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Les Petits rats d'Hamelin

Author: Les Petits rats d'Hamelin

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Les P'tits rats d'Hamelin : le podcast incontournable dans la gestion des nuisibles
Bienvenue dans Les P'tits rats d'Hamelin, le podcast officiel d’Hamelin.info (http://Hamelin.info), média indépendant reconnu comme une référence dans l’univers de la lutte antiparasitaire. Ce rendez-vous audio et vidéo explore les nombreuses facettes de ce domaine essentiel, en mettant en lumière des experts et des professionnels engagés dans la dératisation, la désinsectisation et la désinfection.
Pourquoi écouter Les P'tits rats d'Hamelin ?
Ce podcast est conçu pour répondre aux besoins des professionnels, des passionnés et de toute personne intéressée par la maîtrise des nuisibles. Que vous soyez un technicien confirmé, un gestionnaire de services ou simplement curieux, vous y trouverez :
Des interviews exclusives : Découvrez les témoignages et les expériences de professionnels expérimentés du secteur.
Des débats enrichissants : Participez à des discussions captivantes sur les dernières tendances, technologies et stratégies utilisées dans la lutte contre les nuisibles.
Des astuces pratiques : Apprenez à améliorer vos techniques et à optimiser vos interventions, que ce soit pour éliminer des rongeurs, des insectes ou pour désinfecter efficacement des espaces.
Boostez votre carrière avec nos conseils
Chaque épisode est une mine d’informations pour vous aider à progresser dans votre métier. Nos invités partagent des idées novatrices et des solutions concrètes pour relever les défis du quotidien. Grâce à ces contenus, vous pourrez :
Mieux comprendre les réglementations en vigueur dans la lutte antiparasitaire.
Identifier les outils et équipements les plus performants du marché.
Découvrir des formations et certifications utiles pour élargir vos compétences.
Une touche de convivialité et d’humour
Nous croyons fermement que l’apprentissage peut être agréable. Chaque épisode de Les P'tits rats d'Hamelin est conçu pour informer tout en offrant un moment de détente. Nos animateurs, passionnés et dynamiques, vous garantissent une ambiance chaleureuse et accessible.
Restez connecté à l'actualité de la lutte antiparasitaire
Avec Les P'tits rats d'Hamelin, vous serez toujours au fait des dernières avancées dans les domaines de la dératisation, de la désinsectisation et de la désinfection. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode, qu'il s'agisse d’un entretien exclusif avec un expert, d’un retour d’expérience inspirant ou d’un débat animé sur les nouveaux défis de notre secteur.
Retrouvez tous les épisodes sur www.hamelin.info (http://www.hamelin.info). En écoutant Les P'tits rats d'Hamelin, vous rejoignez une communauté passionnée qui œuvre pour un environnement plus sain, plus sûr et sans nuisibles.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
47 Episodes
Reverse
La mise sur le marché des produits biocides est strictement régulée par la directive EU 528/2012. Toute entreprise souhaitant obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) doit suivre une procédure d’enregistrement, soit au niveau national, soit via une autorisation européenne. Cette dernière n’est possible que si les substances actives (SA) ont été préalablement approuvées au niveau européen pour le type d’utilisation concerné (TP). L’évaluation des SA est menée par une autorité compétente d’un État membre avant d’être soumise au Comité des Produits Biocides (BPC) de l’ECHA. En plus des SA, les formulants et co-formulants sont également examinés pour garantir leur innocuité et leur efficacité.Une bonne substance active doit être efficace tout en étant sans effet inacceptable pour l’homme et l’environnement. Son choix dépend de l’usage souhaité : un effet retardé est privilégié pour un gel anti-cafards/fourmis, tandis qu’un effet choc (Knock Down ou Kill Down) repose sur des critères comme la vitesse d’action, la liposolubilité et la tension de vapeur. La rémanence d’un produit dépend de la stabilité et de la volatilité de la SA. Cependant, l’utilisation excessive d’une même SA peut entraîner des résistances chez certaines espèces, comme observé avec les organochlorés et organophosphorés au XXᵉ siècle, et aujourd’hui avec les pyréthrinoïdes.Une approche durable et intégrée consiste à alterner les modes d’action et les méthodes d’application (chimiques et non chimiques) pour limiter les résistances et réduire l’usage des produits biocides.Enfin, la formulation joue un rôle clé dans l’efficacité d’un biocide. Elle garantit la stabilité du produit, facilite la solubilisation de la SA et optimise son action sur le site ciblé. Certaines formulations permettent même d’empêcher l’absorption de la SA par des surfaces poreuses, assurant ainsi une meilleure efficacité contre les arthropodes