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Église VIE - Étude Biblique

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Dans ce premier épisode d'une série d'enseignements bibliques, Clayton explore la question fondamentale : qu'est-ce que l'Église ?
En s'appuyant sur les Écritures, il clarifie d'abord ce que l'Église n'est pas : ni un bâtiment, ni une dénomination, ni une organisation, ni un club religieux, ni le clergé.
Puis il révèle ce qu'elle est vraiment selon le modèle du Nouveau Testament :
Une famille où les relations sont essentielles
Un troupeau guidé par le Bon Berger (avec une explication fascinante sur la différence entre les bergers orientaux et occidentaux)
Une communauté unie par le Saint-Esprit (koinonia)
Le corps du Christ sur terre
L'épouse promise à Jésus
Un édifice de pierres vivantes
Clayton aborde également la différence cruciale entre l'Église universelle et l'Église locale, et explique pourquoi Jésus s'attend à ce que nous appartenions aux deux.
Un enseignement riche et éclairant pour redécouvrir le modèle biblique de l'Église, loin des distorsions modernes.
Thèmes abordés : Ecclésiologie, Église du Nouveau Testament, communion fraternelle, leadership spirituel, vie d'Église
Le message développe deux thèmes principaux : la louange et la confession.
1. Louange
La louange doit être sincère et centrée sur Dieu.
Elle consiste à proclamer les attributs de Dieu (sa bonté, sa force, son salut…), pas à parler de l’homme.
Elle peut s’exprimer par des paroles, chants, instruments, gestes, danses… mais toujours avec intelligence et compréhension.
La louange est souvent collective : elle fait descendre la présence de Dieu au milieu de son peuple.
Elle est une arme spirituelle puissante, que le diable cherche à étouffer pour maintenir les croyants dans la tristesse.
En bref : la louange = proclamer Dieu → entraîne joie, paix, et rapprochement de Lui.
2. Confession
Ce n’est pas seulement confesser un péché : il y a aussi la confession de foi, la confession les uns aux autres (dans le cadre de relations, pas comme absolution), et la confession collective.
La confession du péché est quotidienne (comme la demande de pardon dans le Notre Père).
Elle s’inscrit dans la marche chrétienne :
Justification = sauvé une fois pour toutes par Jésus.
Sanctification = processus continu de confession, repentance et transformation.
Étapes de la confession :
Conviction de péché (reconnaître sa faute sans se victimiser).
Confesser à Dieu clairement (nommer le péché).
Reconnaître que le jugement de Dieu est juste.
Comprendre que le péché est d’abord contre Dieu.
La confession sincère ouvre la voie à la repentance, au pardon et à la guérison spirituelle.
En résumé : la prière implique sincérité et obéissance. La louange proclame qui est Dieu et attire Sa présence. La confession garde le cœur pur et entretient la marche de sanctification.
Le message poursuit une série sur les différentes formes de prière. Après avoir parlé de la prière de demande et de l’intercession, ce deuxième épisode aborde le jeûne et les actions de grâces.
1. Principes de base pour s’adresser à Dieu
Deux conditions essentielles : sincérité et obéissance.
Sans sincérité, la prière ou le jeûne deviennent de simples rites religieux.
Sans obéissance, même un jeûne sincère perd de sa valeur (cf. Ésaïe 58).
2. Le jeûne
Définition : se priver volontairement d’un confort (souvent nourriture/boisson) pour humilier son cœur devant Dieu.
Il doit être lié à un fardeau et accompagné d’une demande précise.
Sans fardeau → régime.
Sans demande → deuil.
Motivations bibliques : intercession (Daniel), repentance (Ninive), préparation à un ministère (Jésus), guerre spirituelle (Marc 9).
Différents types de jeûne : complet (nourriture/boisson), partiel (jeûne de Daniel), sélectif (vin, viande…), relation conjugale (1 Corinthiens 7), ou encore se priver d’un confort (huile, vêtements, sommeil…).
Attitude : discret, humble, guidé par le Saint-Esprit, pour un temps précis.
Danger : le faire par habitude, orgueil ou légalisme → cela perd son sens.
3. Les actions de grâces
Définition : remerciement sincère envers Dieu, reconnaître qu’Il est l’auteur des bénédictions.
Exemples bibliques : Jésus rendant grâces pour le pain, Paul appelant à la reconnaissance (1 Timothée 4, Philippiens 4, Colossiens 4).
