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Author: Le Labo de l'ESS

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Description

Comment et pourquoi développer les circuits courts ? Qu’est ce que les coopératives ont de plus que les entreprises classiques ? Comment faire en sorte que tout le monde ait accès à une alimentation de qualité ? Comment mettre en place la transition énergétique ou réformer notre système de santé pour qu’il soit plus équitable ? 
Toutes ces questions que vous vous posez peut-être, l’économie sociale et solidaire peut y répondre et apporte déjà des solutions. En effet, partout en France et en Europe, se développent de nombreuses initiatives inspirantes qui ont pour but non pas de faire du profit, mais de participer à l’élaboration d’une société plus juste, plus sociale et plus écologique. Ces initiatives, nous travaillons avec elles au quotidien pour, ensemble, structurer cette économie sociale et solidaire et en faire l’économie de demain. 
Transition énergétique, alimentation durable, santé, emploi, coopérations territoriales…voici quelques exemples de thématiques que nous explorerons dans ce podcast à travers des conversations passionnées avec des experts/expertes, des chercheurs/chercheuses et des acteurs/actrices de terrain, pour vous aider à mieux comprendre l’ESS, ses enjeux et la manière dont cette forme d’économie peut transformer notre société en profondeur. 

Faire éco est le podcast du Labo de l’ESS qui transforme votre vision de l’économie. Il est réalisé avec le soutien de la Fondation Crédit Coopératif (https://fondation.credit-cooperatif.coop/)
le Labo de l’ESS est un think tank, c'est à dire un lieu de réflexion qui promeut et développe l’économie sociale ou solidaire, c’est-à-dire l’ESS ; Il produit des études thématiques et coopératives à partir d’initiatives concrètes, innovantes et inspirantes issues des territoires. Pour retrouver toutes nos études, événements et actualités : www.lelabo-ess.org (http://www.lelabo-ess.org)
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
23 Episodes
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Comment et pourquoi développer les circuits courts ? Qu’est ce que les coopératives ont de plus que les entreprises classiques ? Comment faire en sorte que tout le monde ait accès à une alimentation de qualité ? Comment mettre en place la transition énergétique ou réformer notre système de santé pour qu’il soit plus équitable ?  Toutes ces questions que vous vous posez peut-être, l’économie sociale et solidaire (ESS) peut y répondre et apporte déjà des solutions. En effet, partout en France et en Europe, se développent de nombreuses initiatives inspirantes qui ont pour but non pas de faire du profit, mais de participer à l’élaboration d’une société plus juste, plus sociale et plus écologique. Ces initiatives, nous travaillons avec elles au quotidien pour, ensemble, structurer cette économie sociale et solidaire et en faire l’économie de demain.  Transition énergétique, alimentation durable, santé, emploi, coopérations territoriales…voici quelques exemples de thématiques que nous explorerons dans ce podcast à travers des conversations passionnées avec des experts/expertes, des chercheurs/chercheuses et des acteurs/actrices de terrain, pour vous aider à mieux comprendre l’ESS, ses enjeux et la manière dont cette forme d’économie peut transformer notre société en profondeur.  Faire éco est le podcast du Labo de l'ESS qui transforme votre vision de l'économie.    le Labo de l’ESS est un think tank, c'est à dire un lieu de réflexion qui promeut et développe l’économie sociale ou solidaire, c’est-à-dire l’ESS ; Il produit des études thématiques et coopératives à partir d’initiatives concrètes, innovantes et inspirantes issues des territoires. Retrouvez nos travaux, nos événements et nos actualités sur notre site Internet. Ce podcast est réalisé avec le soutien de la Fondation Crédit Coopératif Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🌍🌱En  décembre 2020, cinq ans après l’historique Accord de Paris sur le  climat, le Programme des Nations Unies sur l’Environnement constate, dans son rapport annuel,   que le monde continue de se diriger vers une augmentation des températures de plus de 3°C au cours de notre siècle, et ce malgré une baisse des émissions de CO² liée à la pandémie de Covid-19. Si tous les signaux sont au rouge concernant le réchauffement climatique, il est encore possible d’agir et la relance post-crise sanitaire constitue un moment important pour prendre ce virage.  