rampants. La formulation est donc tout aussi essentielle que la substance active pour garantir un traitement adapté et performant.Un outil d’aide à la prise de décision a été développé pour faciliter le choix des biocides en fonction de leurs caractéristiques et des besoins du terrain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les premiers pièges à rongeurs sont apparus dans les années 1870, avec notamment l’invention du piège à ressort par Étienne Aurouze en 1878. Après une période de fort usage, ils ont été progressivement délaissés à partir des années 1970 avec l’essor des rodenticides à base d’antivitamines K (AVK). Cependant, les évolutions réglementaires récentes ont remis les pièges au cœur des stratégies de lutte.Une évolution réglementaire qui favorise leur retourL’ECHA (European Chemical Agency) considère les rodenticides comme des substances préoccupantes et impose une évaluation comparative avant chaque renouvellement d’autorisation. La décision d’exécution (UE) 2024/816 liste plusieurs alternatives non chimiques, incluant les pièges mécaniques, électriques, multi-captures et à CO2. Par ailleurs, l’interdiction de l’appâtage permanent en France renforce leur importance dans la gestion des rongeurs.Le guide NoCheRo : une validation scientifique des piègesLe guide NoCheRo (Non-Chemical Rodent Control) définit les critères d’efficacité des pièges mécaniques, alignés sur ceux des rodenticides anticoagulants. Certains pièges, notamment les tapettes SNAP TRAP, sont jugés suffisamment efficaces pour être utilisés par les professionnels et les non-professionnels formés.Comment bien choisir son piège ?Le choix du piège dépend de plusieurs critères : espèce ciblée, environnement (intérieur/extérieur), réglementation et technologie. Voici les principales catégories :Nasses : capture vivante, nécessite un contrôle régulier.Pièges multi-captures : adaptés aux environnements sensibles (IAA, pharma), souvent connectés.Pièges mécaniques classiques (tapettes, guillotines, pistons) : action rapide et ciblée.Plaques de colle : efficaces en cas de forte concurrence alimentaire, mais avec des limites éthiques.Pièges à CO2 et électrifiants : élimination rapide et intégration dans des systèmes connectés pour un suivi optimisé.Vers une lutte intégrée et raisonnéeLes pièges ne sont plus de simples alternatives, mais des outils complémentaires essentiels aux rodenticides. Connectés, stratégiques et conformes aux nouvelles normes, ils s’imposent comme une réponse adaptée aux défis réglementaires et environnementaux de la lutte antiparasitaire.Conclusion : Avec la fin de l’appâtage permanent et les évolutions technologiques, les pièges à rongeurs retrouvent une place centrale dans la lutte intégrée. L’avenir repose sur une combinaison intelligente de prévention, surveillance et solutions mécaniques adaptées.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entreprendre dans la lutte antiparasitaire : défis, stratégies et succèsDans ce quatrième et dernier épisode du Club des Dératiseurs, Kevin Granada poursuit l'interview avec Julie Durez pour aborder un sujet incontournable : l’entrepreneuriat dans la lutte antiparasitaire.Créer ou reprendre une entreprise dans ce secteur ne se résume pas à poser des pièges et appliquer des traitements. Entre réglementations strictes, attentes des clients et gestion d’une activité en pleine évolution, les défis sont nombreux. Comment structurer son entreprise ? Par où commencer ? Comment éviter les erreurs les plus fréquentes ?Julie partage son expérience de cheffe d’entreprise et livre des conseils concrets pour réussir dans la dératisation, désinsectisation et désinfection (3D).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’image du dératiseur : entre préjugés et réalité du terrainDans ce troisième épisode du Club des Dératiseurs, Kevin Granada reçoit Julie Durez pour discuter d’un enjeu clé du secteur : l’image du dératiseur et la perception du métier par le grand public.Longtemps réduit à des clichés, le professionnel de la lutte antiparasitaire est souvent perçu comme un simple exterminateur, appliquant des traitements sans réflexion stratégique. Pourtant, la réalité du terrain est bien différente : diagnostic précis, gestion des infestations, protection de la santé publique et préservation de l’environnement sont au cœur du métier.Dans cet épisode, Julie partage son regard sur l’évolution du secteur et les défis que rencontrent les professionnels pour faire reconnaître leur expertise en dératisation, désinsectisation et désinfection (3D).Dans cet épisode, découvrez :Pourquoi l’image du dératiseur est encore floue et parfois négative ?Dératiseur = destructeur ? Comment le métier s’intègre dans une démarche de prévention et de gestion durable des nuisibles.L’impact des médias et des polémiques sur la perception du métier : entre punaises de lit et rats dans les grandes