Domaines : nourriture, création, salut, protection, réponses aux prières.
Caractéristique : elles s’accompagnent de joie.
Avertissement :
Oublier de remercier conduit à l’ingratitude, voire au péché (ex. les lépreux guéris, seul un revient).
Ne pas remercier Dieu expose au danger spirituel (Deutéronome 8).
On remercie Dieu en tout temps, mais uniquement pour ce qui est selon Sa volonté (pas pour le mal ou le péché).
4. Points clés
Le jeûne est une pratique ponctuelle, guidée par l’Esprit, toujours liée à un fardeau et à une demande.
Les actions de grâces doivent marquer la vie quotidienne du croyant, comme un réflexe spirituel.
Dans les deux cas : sincérité + obéissance = authenticité devant Dieu.
Dans ce premier enseignement d’une série sur la prière, Christophe introduit le sujet en expliquant que la prière est avant tout le fait de s’adresser à Dieu. Elle constitue, avec l’étude de la Parole et la vie d’église, l’un des trois piliers essentiels de la foi chrétienne. Déjà présente dans l’Ancienne Alliance, la prière est une expression de la relation que Dieu veut entretenir avec l’homme.
Il insiste sur la dimension relationnelle et de cœur à cœur : prier n’est pas réciter un texte, mais dialoguer sincèrement avec Dieu dans le respect et la confiance.
Ensuite, il développe les caractéristiques d’une prière de demande :
La sincérité – la prière doit venir du cœur, sans ritualisme ni contrainte.
L’obéissance – demander selon la volonté de Dieu, et non par orgueil ou égoïsme.
La foi – croire que Dieu peut répondre et garder les yeux fixés sur Lui, non sur les difficultés.
La persistance – ne pas abandonner à la première absence de réponse, mais persévérer.
La brièveté – inutile de multiplier les paroles, Dieu sait déjà.
La précision – être clair et spécifique dans ses demandes.
La plaidoirie – rappeler à Dieu ses promesses, son caractère, et plaider sa cause comme Moïse ou Abraham.
Enfin, Christophe aborde l’intercession : prier pour les autres. Elle suppose une réelle compassion, allant jusqu’à porter le fardeau d’autrui, comme Moïse ou Abraham qui se sont interposés entre Dieu et le peuple. Intercéder, c’est se « tenir à la brèche », se mettre à la place des autres, même quand cela paraît insensé ou risqué.
Ce message met en lumière que la prière n’est pas un rituel vide, mais un dialogue vivant, sincère et persévérant avec Dieu, centré sur la relation et la compassion pour autrui.
La rédemption et l’héritage
Cet enseignement porte sur le livre de Ruth, en particulier le chapitre 4, qui traite de la rédemption et de l'héritage. L'orateur analyse en profondeur les personnages et les événements symboliques de ce chapitre, les reliant au sacrifice rédempteur de Jésus-Christ. Il souligne l'importance de rester fidèle à Dieu, de transmettre un héritage spirituel aux générations futures et de rejeter les idoles du monde. L'objectif principal est d'encourager les auditeurs à se consacrer pleinement à Dieu et à accepter le salut offert par Jésus.
Sur le chemin de la redemption
Cet enseignement porte sur le droit de rachat dans l'Ancien Testament, en particulier dans le livre de Ruth. Le droit de rachat permettait à un proche parent de racheter les biens d'un défunt sans héritier, afin de préserver l'héritage au sein de la famille. L'orateur explique en détail les lois entourant ce droit, notamment le jubilé où les terres revenaient à leur propriétaire initial tous les 50 ans. L'histoire de Ruth et Boaz est analysée en profondeur, mettant en parallèle Boaz en tant que 'rédempteur' avec Jésus-Christ qui nous rachète du péché. L'importance de l'humilité et de se soumettre au pied de Jésus pour obtenir la rédemption est soulignée.
La providence de Dieu puis, une histoire de vinaigre
Cet enseignement porte sur l'étude du chapitre 2 du livre de Ruth dans la Bible.
L'orateur présente le nouveau personnage de Boaz et son importance symbolique en tant qu'ancêtre du Messie. Il explique le contexte de pauvreté de Ruth et Naomi, et comment la loi biblique prévoyait des dispositions pour les indigents comme le glanage. L'arrivée de Ruth dans le champ de Boaz est décrite comme une providence divine.