Pour cela, il est urgent d’opérer une transition énergétique entraînant un changement radical de nos modes de consommation d’énergie.  De la production d’énergies renouvelables et citoyennes à la réduction de notre consommation, l’économie sociale et solidaire est, par ses pratiques et ses valeurs, un réel levier pour réaliser cette transition. En effet, de nombreuses initiatives existent partout en France et nous montrent la voie pour dessiner un avenir plus vert et plus solidaire.  Alors comment réaliser cette transition ? Quels sont les leviers d’action et les mesures les plus urgentes à mettre en place ? Quelles sont les solutions proposées par l’ESS ? Qu-est-ce que moi, citoyen ou citoyenne, je peux faire pour m’engager dans cette transition ?  C’est ce que nous allons explorer dans cette première série de podcasts sur la Transition énergétique citoyenne.   Dans  ce premier épisode, le Labo reçoit Patrick Behm, référent thématique sur la Transition énergétique citoyenne au Labo de l’ESS. Il réalise un tour d’horizon du sujet et nous  montre quels sont les leviers d’action et les mesures les plus urgentes à  mettre en place pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre.  Bonne écoute🎧.  Cette série dédiée à la Transition énergétique citoyenne est soutenue par la Fondation Crédit Coopératif et Enercoop. Pour aller plus loin  :  Consultez les travaux du Labo de l'ESS sur la Transition énergétique citoyenne  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🏗️🏢 En France, le secteur du bâtiment est à l’origine d’un quart des émissions  de gaz à effet de serre. Si les nouvelles constructions sont énergétiquement performantes, la majorité du parc immobilier est  constitué de bâtiments dont le niveau de consommation est élevé. La  rénovation énergétique, c’est-à-dire l’ensemble des travaux sur un bâtiment visant à diminuer sa consommation d’énergie et celle de ses habitant.e.s est donc un indispensable à la sobriété énergétique. Au-delà de son impact sur la transition, la rénovation énergétique permet également de préserver, voire d’améliorer le patrimoine et de lutter contre la précarité. Pour en parler, le Labo de l'ESS reçoit dans ce deuxième épisode, Raphaël Claustre, directeur général d’Île de France énergies, spécialiste francilien de la rénovation énergétique des bâtiments.   Cette série dédiée à la Transition énergétique citoyenne est soutenue par la Fondation Crédit Coopératif et Enercoop. Pour aller plus loin 🤓 : Consultez les travaux du Labo de l'ESS sur la Transition énergétique citoyenne Consultez le site Internet d'Ile de France énergies Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🌍🌱💪Dans ce troisième épisode de notre série consacrée à la Transition énergétique citoyenne, place à l’action avec Patrick Sabin, maire d'Escource et fondateur du TEPOS  Cœur Haute Landes. Les TEPOS sont des Territoires à Energies POSitives, qui visent l'objectif de réduire leurs besoins en énergie au maximum,  par la sobriété et l'efficacité énergétiques, et de les couvrir par les  énergies renouvelables locales. S’il en existe de nombreux aujourd’hui en France, le TEPOS Cœur Haute Landes fait figure de modèle de  transition énergétique. Je vous emmène aujourd’hui en immersion dans les Landes, à la rencontre de son charismatique instigateur.  Bonne écoute🎧.  