villes, pourquoi parle-t-on du secteur seulement en temps de crise ?Les pratiques douteuses qui nuisent à l’image de la profession : comment distinguer les vrais experts des opportunistes ?Les défis du traitement des nuisibles en habitat collectif : comment adapter les interventions et sensibiliser les clients ?Un épisode essentiel pour tous les professionnels de la lutte antiparasitaire qui souhaitent améliorer l’image de leur métier et valoriser leur savoir-faire face aux préjugés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le service client en lutte antiparasitaire : une approche essentielleDans ce deuxième épisode du Club des Dératiseurs, Kevin Granada reçoit Julie Durez pour aborder un sujet central mais souvent sous-estimé : le service client dans la lutte antiparasitaire.Trop souvent réduit à une simple prestation technique, ce métier repose en réalité sur la pédagogie, la prévention et l’accompagnement des clients. Entre attentes irréalistes, idées reçues et contraintes budgétaires, comment établir une relation de confiance et garantir une intervention efficace et durable ?Julie partage son expertise et son expérience terrain pour expliquer pourquoi une bonne gestion client est aussi cruciale que la maîtrise des techniques de désinsectisation, dératisation et désinfection (3D).Dans cet épisode, découvrez :Service client vs. service commercial : comment valoriser l’expertise et éviter la guerre des prix ?Le diagnostic avant l’intervention : pourquoi la lutte antiparasitaire commence par une analyse approfondie ?Pédagogie et prévention : sensibiliser les clients pour garantir des résultats durables.Les défis des marchés publics et des syndics de copropriété : comment adapter son offre à des budgets restreints sans compromettre la qualité du service ?L’innovation au service du diagnostic : présentation du Nuisiscore, un outil développé pour évaluer les risques et responsabiliser les clients.Un épisode incontournable pour les professionnels du secteur, qu’ils soient techniciens, entrepreneurs ou en reconversion, afin d’améliorer leur relation client et la perception du métier.A découvrir sur Hamelin.infoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À seulement 23 ans, Julie Durez reprend l’entreprise familiale spécialisée dans la lutte antiparasitaire, un secteur historiquement masculin. Dans ce premier épisode du Club des Dératiseurs, elle partage son parcours, les défis rencontrés et sa vision du métier.Elle revient sur les difficultés auxquelles elle a dû faire face en tant que femme cheffe d’entreprise, l’importance de s’imposer dans un secteur où la crédibilité se gagne sur le terrain, et la manière dont elle a su développer son expertise pour asseoir sa légitimité.Cet échange met également en lumière les évolutions du secteur de l’hygiène publique, les attentes des clients face aux infestations et les compétences essentielles pour réussir dans la gestion des nuisibles. Entre anecdotes, conseils et retour d’expérience, ce podcast est une immersion dans une profession aussi exigeante qu’indispensable.Un épisode inspirant pour tous les professionnels du secteur, les entrepreneurs et ceux qui souhaitent comprendre les réalités du métier.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le secteur de la lutte antiparasitaire connaît une forte expansion, offrant de nombreuses opportunités aux entrepreneurs. Trois modèles existent pour se lancer :La franchise, qui apporte un cadre structuré et une marque reconnue, mais implique des redevances et des règles à respecter.L’indépendance, qui garantit une totale liberté dans la gestion de son activité, mais demande un fort investissement personnel et commercial.La licence de marque, un compromis entre autonomie et accompagnement, avec moins de contraintes qu’une franchise, mais certaines obligations.Le choix du statut dépend du profil, de l’expérience et des objectifs de l’entrepreneur. Pour mieux comprendre les étapes clés du lancement d’une activité, découvrez quel statut est le mieux pour créer son entreprise de dératisation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une étude du professeur Jonathan Richardson de l’Université de Richmond montre que l’augmentation des populations de rats dans les grandes villes est liée au réchauffement climatique, à la densité urbaine et à l’urbanisation croissante. Sur 16 villes étudiées, 11 enregistrent une hausse significative, notamment New York, Washington D.C. et Amsterdam. Le réchauffement climatique allonge les périodes d’activité des rats, accélère leur reproduction et modifie leurs comportements alimentaires. Pour lutter efficacement contre cette prolifération, l’étude recommande de renforcer les moyens de lutte, d’améliorer la gestion des déchets et de mettre en place une surveillance accrue basée sur l’analyse des données.