L'orateur analyse ensuite le repas partagé entre Ruth, Boaz et les moissonneurs, y voyant une réalité prophétique du banquet messianique à venir où Juifs et non-Juifs seront réunis. Il souligne l'importance de 'tremper son pain dans le vinaigre', c'est-à-dire d'accepter les souffrances pour obtenir les bénédictions du Royaume de Dieu.
En conclusion, il exhorte à manger le 'pain du royaume' avec les 'souffrances' en attendant le 'festin des noces de l'Agneau' dans les cieux.
Le péché rend désert, mais la repentance fait refleurir
Nous apprenons à connaître Élimelek et ses proches, les choix de cette famille ainsi que les conséquences de ces choix. Nous découvrons ensemble la signification de chaque prénom.Enfin, nous arrivons à la croisée des chemins pour trois veuves : Naomi, Orpa et Ruth. Leur choix sera des plus impactants dans l’histoire entière de la Bible!
L'orateur analyse en profondeur les personnages clés, leurs noms et leurs significations, ainsi que les événements importants de ce chapitre. Il divise le chapitre en quatre parties : 1) S'éloigner de Dieu, 2) Le retour vers Dieu, 3) Ruth la fidèle, et 4) L'arrivée à Bethléem. L'accent est mis sur les choix des personnages d'obéir ou de désobéir à Dieu, et sur les conséquences de ces choix. L'orateur établit des parallèles entre l'histoire de Ruth et la relation entre Dieu, le peuple d'Israël et les non-Juifs (les gentils). Il encourage l'auditoire à s'identifier aux personnages fidèles à Dieu malgré les difficultés.
Dans cet enseignement profond et percutant, Marc explore une vérité souvent mal comprise : la grâce de Dieu est-elle vraiment inconditionnelle ?
À travers l'analyse de plusieurs rencontres bibliques - le brigand sur la croix, le jeune homme riche, le docteur de la loi - cet épisode examine ce que Jésus lui-même enseignait sur le salut et l'obéissance. En s'appuyant sur le Sermon sur la montagne et les écrits des apôtres, Marc démontre que la foi authentique s'accompagne toujours d'une transformation de vie et d'une obéissance à Dieu.
Cet enseignement met en lumière la différence entre la véritable grâce biblique et les faux enseignements qui en font une "licence pour pécher". Il rappelle que notre salut, bien que gratuit par le sacrifice de Jésus, appelle à une réponse active : la repentance, la foi obéissante, et une vie transformée par le Saint-Esprit.
Un message essentiel pour tous ceux qui cherchent à comprendre l'Évangile authentique et à marcher sur le chemin étroit que Christ a tracé pour nous.
Versets clés : Matthieu 5-7, Romains 2:6-10, Philippiens 2:12, Apocalypse 3:5
Dans ce message tiré de Jacques 4:7-10, Christophe explore en profondeur ce que signifie réellement "résister au diable". À travers une analyse approfondie du texte grec et des images bibliques comme l'armure du chrétien, il révèle que nous sommes appelés à une posture défensive plutôt qu'offensive face au mal.
Le message examine la chronologie spirituelle essentielle : se soumettre d'abord à Dieu, puis résister au mal, s'approcher de Lui, veiller sur nos actions et pensées, et finalement s'humilier devant le Seigneur. Christophe souligne que la véritable bataille se joue souvent à l'intérieur de nous-mêmes, face à nos tentations et notre nature.
Avec des exemples concrets et des métaphores percutantes (le bouclier romain, le système immunitaire), ce message nous rappelle que le diable est déjà vaincu par Christ et que notre rôle est de tenir ferme dans la foi, protégés par notre communauté et l'armure de Dieu.
Un message encourageant sur la sanctification quotidienne et les promesses certaines de Dieu pour ceux qui s'humilient devant Lui.
Dans cet épisode, Kat nous conduit dans une lecture et une méditation autour de Romains 15. En revenant au contexte de la lettre de Paul à l’église de Rome, elle souligne les tensions entre Juifs messianiques et non-Juifs, et montre comment Paul appelle à l’unité, à l’accueil mutuel et à la persévérance dans la foi.
À travers une approche structurée autour des « 11 P de Romains 15 » (plaire, prochain, Parole, persévérance, plein accord, Père, prouvé, promesses, parmi les nations, paix et puissance), Kat développe les thèmes centraux du passage :
Vivre pour édifier les autres plutôt que chercher son propre plaisir.
Trouver instruction, réconfort et espérance dans les Écritures.