Cette série dédiée à la Transition énergétique citoyenne est soutenue par la Fondation Crédit Coopératif et Enercoop. Pour aller plus loin 🤓 : Consultez nos travaux sur la Transition énergétique citoyenne Consultez le site des Territoires à énergie positive Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 👩‍💻💼🗂️Depuis plus d’un an, la crise sanitaire est venue profondément transformer notre quotidien, y compris l’organisation du travail et nos vies professionnelles. Précarisation pour certains, télétravail généralisé ou arrêt d’activité pour d’autres, sentiment d’isolement pour les uns, diminution du collectif et parfois même perte de sens pour les autres : la Covid a rebattu les cartes d’un monde du travail déjà en pleine mutation, aux prises de la précarisation et de l’ubérisation de l’économie.  Représentant 10,5% de l’emploi salarié en France, l’économie sociale et solidaire (ESS) innove face aux nouveaux enjeux du monde du travail. Mue par des valeurs d’intérêt général, d’équité, et d’ancrage local, les acteurs de l’ESS expérimentent de nouvelles formes d’emploi à la croisée entre protection et autonomie. Ils sont créateurs d’emplois basés sur la coopération et la participation pour améliorer la qualité de vie au travail.  Qu’est-ce qu’un emploi de qualité ? Quelles sont les aspirations des travailleur·euse·s aujourd’hui ? Quelles sont les nouvelles formes d’emploi qui se développent dans l’économie sociale et solidaire ? Comment développer des conditions de travail favorables à l’épanouissement pour toutes et tous ?  Autant de questions auxquelles nous allons tenter de répondre dans cette série de Faire Éco dédiée aux nouvelles formes d’emploi et à la qualité de vie au travail, réalisée par le Labo de l’ESS, en partenariat avec Chorum. Dans ce premier épisode, nous essayons de comprendre en quoi consiste un emploi de qualité et comment l’économie sociale et solidaire développe de nouvelles formes d’emploi. Nous nous interrogeons également sur la qualité de vie au travail dans les structures de l'économie sociale et solidaire, sur les aspirations de ses acteur·rice·s et la notion de "sens". Pour cela, Le Labo donne la parole à Christiane Demontès, référente thématique du Labo de l'ESS sur les nouvelles formes d'emploi ainsi qu'à Amandine Dubois-Fleury, chef de produits et ingénierie santé et qualité de vie au travail chez Chorum. Bonne écoute ! 🎧 Pour aller plus loin 🤓: Consultez les travaux du Labo de l'ESS sur les nouvelles formes d'emploi Consultez le site Internet de Chorum  Lisez "A la reconquête du travail durable, l'économie sociale et solidaire en pionnière" de Arnaud Lacan aux éditions les Petits matins   Cette série dédiée aux nouvelles formes d'emploi est soutenue par la Fondation Crédit Coopératif  et réalisée en partenariat avec ChorumHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💼👩‍💻🗂️D’après l’INSEE[1] la France comptait en 2018 11,4% de travailleur.euse.s indépendant.e.s. C’est une tendance qui se développe, notamment depuis 2009 et la création du statut d’autoentrepreneur. Ces dernières années, plusieurs modèles issus de l’économie sociale et solidaire ont vu le jour. Ils permettent aux travailleur.euse.s indépendant.e.s de développer leurs projets naissant tout en étant accompagné, d’accroitre leurs réseaux ou encore de disposer d’un lieu de travail partagé pour pallier l’isolement. C’est le cas par exemple des incubateurs sociaux et des tiers-lieux. Au cœur de ce riche écosystème ESS, le modèle des coopératives d’activités et d’emploi est encore peu connu du grand public malgré ses nombreux atouts. imaginez deux minutes que vous soyez un.e entrepreneur.eure indépendant.e – architecte, graphiste, journaliste, communiquant, menuisier, artiste ou encore prof de yoga. Vous aimez votre travail et le fait d’être votre propre patron mais avez envie de vous épanouir au sein d’un collectif, tout en étant aidé sur vos tâches administratives, accompagné pour développer vos activités et protégé par des droits sociaux tels que l’assurance maladie ou le chômage. Ça vous semble compliqué ? Et pourtant, c’est ce que proposent les coopératives d’activités et d’emplois via le statut d’entrepreneur-salarié associé qui allie la liberté de l’autoentrepreneuriat avec la protection du salariat, le tout en créant du collectif et de la coopération.  