« Avec cette palette de couleurs, je cherche à donner un aspect anthropomorphique aux arbres pour montrer qu’ils font partie de nous et que nous pouvons entrer en connexion directe avec eux, comme des pairs. »Pour ce nouvel épisode, "Rencontres sauvages" nous fait découvrir le travail de Tamara Kostianovsky, exposée au musée de la Chasse et de la Nature jusqu'au 3 novembre 2023. Tout commence par la réception d'un étrange colis contenant un faisan, qui se révèlera fondateur dans son processus créatif et dans son lien avec le monde sauvage...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette rencontre, c'est un cuisinier qui rencontre l'animal dans son territoire, et donc on va retrouver dans cette assiette le champ dans lequel le chevreuil avait l'habitude certainement de se coucher, qui fait partie de son territoire.Damien Laforce, cuisinier responsable et acteur de son territoireSacré Jeune Talent 2022 par Gault&Millau, le chef Damien Laforce défend la Flandre, le territoire de son enfance, dans ses deux restaurants Le Braque et Le Silex, à Lille. Pour cet épisode inédit, il nous invite dans sa cuisine pour la préparation d’un chevreuil sauce Fayot. Entre réduction du jus de viande, demi-glaçage et autres gestes experts, le cuisinier nous livre sa vision de la chasse, du gibier, de son territoire. La dégustation de son plat offre une expérience sensorielle riche, dans laquelle on goûte son attachement à la nature et son engagement envers une cuisine durable et authentique. C'est une véritable rencontre avec la nature, où chaque bouchée révèle les nuances et la finesse du monde sauvage.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En lien avec la 6ᵉ édition du salon du livre "Lire la Nature", cet épisode donne la parole à cinq auteurs. Les écrivaines Sandrine Collette et Maylis Adhémar, l'historien Éric Baratay, et les écrivains Cédric Gras et Gaspard Koenig partagent leurs expériences de rencontres sauvages.Chacun relate des moments uniques, tels qu'une rencontre avec une famille de sangliers, des observations d'écureuils acrobates, des instants de connexion avec des chevaux et des moments d'approche d'ours. Ils partagent également leurs réflexions sur la définition du sauvage, évoquant la liberté, le danger, et le lien entre l'homme et la nature.Cet épisode a été enregistré lors du salon du livre Lire la Nature, organisé par la Fondation François Sommer au Musée de la Chasse et de la Nature. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Je crois que mon écriture serait éventuellement animiste. Elle est visitée par les animaux. […] Il y a des animaux en embuscade. En fait, ils pénètrent mes textes comme mes rêves. » Fanny WallendorfDans ce nouvel épisode de "Rencontres Sauvages", l’écrivaine Fanny Wallendorf nous emmène dans la ferme de ses grands-parents, près du poirier rond. Elle partage les rencontres émerveillées de son enfance avec ses "frères animaux", où la sensualité et le silence tissent une approche poétique des questions anthropologiques et environnementales.Fanny Wallendorf est lauréate du Prix François Sommer 2024 pour Jusqu’au prodige, un roman paru aux éditions Finitude.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🦊🌲🦊 Pour cet épisode de "Rencontres Sauvages", l'architecte, docteur en sciences, professeur et paysagiste Nicolas Gilsoul nous raconte un moment fondateur avec les renards au sanctuaire de Fushimi Inari à Kyoto, au Japon. Égaré à la tombée de la nuit dans ce lieu mystérieux, plongé au cœur d’une forêt labyrinthique, entre peur et éblouissement, il se retrouve face aux esprits de la forêt, les fameux kitsunes (renards en japonais). Cette expérience magique agit comme une initiation qui influence encore aujourd’hui son approche du monde. La curiosité et le bestiaire de Nicolas Gilsoul sont vastes. Nous ferons aussi la rencontre avec un héron dans les égouts de Paris et embrasserons un silure au chevet de Notre-Dame de Paris. Son bestiaire prend vie sous sa plume et son crayon. Nicolas Gilsoul a notamment publié chez Fayard : Bêtes de villes (2019), Chlorophylle & bêtes de villes (2022) et Peurs bêtes (2023). Épisode produit et réalisé par Céline du Chéné et Laurent Paulré. Crédit photo : Astrid di Crollalanza Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je peins beaucoup de chiens. J'essaye de leur donner une âme humaine, et je crois que l'on voit ça dans mes peintures. J'essaye de les peindre de l'intérieur pour dépeindre ce qu'ils ressentent plus que simplement leur aspect extérieur À l'occasion de son exposition "Animal Kingdom" présentée au Musée de la Chasse et de la Nature jusqu'au 10 mars 2024, l'artiste Sean Landers nous dévoile sa perspective unique du monde sauvage. Dans son univers qui flirte avec le surréalisme, les animaux arborent d'étranges fourrures tartan, s'appropriant ainsi une nouvelle force et visibilité, sans doute pour ne pas être oubliés par l'humanité. Épisode produit et réalisé par Céline du Chéné et Laurent Paulré. Crédit photo : Michelle Reyes LandersHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La sauvagerie, c'est un amour, mais un amour autrement, plus violent, plus puissant. C'est le ventre, c'est les jambes, c'est l'instinct de vie et