Marcher dans la persévérance et l’unité malgré les différences culturelles ou religieuses.
Reconnaître que Jésus accomplit les promesses de Dieu, confirmant sa fidélité.
Célébrer ensemble, Juifs et non-Juifs, la gloire de Dieu parmi toutes les nations.
Recevoir paix et joie dans la foi par la puissance du Saint-Esprit.
Un temps de retour à l’essentiel, qui encourage à se laisser transformer par la Parole, à vivre l’unité de l’Église et à garder l’espérance vivante en Christ.
Dans cette prédication, nous explorons le thème du courage chrétien et comment l’envisager pour l’avenir. En nous appuyant sur 1 Corinthiens 16:13, nous définissons le courage comme la qualité qui permet d’activer notre foi et de la mettre en action. Sans courage, notre foi risque de rester un simple catalogue de croyances. Le courage est le muscle qui la fait agir. À travers plusieurs passages bibliques, notamment du Deutéronome et de Josué, nous voyons comment Dieu encourage constamment son peuple à être courageux face aux défis.Je partage également une expérience personnelle de 40 ans de mariage, témoignant comment Dieu nous a guidés, mon épouse et moi, à travers diverses épreuves.Nous soulignons enfin l’importance de l’encouragement mutuel dans l’Église, et rappelons que le courage se développe progressivement, avec l’aide de Dieu et le soutien de la communauté. Le message se termine par un appel à rester vigilant, à tenir ferme dans la foi, à être courageux et à se fortifier dans notre relation avec Dieu.
Introduction au thème du courage
Nous commençons par annoncer le sujet : le courage, et plus précisément comment envisager l’avenir avec courage. Nous citons 1 Corinthiens 16:13 qui exhorte à rester vigilant, tenir ferme dans la foi, être courageux et se fortifier. Nous établissons un lien avec un message précédent sur l’importance de tenir ferme, en soulignant que cela demande du courage.
Définition du courage dans la foi chrétienne
Nous définissons le courage comme une qualité qui permet d’avancer avec une volonté d’agir dans l’obéissance à Dieu, en comptant sur sa force. Le courage est le muscle qui fait agir la foi. Sans lui, la foi reste passive. Nous explorons les synonymes du mot courage : bravoure, force d’âme, audace, cran… ainsi que ceux de “donner du courage à” : affermir, encourager, remonter.
La foi sans œuvres est morte
Nous rappelons Jacques 2:26 : la foi sans œuvres est morte, comme un corps sans esprit. Par extension, une Église sans esprit de courage peut être inerte. Nous insistons sur le fait que croire ne suffit pas : il faut aussi agir selon nos convictions. Nous interrogeons nos propres croyances pour voir si elles se traduisent en actes.
Le besoin de courage face à l’avenir
Nous exprimons notre désir de ne pas être faibles ou lâches face aux difficultés, mais de tenir bon avec courage. Il est naturel d’être découragé, mais Dieu peut renouveler notre vision. Nous reconnaissons le combat intérieur entre nos pensées naturelles et l’Esprit de Jésus en nous.
Leçons de courage du peuple d’Israël
Nous méditons sur Deutéronome 1 : les Israélites, après 40 ans, sont appelés à entrer dans la Terre Promise. Dieu les encourage à ne pas craindre. Malgré cela, ils doutent. Nous voyons dans ces passages (et dans Josué 1:9) que Dieu ordonne avec insistance à son peuple d’être fort et courageux.
La promesse de la présence de Dieu
En Deutéronome 7:21, Dieu dit : “Ne tremble pas, car je suis au milieu de toi”. Nous relevons quatre aspects : l’appel à ne pas craindre, la promesse de sa présence, sa puissance, et sa victoire. Mais nous avons aussi notre part : combattre nos pensées négatives, aligner nos actes avec notre foi.
Le processus progressif du courage
Nous notons que Dieu promet de chasser les nations “peu à peu”. Le courage grandit progressivement.Je partage ici mon propre chemin : presque 40 ans de mariage, avec des épreuves traversées grâce à Dieu — finances, santé, attaques spirituelles. Dieu nous a guidés, mon époux et moi, pas à pas. J’affirme ma confiance qu’il ne nous abandonnera jamais, tout en...