Les CAE ont émergé il y a 25 ans et étaient déjà une centaine en France quand la loi du 31 juillet 2014 a permis d’en sécuriser le cadre. Comment les CAE fonctionnent-t-elles ? Quelle est la philosophie à l’origine de ce modèle toujours novateur pour travailleurs autonomes ? Qui peut accéder au statut d’entrepreneur-salarié associé ? Comment les CAE ont su faire face à la crise sanitaire ? J’ai demandé à Anne-Claire Pignal, pilote de la toute récente Fédération des coopératives d’activités et d’emplois, fondée en décembre 2020, de nous raconter ce modèle inspirant afin de mieux le faire connaître pour que demain, il n’y ait pas à choisir entre indépendance et droits sociaux.      [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4470764?sommaire=4470890  Bonne écoute ! 🎧 Pour aller plus loin🤓  : Consultez les travaux du Labo de l'ESS sur les nouvelles formes d'emploi Consultez le site de la Confédération Générale des Scop sur les CAE Lisez "A la reconquête du travail durable, l'économie sociale et solidaire en pionnière" de Arnaud Lacan aux éditions les Petits matins     Cette série dédiée aux nouvelles formes d'emploi est soutenue par la Fondation Crédit Coopératif  et réalisée en partenariat avec Chorum.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💼🗂️👩‍💻A l’heure où la crise économique s’installe pour durer, nous savons déjà que ce sont les personnes les plus précaires et éloignées de l’emploi qui sont et seront les plus impactées. Face à la hausse du chômage et des inégalités, les entreprises solidaires et inclusives jouent un rôle essentiel. Elles permettent à des personnes éloignées de l'emploi de bénéficier d’un accompagnement renforcé facilitant leur insertion sociale et professionnelle. Si ces entreprises sociales et inclusives existent sous des formes différentes et complémentaires, elles se rassemblent sous les valeurs de l'économie sociale et solidaire. Dans ce 3ème épisode de notre série consacrée aux nouvelles formes d'emploi et en partenariat avec Chorum, je vous emmène à la rencontre de l'une de ces initiatives qui part des besoins de l’entreprise pour concevoir des parcours d’insertion personnalisés débouchant sur des emplois locaux, durables et qualifiés. A la croisée entre le groupement d’employeurs et la structure d’insertion par l’activité économique, les Geiq – Groupement d’employeurs pour l’insertion et la qualification – permettent de répondre aux besoins de recrutement des employeurs, tout en formant et accompagnant des personnes éloignées de l’emploi dans un parcours basé sur l'alternance. Rencontre avec Francis Levy, Secrétaire général de la Fédération Française des Geiq, et membre du Comité de direction du Labo de l’ESS, qui décortique avec nous ce modèle inspirant et innovant. Bonne écoute 🎧  Pour aller plus loin🤓  : Consultez les travaux du Labo de l'ESS sur les nouvelles formes d'emploi Consultez le site de la Fédération Française des Geiq Lisez "A la reconquête du travail durable, l'économie sociale et solidaire en pionnière" de Arnaud Lacan aux éditions les Petits matins   Cette série dédiée aux nouvelles formes d'emploi est soutenue par la Fondation Crédit Coopératif  et réalisée en partenariat avec ChorumHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💼🤝Les acteur·rice·s de l’économie sociale et solidaire ont, comme tou·te·s les autres, été touché·e·s par la crise sanitaire et cela a déjà des répercussions sur l’emploi. A titre d’exemple, selon une enquête réalisée par le Mouvement associatif parue en juin 2021, 76% des associations déclarent subir les effets de la crise et 62% d’entre elles parlent d’une perte de revenus d’activités.   