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’odeur persistante d’un rongeur mort constitue un problème courant en lutte antiparasitaire, surtout lorsque la carcasse est difficile d’accès. Selon les situations, l’intervention peut être simple si le cadavre est localisable ou plus complexe si celui-ci est inaccessible.Lorsque le rat ou le rongeur est retrouvé, il doit être éliminé, et la zone nettoyée pour éviter la persistance des odeurs. Si la carcasse est introuvable ou inaccessible, il est nécessaire de recourir à des solutions d’atténuation, comme les sprays enzymatiques, les absorbeurs d’odeurs, les générateurs d’ozone ou les désodorisants.Pour prévenir ces nuisances, des stratégies efficaces doivent être mises en place : utilisation de pièges accessibles, placement judicieux des rodenticides, inspections régulières et gestion de l’environnement. Une combinaison d’intervention rapide et de prévention permet de minimiser les désagréments et d’assurer une lutte antiparasitaire efficace.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Viva Protect est un magazine trimestriel dédié aux professionnels de la lutte antiparasitaire. Il apporte une veille stratégique et technique pour anticiper les évolutions du secteur, qu’il s’agisse de réglementation, innovations technologiques ou stratégies d’intervention.Chaque numéro de Viva Protect propose des analyses approfondies, des retours d’expérience concrets et un éclairage sur les bonnes pratiques. Il complète le site Hamelin en offrant un regard plus détaillé et stratégique sur les enjeux du métier. Disponible en version papier et numérique, il est une référence pour les experts du secteur.Article à lire sur Hamelin.infoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le syndrome d’Ekbom, ou parasitose délirante, est un trouble psychiatrique où les individus sont convaincus, à tort, d’être infestés par des parasites invisibles. Ce trouble provoque des démangeaisons, des sensations de piqûres ou de mouvement sous la peau, accompagnées d’une détresse émotionnelle intense.Les causes incluent des facteurs psychologiques (troubles délirants, anxiété), neurologiques (maladies comme Alzheimer ou lésions cérébrales) et environnementaux (traumatismes liés à d'anciennes infestations réelles). Bien que l’infestation soit imaginaire, les symptômes et la souffrance des patients sont bien réels, souvent aggravés par des comportements obsessionnels.Pour les professionnels de la lutte antiparasitaire, ces cas posent un défi : éviter des interventions inutiles, tout en faisant preuve d’écoute et d’empathie. Une inspection méticuleuse et une communication claire sont essentielles, de même qu’une orientation vers des spécialistes de santé pour une prise en charge adaptée.Ce trouble complexe souligne l'importance d’allier rigueur et humanité dans la gestion des cas atypiques.Article à lire sur Hamelin.infoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les guêpes jaunes et les frelons, particulièrement actifs en fin d’été, posent des défis importants aux particuliers et aux professionnels de la lutte antiparasitaire. Une gestion efficace repose sur l’identification précise des espèces, telles que les guêpes terrestres, aériennes et les frelons européens, et sur une compréhension de leur cycle de vie.Les nids, selon les espèces, peuvent être souterrains, suspendus ou cachés dans des cavités. La lutte antiparasitaire efficace implique l’inspection et la localisation des nids, suivies de traitements spécifiques (poudres insecticides, aérosols, formulations liquides). L’intervention doit être sécurisée, avec un équipement de protection complet, et inclure le retrait des nids pour éviter toute recolonisation.Des mesures préventives, comme le colmatage des fissures et la réduction des sources de nourriture, sont essentielles pour limiter leur retour. En combinant observation, interventions adaptées et prévention, il est possible d’assurer un contrôle durable des guêpes jaunes et des frelons.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La lutte antiparasitaire en France et aux États-Unis présente des différences marquantes. En France, la réglementation stricte favorise les méthodes écologiques, tandis qu’aux États-Unis, l’utilisation de produits chimiques comme le phosphure d’aluminium reste courante. Kevin Granada Rios, dirigeant de Kosmos Solution anti-nuisible, a constaté à New York des défis similaires à ceux de Paris, notamment la gestion des déchets et le cloisonnement des responsabilités entre espaces publics et privés.Cette immersion souligne la nécessité d’harmoniser les pratiques et de favoriser l’innovation pour répondre efficacement aux enjeux environnementaux et sanitaires.