Dans cette prédication, Christophe aborde le concept d’édification dans la foi chrétienne. Il commence par souligner un paradoxe biblique : la foi est à la fois personnelle (entre l’individu et Dieu) et communautaire (nécessitant des interactions entre croyants). Christophe explique que l’édification, terme issu du domaine de la construction, est utilisé par Jésus et Paul pour décrire la croissance spirituelle individuelle et collective. Il analyse comment l’édification nécessite trois éléments essentiels : un lien avec Christ, l’appartenance à un groupe, et des échanges mutuels. Christophe souligne que l’édification mutuelle est nécessaire pour surmonter les divisions naturelles entre humains, et que cette édification doit être guidée par le Saint-Esprit et motivée par l’amour plutôt que par la connaissance seule, qui peut rendre orgueilleux. Il conclut en affirmant que la vie chrétienne implique nécessairement des relations avec d’autres croyants, non par tradition ou obligation, mais par nécessité spirituelle.
Introduction au paradoxe de la foi personnelle et communautaire – 00:00:07
Christophe commence par présenter un paradoxe biblique : la foi est quelque chose de personnel entre l’individu et Dieu, mais la Bible parle aussi beaucoup de la nécessité d’être ensemble. Il cite 1 Thessaloniciens 5:11 où Paul dit « encouragez-vous les uns les autres et édifiez-vous mutuellement ». Il explique que ce n’est pas simplement par tradition ou par commandement que les chrétiens se réunissent, mais par nécessité. Christophe souligne que lors du jugement, chacun sera seul face à Dieu, mais qu’il existe néanmoins une nécessité d’être en groupe, et que l’édification est ce qui résume cette nécessité.
Définition et origine du terme ‘édification’ – 00:04:12
Christophe explique que pour un chrétien, l’édification représente tout ce qui aide à grandir dans la foi. Mais il précise que le terme vient du domaine de la construction (édifier, bâtir). Il montre comment Jésus utilise souvent ce vocabulaire dans ses enseignements : quand il dit à Pierre « je bâtirai mon Église », dans la parabole du sage qui construit sa maison sur le roc, dans la parabole de la tour avec la vigne, quand il parle de détruire et rebâtir le temple en trois jours, ou encore quand il évoque la pierre rejetée par les bâtisseurs. Christophe souligne que ce même mot est utilisé pour décrire à la fois la foi individuelle et la foi collective.
Les trois composantes de l’édification – 00:09:31
Christophe identifie trois éléments nécessaires à l’édification : un lien avec Jésus (l’édification nécessite d’avoir Christ comme point commun), l’appartenance à un groupe (on ne peut pas s’édifier les uns les autres tout seul), et des échanges mutuels (Dieu ne veut pas des disciples côte à côte, chacun pour soi, mais des disciples qui travaillent ensemble). Il explique que s’édifier, c’est s’occuper les uns des autres en Christ ou avec Christ. Christophe questionne pourquoi Paul insiste sur « les uns les autres » plutôt que simplement sur le lien avec Christ, et suggère que c’est parce que les relations humaines sont naturellement sujettes aux divisions.
La nécessité de l’édification face aux divisions – 00:11:33
Christophe explique que l’édification est particulièrement nécessaire parce que les groupes huma...
Discussion théologique approfondie sur le respect du temple et du culte divin, articulée autour de deux histoires bibliques principales. La première histoire concerne le roi Achaz qui, après avoir vu un autel en Assyrie, décide d'en faire construire une copie dans le temple de Jérusalem, déplaçant l'autel original. Cette action représente une dérive progressive vers le compromis spirituel. La seconde histoire traite de Jésus chassant les marchands du temple, soulignant l'importance de maintenir la sainteté du lieu de culte. Le message principal souligne le danger de mélanger les pratiques mondaines avec le culte divin et l'importance de maintenir la pureté dans l'approche de Dieu.
Chapters
(00:00:00) - Introduction(00:01:13) - L'histoire du roi Achaz et l'autel assyrien(00:12:06) - ésus au temple et la maison de prière(00:21:09) - Applications contemporaines et conclusion
La vidéo couvre une introduction détaillée au livre de l'Apocalypse. Le présentateur explique que le but principal du livre est de montrer que Jésus triomphe à la fin et d'encourager les croyants à persévérer dans leur foi. Il aborde l'origine du mot 'Apocalypse', qui signifie 'révélation', et explique les quatre systèmes d'interprétation principaux : le prétérisme, l'historicisme, le futurisme et l'idéalisme. Le présentateur souligne l'importance de la structure littéraire du livre, notamment les parallélismes et les chiasmes, et discute des trois séries de fléaux (sceaux, trompettes, coupes) et des différentes interprétations de leur chronologie.