Les associations culturelles et sportives ont été parmi les plus impactées par les multiples confinements. Cependant, grâce aux différentes aides de l’Etat et à la résilience du secteur, les structures de l’économie sociale et solidaire ont globalement su s’adapter pour faire perdurer leurs activités et leurs emplois. Certaines, comme les coopératives, ont même été plus résilientes que prévu. D’après une enquête réalisée par la CG Scop et publiée en février 2021, la baisse du chiffre d’affaires des coopératives répondantes sur 2020 est limitée – et moins forte que prévu - même si des disparités existent selon les secteurs. Dans cet épisode spécial de Faire Eco, j’ai l’honneur de recevoir Mme Olivia Grégoire, Secrétaire d’Etat à l’économie sociale, solidaire et responsable pour parler des aides de l’Etat mises en place pour faire perdurer les emplois dans l’ESS face à la crise et de la manière dont l’ESS peut infuser ses valeurs et ses pratiques dans l’ensemble de l’économie pour aller vers de meilleures conditions d’emploi.  Bonne écoute ! 🎧  Pour aller plus loin 🤓 : Le livret relatif à l’ouverture des contrats Parcours Emploi Compétences aux associations   Le dossier de presse relatif à la création de la Plateforme Impact  Le dossier recensant les aides aux associations dans le plan France Relance   Les travaux du Labo de l'ESS sur les Nouvelles formes d'emploi  Cette série de podcasts est soutenue par la Fondation Crédit Coopératif et réalisée en partenariat avec Chorum Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🏙 L’avènement de smart cities ultra-connectées et optimisées est loin de faire consensus et porte son lot d’incertitudes sur les réels bénéfices socio-économiques et environnementaux à en attendre. D’autant que les impacts du développement technologique en termes de consommation de ressources et d’énergie ou encore de pollution sont loin d’être neutres. 📱 La ville high-tech n’est donc ni une évidence, ni nécessairement désirable. D’autres modèles urbains, fondés sur un plus grand discernement dans l’usage de la technologie, sont possibles et souhaitables : c’est l’objet de la ville ou métropole low-tech.   En 2021, le Labo de l’ESS a été à la rencontre de porteurs de projets dans nos territoires s’inscrivant dans cette démarche. Par une méthodologie ascendante, le think-tank a pu souligner les enjeux les principes d’actions et les solutions concrètes d’une démarche low-tech appliquée à l’échelle d’une agglomération urbaine. Mais de quoi parle-t-on ?   C'est ce que nous allons découvrir dans cette série de podcast dédiée à la démarche low-tech.  Dans ce premier épisode, le Labo reçoit Hugues SIbille, président du Labo de l'ESS et Florian Laboulais chargé de mission au Labo de l'ESS.  Bonne écoute🎧.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🏗️🛠  Le secteur du bâtiment et des travaux publics occupe une place centrale dans la questions des enjeux écologiques. Selon des chiffres publiés en 2020 par le Ministère de la Transition écologique, le BTP représente ainsi à lui seul 43% de la consommation énergétique en France et 23% des émission de gaz à effet de serre (GES).  Dans ce contexte de raréfaction des ressources primaires et de nécessaire finitude de l'espace urbain, nous ne pouvons plus construire comme avant.  Réemploi de matériaux de construction, économie circulaire : une réfléxion globale sur l'urbanisme de transition s'opère, essentielle pour la fabrique de territoires durables.  Pour du concret, je vous emmène aujourd’hui en immersion à Paris, à la rencontre de Louis Destombes, architecte chez Bellastock. Il nous parlera de réemploi dans le secteur du BTP à travers une architecture expérimentale. Bonne écoute ! 🎧 Pour aller plus loin 🤓: Consultez les travaux du Labo de l'ESS sur la démarche low-tech  En savoir plus sur les travaux de Bellastock  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🏡 En France, nous détruisons tous les ans 25 à 30 000 hectares de sols essentiellement agricoles pour agrandir nos villes. Soit l'équivalent de cinq stades de foot, toutes les heures.  Depuis plusieurs années, l'étalement urbain a montré ses limites. La fabrique de la ville est au croisement des trois crises du siècle (climat, biodiversité et ressources) :  Atteinte aux milieux naturels et à la biodiversité, pertes de sols agricoles et de résilience alimentaire, Urbanisme à fragmentation qui repousse les ménages aux revenus normaux bien au-delà du cœur des métropoles Intensification des mobilités carbonées liées à la dépendance au système automobile.  