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un secteur de la lutte antiparasitaire en pleine mutation, Edialux se démarque par des innovations technologiques et écologiques. Face à la réduction des substances chimiques disponibles et à des attentes environnementales croissantes, l’entreprise développe des solutions connectées, comme des destructeurs d’insectes et des dispositifs pour rongeurs équipés de caméras. Ces outils permettent un suivi précis, une optimisation des interventions et une traçabilité complète.Edialux intègre également des pratiques écoresponsables dans ses produits, notamment via l’utilisation de matériaux recyclables et la gestion responsable des batteries. Outre ses produits, l’entreprise accompagne les professionnels par des formations, des workshops et des services personnalisés pour renforcer leur efficacité sur le terrain.Cette approche globale, combinant innovation et respect des enjeux environnementaux, positionne Edialux comme un acteur de confiance dans un marché en quête de solutions durables et performantes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le furetage, méthode ancestrale de dératisation remontant à l'Égypte antique, connaît aujourd'hui un regain d'intérêt majeur dans la lutte contre les rongeurs nuisibles. Cette technique naturelle, qui utilise les furets comme prédateurs, représente une alternative prometteuse aux méthodes chimiques traditionnelles.Les furets, particulièrement les femelles, sont naturellement adaptés à cette mission grâce à leur morphologie unique : leur petite taille (30-60 cm) et leur corps souple leur permettent d'accéder facilement aux terriers des rongeurs. Leurs capacités de chasse exceptionnelles en font des alliés redoutables dans la dératisation.Cette approche écologique séduit de plus en plus de professionnels, comme en témoignent plusieurs experts du secteur. Le furetage offre des avantages significatifs :Une méthode sans produits chimiquesUne efficacité prouvée dans des zones difficiles d'accèsUn impact environnemental minimalUne solution plus sécurisée pour l'environnement urbainLa pratique du furetage est strictement encadrée, nécessitant des certifications spécifiques (Certibiocide, Acaced, TAV) et un investissement important en temps et en soins pour les animaux. Les résultats encourageants observés par les municipalités et les professionnels laissent présager un développement croissant de cette méthode, qui s'inscrit parfaitement dans une démarche de développement durable et de respect de l'environnement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La lutte contre les nuisibles évolue vers une utilisation raisonnée des biocides et une adoption croissante des alternatives respectueuses de l’environnement. Bien que les biocides restent indispensables dans certaines situations pour leur efficacité et leur rémanence, les attentes des clients et les réglementations plus strictes encouragent à repenser les pratiques.Jérémy Soret, Directeur de la BU Armosa, souligne l’importance d’un équilibre entre solutions conventionnelles et innovations technologiques, comme les pièges intelligents et dispositifs non toxiques. La transparence et la pédagogie auprès des clients permettent de répondre aux inquiétudes et d’accompagner cette transition.En combinant efficacité et durabilité, la profession s’oriente vers un avenir où les solutions hybrides, associant biocides et alternatives, deviennent la norme pour répondre aux exigences environnementales et garantir la satisfaction des clients.Article à lire sur Hamelin.infoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Biocinov, présent sur le marché depuis 2021, se spécialise dans les solutions naturelles et alternatives pour le secteur 3D (dératisation, désinsectisation, désinfection). Face à la demande croissante des clients pour des méthodes écologiques et respectueuses de la santé, l’entreprise propose des solutions efficaces et adaptées, telles que des pièges connectés ou des traitements à base de pyrèthre végétal. Ces approches permettent de répondre à des enjeux techniques comme la résistance des nuisibles, tout en offrant aux entreprises 3D un levier de différenciation.Cependant, des freins subsistent, tels que les habitudes ou le manque de connaissances, bien que les solutions naturelles soient de plus en plus perçues comme un critère clé par les clients. En investissant dans ces méthodes, les entreprises peuvent élargir leur cible, anticiper les réglementations futures, et améliorer leur image tout en garantissant la satisfaction client et la sécurité de leurs collaborateurs. Biocinov se positionne ainsi comme un partenaire innovant et engagé pour accompagner cette transition vers des pratiques durables.