Introduction et objectif principal du livre de l'Apocalypse
Le présentateur commence par expliquer que le but est de donner envie de lire l'Apocalypse et de fournir des clés pour l'étudier. Il rappelle le message central précédemment partagé par Caz : à la fin, Jésus gagne.
Origine et signification du terme 'Apocalypse'
Explication de l'origine du mot 'Apocalypse', qui est simplement le premier mot du texte, signifiant 'révélation' ou 'dévoilement'. Comparaison avec d'autres livres bibliques comme la Genèse.
Les systèmes d'interprétation de l'Apocalypse
Présentation des quatre approches principales : le prétérisme (passé), l'historicisme (présent), le futurisme (futur) et l'idéalisme (spirituel). Discussion des forces et faiblesses de chaque approche.
Structure littéraire et style
Analyse des styles littéraires utilisés dans l'Apocalypse, notamment les parallélismes et les chiasmes. Explication détaillée de la structure du livre avec des exemples concrets.
Les séries de fléaux et leur interprétation
Discussion des trois séries de fléaux (sceaux, trompettes, coupes) et des différentes théories sur leur chronologie : linéaire, simultanée ou superposée.
Conclusion et application pratique
Rappel de l'importance de se concentrer sur le message central de persévérance et de préparation, plutôt que de se perdre dans les détails prophétiques. Encouragement à reconnaître les signes des temps et à rester fidèle.
Chapters
(00:00:00) - Introduction et signification du terme 'Apocalypse'(00:01:18) - Le message central de l'Apocalypse(00:12:54) - Les systèmes d'interprétation(00:18:28) - Structure littéraire et symbolisme(00:29:41) - Application pratique et actualité
Ce podcast couvre une discussion approfondie sur le ‘McChristianisme’, un terme utilisé pour décrire le christianisme de consommation dans le monde occidental. L’orateur commence par une lecture de Marc 8:35 et explore comment le consumérisme est devenu la plus grande menace idéologique pour l’église occidentale. Il établit un parallèle entre ce phénomène et McDonald’s, illustrant comment certains chrétiens traitent leur foi comme un menu à la carte. Le message met en contraste deux types de chrétiens : le ‘consommateur’ qui cherche à satisfaire ses propres désirs, et le ‘producteur’ qui se consacre au service de Dieu et des autres. La présentation se termine par une histoire poignante sur le Sadhu Tsumar Singh, illustrant le principe biblique de perdre sa vie pour la sauver.
Introduction et Lecture Biblique
L’orateur commence par la lecture de Marc 8:34-35, établissant le fondement biblique de la discussion sur le renoncement à soi-même et le fait de suivre Christ.
La Menace du Consumérisme dans l’Église
Identification du consumérisme comme la plus grande menace idéologique pour l’église occidentale, expliquant comment cette vision du monde considère la vie en termes de shopping et de consommation.
Le Parallèle avec McDonald’s
Analyse détaillée de la comparaison entre le christianisme de consommation et le modèle commercial de McDonald’s, soulignant les similitudes dans l’approche du service client et la satisfaction immédiate.
Caractéristiques du Chrétien Consommateur
Liste détaillée des traits caractéristiques du ‘McChrétien’, incluant la recherche de choix multiples, l’individualisme, et le manque d’engagement profond.
Le Christianisme Producteur
Présentation du contraste avec le chrétien producteur, qui se concentre sur le don de soi et le service aux autres, illustré par l’histoire du Sadhu Tsumar Singh.
Conclusion et Appel à l’Action
Appel final à l’examen de conscience et à la réflexion sur notre engagement envers Dieu et Son œuvre, posant la question cruciale de notre volonté à servir même quand cela ne correspond pas à nos désirs.
Ce podcast couvre une réflexion sur le livre de l'Apocalypse, pouvant souvent être perçu comme effrayant et incompréhensible. Grâce à l'enseignement de David Pawson, Caz a redécouvert ce livre sous un nouveau jour. Elle explique comment l'Apocalypse était destinée aux églises persécutées et reste pertinente pour l'église contemporaine. Elle se concentre particulièrement sur l'église de Laodicée, utilisant son contexte historique pour illustrer les messages de Jésus à l'église moderne, notamment concernant la tiédeur spirituelle et le besoin de renouveau.