de survie. » L’écrivaine-voyageuse Catherine Poulain donne à écouter ses rencontres avec la nature et le monde animal. D’une respiration à l’autre, elle chemine dans sa mémoire pour nous emporter depuis ses souvenirs de son enfance jusqu’aux côtes de l’Alaska où elle fut marin-pêcheur et ouvrière agricole, en passant pour les versants des Alpes où elle exerça le métier de bergère. Une rencontre sensible, qui retient l’urgence de la vie par le souffle, qui questionne la légèreté, la liberté, la force de la vie sauvage ainsi que notre propre sauvagerie. Catherine Poulain est l’auteure de "Le Grand Marin" (2016, édition de l’Olivier), de "Le Cœur blanc" (2018, édition de l’Olivier). Vient de paraitre "L’Ombre d’un grand oiseau" chez Arthaud. Épisode produit et réalisé par Céline du Chéné et Laurent Paulré. Crédit photo : Maurice Rougemont / opale.photoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🌓🐘🌖À l'occasion de son exposition Uchronie au Musée de la Chasse et de la Nature (11 avril –17 septembre 2023), le plasticien et photographe Vincent Fournier, nous livre sa rencontre intime avec le monde sauvage. Entre portraits d'animaux augmentés et paysages lunaires, ses photographies tissent un trait d'union sensible entre ses souvenirs d'enfance d'une nature parfois imposante au Burkina Faso et en Bretagne, et les visions futuristes de la culture télévisuelle des années 1980 qui ont façonné son imagination. Cet épisode de "Rencontre sauvage" permet d'explorer les sources qui nourrissent la vision artistique de Vincent Fournier, tout en suscitant une réflexion profonde sur la relation entre l'homme, la science, le temps et la nature. 🎤 Épisode produit et réalisé par Céline du Chéné et Laurent Paulré. 📷 ©Vincent Fournier, Éléphant mirage [Elephantus mirari], tirage jet d'encre, 113x170cm, 2022 Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Originaire de la Sologne, Artiste-plasticien formé au Design de mode et à la taxidermie, Sylvain Wavrant explore nos relations au monde sauvage dans des projets et des installations qui font intervenir des animaux qu’il collecte, victimes de collisions sur les routes. Il est co-directeur artistique aux côtés de Thomas Cartron du collectif « Rouennais Nos Années Sauvages ». En savoir plus : sylvainwavrant.com nos-annees-sauvages.com Crédits images : © Sylvain WavrantHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Passionné par le cerf, Virgile Parpinelli s’entraîne à imiter l’animal à la perfection dans les forêts du Massif central. En 2018, il a été couronné champion de France et d’Europe de brame. Retrouvez Virgile Parpinelli dans le numéro 17 de la revue Billebaude sur le cerf. Crédits photos : © Sylvain Gouraud Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anne Simon est directrice de recherche au CNRS, rédactrice des carnets Animots et Pôle Proust, membre du comité éditorial de la revue Billebaude. Spécialiste de l’animalité dans le roman contemporain, son essai de zoopoétique Une bête entre les lignes est paru aux éditions Wildproject en 2021. En savoir plus : https://animots.hypotheses.org Crédits photo : Anne Simon / © Musée de la Chasse et de la Nature, Paris – Sylvie DurandHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
François Sarano est plongeur océanologue. Il a travaillé treize ans aux côtés du commandant Cousteau. Conseiller scientifique du film Océans, de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud (2009), il a crée l’association Longitude 181. Il a publié, en 2017, le Retour de Moby Dick (Actes Sud). Retrouvez François Sarano dans le numéro 14 de la revue Billebaude, Mondes Sonores. https://www.chassenature.org/billebaude-n14/ © T&DHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Philosophe des métamorphoses, maître de conférences à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, Emanuele Coccia est invité dans le cadre de la programmation autour de l'exposition d'Éva Jospin, Galleria. Copyright : D.R. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A lʼoccasion de la parution de son essai LʼAnimal et la mort. Chasses, modernité et crise du sauvage, aux éditions La Découverte, nous recevons lʼethnologue Charles Stépanoff pour déployer à partir du cerf, figure centrale de lʼimaginaire du sauvage en Occident, une réflexion sur lʼévolution de la conception du sauvage et de lʼanimal dans le contexte des bouleversements écologiques et éthiques des dernières décennies. Confrontant les réponses quʼapportent les peuples chasseurs-cueilleurs animistes, les défenseurs des animaux et les chasseurs occidentaux aux questions morales que pose la violence exercée sur le vivant, Charles Stépanoff interroge lʼuniversalité de la figure du « prédateur empathique » et lʼévolution de la cognition de lʼespèce humaine où elle puise son origine. Si la trajectoire de la modernité occidentale apparaît sous cet angle singulier, le rapport à lʼanimal y demeure, à lʼinstar dʼautres sociétés hiérarchisées, un puissant opérateur de distinction. Crédits image : Karl Bodmer et Adolphe Mouilleron, Cerf et biches dans un sous-bois, vers 1880, inv. 61 602 scan (détail)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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