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La mérule pleureuse (Serpula lacrymans) est un champignon lignivore destructeur qui fragilise les structures en bois des bâtiments. Elle se développe principalement dans des environnements humides, mal ventilés, et sombres, avec une température optimale entre 15 et 25 °C. Présente sur tout le territoire français, la mérule peut causer des dégâts importants, allant jusqu’à l’effondrement des structures.Prolifération et réglementationLa loi ALUR de 2014 impose l’information préalable sur le risque mérule lors de transactions immobilières dans les zones concernées. En cas d’infestation, les occupants ou propriétaires doivent déclarer le problème en mairie, permettant aux autorités de cartographier les zones à risque.DiagnosticUn diagnostic précis est essentiel pour distinguer la mérule pleureuse d’autres champignons lignivores. Réalisé par des professionnels certifiés, il peut inclure un contrôle visuel, olfactif ou des analyses en laboratoire, notamment par PCR, pour éviter les erreurs d’identification.Prévention et traitementsLa prévention repose sur la gestion de l’humidité et une bonne ventilation. En cas d’infestation, des traitements comme l’air chaud (Norme EN 14128) ou des méthodes chimiques, nécessitant le Certibiocide, permettent d’éradiquer le champignon. Ces traitements incluent le retrait du bois infecté, la décontamination des murs et l’injection de fongicides.L’article souligne l’importance de diagnostics et de traitements adaptés pour limiter les dégâts et protéger les bâtiments. La lutte contre la mérule repose sur une combinaison de mesures préventives, de techniques modernes de diagnostic et de traitements rigoureux.4oHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) en maîtrise des nuisibles joue un rôle stratégique dans la professionnalisation du secteur de la lutte antiparasitaire, également appelé secteur 3D. Reconnu par le Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP), il garantit des compétences adaptées aux exigences croissantes en matière de gestion durable et sécurisée des nuisibles.Développé par Prosane (anciennement la Commission paritaire nationale 3D), le CQP Technicien Applicateur Hygiéniste répond à une demande croissante de qualification. Il est équivalent à un CAP/BEP et délivré par des organismes agréés tels que l’ISTAV, qui affiche un taux de réussite de 80 %. Le CQP s’adresse à un large public : demandeurs d’emploi, salariés en poste ou professionnels expérimentés, avec des formations modulables selon les besoins.Le programme de formation s’articule autour de trois blocs de compétences :Manipulation et préparation des produits : respect des normes de sécurité et identification des nuisibles.Mises en œuvre techniques : interventions adaptées aux cibles et aux contextes.Traitement de l’information : rédaction de rapports détaillés et analyse des interventions.Le CQP représente un avantage clé pour les entreprises, garantissant un haut niveau de professionnalisme et une meilleure sécurité. Il répond aux défis environnementaux et réglementaires en intégrant des pratiques durables. Ce diplôme, considéré comme une norme émergente dans le secteur, modernise la lutte antiparasitaire et valorise les techniciens hygiénistes en les positionnant comme des acteurs majeurs d’une gestion plus responsable.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Journées Techniques PROSANE, organisées les 3 et 4 octobre à Montpellier, ont réuni plus de 220 professionnels de la lutte antiparasitaire, dont des non-adhérents, pour discuter des innovations, des défis réglementaires et des nouvelles pratiques du secteur. L'événement a mis en lumière plusieurs sujets clés :Inspiration suisse pour le Certibiocide : Des experts suisses ont présenté des approches alternatives de gestion des nuisibles, notamment contre les punaises de lit, suscitant un vif intérêt parmi les participants.Défis réglementaires : Les débats ont porté sur les changements dans les autorisations de mise sur le marché (AMM) et les restrictions concernant certains produits comme la terre de Sommières.Opportunités dans l'agriculture : Des synergies entre la lutte antiparasitaire et les besoins spécifiques des exploitations agricoles ont été explorées, ouvrant de nouvelles perspectives pour les professionnels.Gestion de crise : Une présentation sur la communication en situation critique a souligné l'importance de la transparence et de la rapidité pour préserver l'image des entreprises.Innovations technologiques : L'usage de drones et de cartographies interactives dans la démoustication a été présenté comme une avancée majeure pour réduire l'impact environnemental et améliorer l'efficacité.Espaces urbains et biodiversité : Une réflexion sur la gestion des nuisibles dans les villes a mis en avant l'équilibre nécessaire entre biodiversité et prévention des infestations.Digitalisation du secteur : L'accent a été mis sur les logiciels métiers, qui permettent de renforcer la traçabilité et la gestion des interventions.Les participants ont salué la qualité de l'organisation et des échanges, faisant de cet événement un rendez-vous incontournable pour les acteurs du secteur.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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