Il y a une véritable prise de conscience de la fin d'un système.  ♻ Face à cette impasse, l'urbanisme circulaire serait la solution. Comment définir cette notion ? Quels sont ses apports et comment l'appliquer concrètement sur nos territoires ?  Pour répondre à ces questions, Le Labo de l'ESS donne la parole à Sylvain Grisot, urbaniste fondateur de Dixit.net, la plateforme de l'urbanisme circulaire.   Bonne écoute ! 🎧 Pour aller plus loin 🤓: Consultez les travaux du Labo de l'ESS sur la démarche low-tech  Consultez le site Internet de Dixit.net   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 Dans ce premier épisode, le Labo de l’ESS vous présente l’économie sociale et solidaire à l’échelle européenne ! Plus connue sous le nom d’économie sociale, elle participe au changement de l’économie au travers de valeurs, de statuts et de pratiques partagés par la majorité des citoyens européens – utilité sociale, solidarité et démocratie – et se développe en répondant à de multiples besoins sociaux non ou mal satisfaits.   Quels sont ses principes ? Quels sont les principaux freins et leviers pour obtenir sa reconnaissance politique et législative ? Quelle place pour l’ESS en Europe ?  Pour cela, Le Labo donne la parole à Michel Catinat, référent thématique sur les questions d’ESS européenne au Labo de l’ESS.   Bonne écoute ! 🎧  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce second épisode, le Labo de l’ESS part à la rencontre de KaléidosCOOP. Présenté comme un pôle transfrontalier de coopération économique, KaléidosCOOP est un tiers lieu facilitant la création et le développement d’activités et de synergies dans une démarche économique, responsable, sociale et solidaire.   Situé au Port du Rhin, en Alsace, ce projet franco-allemand est ouvert à tou.te.s pour travailler, entreprendre et consommer autrement.  Comment s’est développé ce projet ? Quels ont été les leviers et obstacles rencontrés ? Quels impacts la dimension européenne a-t-elle sur le projet ?   Pour y répondre, Le Labo donne la parole à Manon Marquis, cheffe de projet et Agathe Binnert, en charge du développement transfrontalier de KaléidosCOOP.   Bonne écoute ! 🎧  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 L’économie sociale et solidaire propose un modèle de fonctionnement qui réconcilie l’économique et le social dans la durée et qui donne une priorité à l’humain sur le capital. Elle porte des valeurs définissant ce qui pourrait être une économie sociale de marché :   - Une finalité sociale ou d’intérêt général  - Une ré-internalisation des excédents  - Une gouvernance démocratique et participative      Par le respect de ces simples valeurs, elle offre des voies de solutions aux nombreux défis sociaux, économiques, environnementaux et sanitaires auxquels les sociétés européennes sont confrontées.      Le 9 décembre 2021, la Commission européenne adopte le plan d’action européen en faveur de l’économie sociale sous la forme d’une communication politique. Dans le même temps, elle lance un « parcours de transition » ou transition pathway destiné à faciliter la transition écologique et numérique de l’ES dans un dialogue avec les pouvoirs publics et les parties intéressées.      Comment ce plan d’action a-t-il été construit au sein de la Commission européenne ? Pourquoi ce réjouir de ce processus législatif ? Et quelles retombées concrètes pour les acteurs et réseaux de l’ESS ?      Pour répondre à ces questions, je reçois aujourd’hui Karel Vanderpoorten. Il nous explique le fonctionnement de la Commission européenne, ses orientations en termes d’économie sociale ainsi que les coulisses de l’élaboration de ce plan.   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 🌽 Un quart des Françai.s.es se restreignent sur la quantité de ce qu’ils mangent pour des raisons financières, 40% sur la qualité, alors même que chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture partent à la poubelle.   