec cette dénomination. Quoi qu'il en soit, ce sont des rebelles qui transforment leur rage en un besoin de transe, avec des mots qui claquent. Au chant, il y a Valentine et Océan qui écrit aussi les textes. Le mini-album d'Akira & le Sabbat vient de sortir et s’appelle Poudrière. Akira & le Sabbat faisait partie de la sélection des Inouïs au Printemps de Bourges. (NDLR Les Inouïs est le dispositif de repérage des nouveaux talents).Elle s’appelle Solann et sur les réseaux sociaux, elle se décrit comme une « sorcière réconfortante ». Cette jeune femme de 24 ans, d’origine arménienne, se dit très attachée à ses racines. Cette chanteuse à la voix cristalline avait sorti en début d’année un premier mini-album intitulé Monstrueuses. Un disque long format ne devrait pas tarder à sortir. Le titre le plus connu de Solann c’est Rome dans lequel elle dénonce le harcèlement de rue dont elle a été victime : il cumule des millions d’écoutes sur les plates-formes. La chanteuse sera à l’affiche de plusieurs festivals cet été dont les Francofolies de Spa en Belgique et celles de la Rochelle en France mi-juillet. Une date est même déjà programmée à l’Olympia en avril 2025.
Connu pour son univers torturé et provocateur, le groupe britannique Fat White Family revient avec son quatrième album : Forgiveness Is Yours (traduction : le pardon est à vous). Navigant entre punk, pop, électro et sonorités maghrébines, les 11 titres s'écoutent comme la chronique d'une époque en pleine dérive.
En ce jour de fête internationale du travail, on vous invite à prendre le temps de vivre et de ne rien faire. Avec l'album Eden Beach Club qui vient de sortir. C'est le troisième album du saxophoniste Laurent Bardainne et de sa formation Tigre d'Eau Douce. L'album Eden Beach Club est conçu comme une journée idéale, au bord de l'eau. Dès les premiers titres, portés par le chaud saxophone de Laurent Bardainne, on peut sentir la douceur du soleil levant, les grains de sable sous les pieds. Cette invitation au voyage nous fait passer par différents états, différentes régions, en nous perdant agréablement.C'est bien ce que recherche Laurent Bardainne dont c'est le troisième album avec la formation Tigre d'Eau Douce.Le saxophoniste français, formé au conservatoire, a multiplié ces dernières années les collaborations : Pharrell Williams, Cassius, Philippe Katerine, Oxmo Puccino, ou encore Thomas de Pourquery. Tigre d’Eau Douce est son premier projet en tant que leader, un retour à ses premières amours jazz.Il a pour influence suprême le géant américain du jazz John Coltrane et surtout sa philosophie de vie et de musique : rendre les gens heureux.Eden Beach Club, un album principalement instrumental, mais qui comporte quelques titres chantés également, notamment par la Franco-Sénégalaise Laetitia N'diaye (Danse for Eternity), sur des sons plus électro, ou la Française Jeanne Added (Meilleur).
Le duo phare de l’électro française, Justice, signe un quatrième album brillant, Hyperdrama. Un condensé éclatant et abouti de l’histoire musicale du groupe depuis 20 ans. Sa richesse éclectique impressionne et fait de nouveau mouche. Ils sont deux : Gaspard Augé et Xavier de Rosnay. Le tandem se forme en 2003. Et depuis, il a raflé plusieurs Victoires de la musique, deux Grammy Awards et projeté l’électronique à la française sur les scènes mondiales. Il y a des machines, mais aussi des invités prestigieux sur le nouvel album, comme Miguel et Thundercat, deux figures emblématiques du R’n’B américain. Et surtout, une voix d'ange, celle de l’Australien Kevin Parker, tête pensante de Tame Impala, l’un des plus grands auteurs actuels de tubes pour son groupe comme pour Rihana et Dua Lipa. D’où d’avantage d’amplitude et de majesté dans la musique de Justice. 
Quand le R'n'B et le rap se mélangent avec la Bossa Nova, ça donne Aupinard, le chanteur bordelais qui cartonne sur les réseaux sociaux.
Réunis autour du bassiste afro-américain Reggie Washington, le collectif Black Lives revient en force avec un deuxième album plus engagé et éclectique que jamais : People Of Earth. Vingt-six artistes originaires d'Afrique, d'Europe, des États-Unis et des Caraïbes ont uni leurs voix et leurs instruments dans une lutte contre le racisme et pour un monde plus juste, plus égalitaire, plus humaniste. «»
Monsieur MÂLÂ, c’est un groupe de cinq jeunes musiciens qui se sont rencontrés un soir dans un club parisien, lors d’un concert du bassiste camerounais Étienne Mbappé. D'ailleurs, c'est son fils Swaéli Mbappé qui est à l'origine du quintet. C’est un bassiste de talent qui a fait la route avec Blick Bassy, Mamani Keita, Check Tidiane Seck. Et les quatre autres membres sont également de ce niveau-là. Il ont sorti, le mois dernier, leur premier album Monsieur Mâlâ.
loading
Comments 
Download from Google Play
Download from App Store