Depuis 2020, la Covid-19 provoque une crise sanitaire, sociale et économique. Elle souligne l’hyper-interdépendances de nos sociétés face à la restriction des échanges économiques internationaux. La guerre en Ukraine l’a également prouvé. La question du manque d’autonomie alimentaire et de la qualité sanitaire de ce qui nous nourrit a fait prendre conscience qu’il n’est plus possible de considérer le système agroalimentaire comme un secteur industriel parmi d’autres mais comme un bien commun qui mérite d’autres égards. Les effets de ces crises touchant en priorité les plus précaires, elles font basculer dans la pauvreté celles et ceux qui ne peuvent souffrir de la moindre atteinte à leur pouvoir d’achat. 🧩 Pourtant de nombreuses initiatives s’inscrivant dans des dynamiques territoriales de coopération tracent la voie. Elles montrent qu’il est possible de rendre cette alimentation de qualité accessible à tou.te.s tout en accompagnant une transition agricole et alimentaire qui ne se fasse pas au détriment des agriculteur.rice.s.   Qu’est-ce que la précarité alimentaire ? Comment concilier l’accès à une alimentation de qualité avec de faibles revenus ? Quelles initiatives de l’ESS proposent une alternative à l’aide alimentaire   Le Labo de l’ESS donne la parole à Dominique Picard et Marc Alphandéry, experts du sujet de l’agriculture et l’alimentation durables.   Bonne écoute ! 🎧  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 Le modèle agricole productiviste et exportateur favorise l’utilisation de machines agricoles surpuissantes et high-tech, qui rendent l’agriculteur.rice dépendant.e de l’ingénieur, du banquier, du numérique. Ces pratiques ont également un impact sur la destruction des communautés paysannes, l’environnement, l’aménagement du territoire, l’emploi rural, la santé, l’offre alimentaire.   Face à cela, l’agriculture paysanne propose des solutions. Elle permet à un maximum de paysan.ne.s réparti.e.s sur le territoire de vivre décemment de leur métier, en produisant sur une exploitation à taille humaine une alimentation saine et de qualité, accessible à tous et toutes, sans remettre en cause les ressources naturelles de demain. C’est la solution pour une meilleure sécurité et souveraineté alimentaire.   Pour la mettre en place, il apparait nécessaire de se détacher de l’agriculture industrialisée et par là même, réinterroger les usages dans nos modes de production. Alors comment reprendre la terre aux machines? et comment l’ESS œuvre pour une souveraineté technique dans l’agriculture?  Pour y répondre, Le Labo de l’ESS est allé à Renage, en Isère, à la rencontre de Marie-Océane Fekairi, directrice de la coopérative l’Atelier paysan.  Bonne écoute ! 🎧  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Production, distribution, consommation. Agriculteurs, commerçants, mangeurs. Différents maillons d’un ensemble complexe d’interactions, qui permet à nos sociétés de s’alimenter.   L’alimentation ne peut plus être considérée comme un secteur économique autonome, capable de produire, transformer et distribuer la nourriture localement mais comme un ensemble de chaînons interdépendants les uns des autres, souvent très éloignés géographiquement. Si l’offre alimentaire n’a jamais été aussi importante qu’aujourd’hui, le système agro-industriel est lui aussi énergivore. Néanmoins, les conditions ayant permis au système alimentaire moderne de prospérer sont compromises par plusieurs grandes menaces qui pèsent sur le système alimentaire contemporain : dérèglement climatique, effondrement de la biodiversité, dégradation et artificialisation des sols, épuisement des ressources énergétiques et minières, instabilités économiques et politiques. Nos sociétés industrielles sont aujourd’hui très fragiles face à ces crises.  Comment ces écosystèmes, fondés sur l’interdépendance, vont-ils pouvoir absorber les chocs qui s’annoncent et avoir la capacité de s’adapter, voire de se transformertout en maintenant leurs fonctions vitales?   Lucile Giquel, bénévole aux Greniers d’abondance à Lyon, propose au Labo de l’ESS une définition de la résilience alimentaire et de ses enjeux.   Bonne écoute 🎧  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nos sociétés vivent-elles la fin d’un âge d’abondance ? C’est le débat qui a occupé l’espace médiatique en septembre 2022, à la faveur d’une allocution du Président de la République Emmanuel Macron, interviewé après un été marqué par des vagues de chaleur incendiaires et une crise énergétique accentuée par l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Cette promesse d’une prolifération sans cesse renouvelée, si elle est devenue synonyme de liberté, elle repose en fait sur une double illusion. Cette économie de la profusion, nous confronte, nous les êtres humains, aux risques de pénurie et aux incertitudes matérielles dont elle semblait annoncer la délivrance. Par ailleurs, en même temps qu’elle normalise l’accès à la consommation de biens et services toujours plus nombreux, l’économie d’abondance génère inégalités et exclusion.   Pour y faire face, il est nécessaire de mettre en œuvre un projet de société renouvelé dans lequel l’abondance ne serait plus synonyme d’une accumulation croissante et inégale, mais dans lequel la transition écologique juste serait le projet de chacun.e.   Qu’est-ce que la transition écologique juste ? A quels enjeux répond-elle ? Quelle place pour l’ESS dans sa mise en œuvre ? Pour en savoir plus, nous accueillons aujourd’hui Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) et Florian Laboulais, responsable projets & développement au Labo de l’ESS.   Bonne écoute ! 🎧  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’étude « Réussir une transition écologique juste » dont nous avons dessiné les contours lors du premier épisode de cette série sera publiée ce soir lors d’une restitution nationale. Son objectif ? Analyser les façons dont l’économie sociale et solidaire contribue dès aujourd’hui à une transformation économique et sociétale vers une société juste et durable. Pour cela, le Labo de l’ESS a entrepris une enquête auprès de 25 initiatives de l’ESS. Leur point commun est que leurs actions, aussi diverses soient-elles, comportent à la fois une dimension environnementale et une dimension sociale, notamment parce qu’elles s’adressent en partie ou exclusivement à des personnes en situation de précarité. A partir de la définition d’une transition écologique juste, le Labo de l’ESS a identifié 7 besoins auxquels répondre de façon digne, suffisante et durable : se nourrir, se loger, s’équiper, se cultiver et se divertir, être en bonne santé, travailler et s’engager et se déplacer. Travailler et s’engager soulève des questions d’accès à l’emploi, des conditions de travail, de l’utilité et du sens du travail ainsi que de la place du bénévolat. Pour l’illustrer, nous partons à la rencontre de Perrine Gaudé, directrice du Centre social de Bagatelle. Bonne écoute ! 🎧 Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’utilisation du 49-3 lors du vote de la réforme des retraites cristallise une défiance exacerbée entre les citoyens et citoyennes et les pouvoirs politiques. Les luttes s’expriment dans les rues, les messages se multiplient : la précarité et l’urgence climatique en sont au cœur.    Notre étude « Réussir une transition écologique juste », dont les enseignements ont été dévoilés le 14 mars, souligne que l’ESS permet de répondre à ces enjeux et apporte une réponse systémique à l’injustice sociale et la catastrophe écologique.  Ce lien intrinsèque souligne l’importance de trouver une solution globale et collective ainsi qu’un nouveau récit qui ne serait pas fondé sur la croissance économique ou le consumérisme. L’ESS, par ses innovations sociales, ses modes d’entreprendre, ses valeurs et la coopération entre actrices et acteurs qu’elle promeut, développe ainsi une alternative économique aux inégalités sociales et écologiques.   Faut-il qu’il n’y ait plus de riches pour résoudre le problème environnemental ? Comment penser la transition écologique à l’échelle collective ? Quelles solutions pour rétablir la confiance sociale ? Nous traiterons ces questions et donnerons la parole aujourd’hui à Mathieu Saujot.   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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