Parties
La redécouverte de l'Apocalypse
Caz partage son parcours initial de peur et d'incompréhension face au livre de l'Apocalypse, puis sa transformation grâce à l'enseignement de David Pawson. Elle décrit comment une nouvelle approche de lecture à voix haute lui a permis de mieux comprendre le texte.
L'histoire du gardien et la simplicité du message
Une anecdote est partagée sur des étudiants en théologie et un gardien lisant l'Apocalypse. Le gardien résume simplement le message : 'Jésus gagne', illustrant que le livre est accessible à tous.
Structure et but de l'Apocalypse
Analyse de la structure du livre, commençant par une bénédiction et se terminant par une malédiction. Le texte est présenté comme une lettre de Jésus Christ, transmise à travers une chaîne de communication divine.
L'église de Laodicée et son contexte historique
Étude détaillée de l'église de Laodicée, incluant son contexte géographique et culturel. Le message de Jésus à cette église est analysé en relation avec ses caractéristiques locales : l'eau tiède, la richesse textile, et la production de collyres.
Application pour l'église contemporaine
Réflexion sur les parallèles entre l'église de Laodicée et l'église occidentale moderne, particulièrement concernant la tiédeur spirituelle et le besoin de préparation face aux persécutions futures.
Ce podcast propose une analyse détaillée du livre biblique d’Esther. L’histoire se déroule environ 475 ans avant Jésus-Christ, dans l’Empire perse. Elle débute avec le roi Xerxès, qui organise un grand banquet de 180 jours suivi d’une fête de 7 jours. Après le refus de la reine Vasti de se présenter devant le roi, celle-ci est déchue. Esther, une jeune femme juive, devient la nouvelle reine sans révéler son identité juive. L’intrigue culmine avec le complot d’Aman pour exterminer les Juifs et la manière dont Esther, guidée par son cousin Mardochée, intervient pour sauver son peuple au péril de sa vie. Cinq points principaux émergent de cette analyse : l’importance d’avoir de bons conseillers, la nécessité de ne pas compter sur une position terrestre pour être sauvé, le fait d’être indispensable mais pas irremplaçable, le rôle stratégique joué dans un moment précis, et l’importance d’accompagner la foi par l’action.
Parties
Introduction et Contexte Historique
Le livre d’Esther se situe environ 475 ans avant Jésus-Christ, dans l’Empire perse. Le contexte historique est marqué par le retour de certains Juifs après l’exil babylonien, tandis que d’autres choisissent de rester dans l’Empire en raison de sa prospérité. Le roi Xerxès organise un banquet de 180 jours suivi d’une fête de 7 jours, destinés à montrer sa puissance.
La Chute de Vasti et l’Ascension d’Esther
Après le refus de la reine Vasti de se présenter au banquet, elle perd son titre de reine. Un concours est ensuite organisé pour choisir une nouvelle reine. Esther, une jeune femme juive adoptée par son cousin Mardochée, est désignée comme nouvelle reine sans révéler qu’elle est juive.
Le Complot d’Aman et l’Intervention d’Esther
Aman, nommé premier ministre, planifie l’extermination des Juifs après que Mardochée a refusé de se prosterner devant lui. Esther, encouragée par Mardochée, prend un grand risque en se présentant devant le roi sans convocation pour plaider la cause de son peuple.
Les Cinq Points de Réflexion
Cinq enseignements peuvent être tirés de cette analyse :
1.L’importance d’avoir de bons conseillers.
2.La nécessité de ne pas se reposer sur une position terrestre pour être sauvé.
3.La reconnaissance que chaque individu est indispensable mais pas irremplaçable.
4.La capacité à discerner un rôle stratégique joué dans un moment précis.
5.L’importance d’accompagner la foi par l’action.
Cet enseignement couvre une analyse approfondie de Matthieu 10:28, explorant la nature tripartite de l'être humain (corps, âme et esprit). Nous verrons en détail comment ces trois composantes interagissent, avec un accent particulier sur la distinction entre la marche par l'esprit et la marche par la chair. Nous examinerons également la signification profonde de l'avertissement de Jésus concernant ceux qui peuvent tuer le corps mais pas l'âme, et développe une interprétation nuancée de ce que signifie 'faire périr l'âme et le corps en enfer'.
Introduction et contexte du verset de Matthieu 10:28
L'enseignant introduit le passage de Matthieu 10, se concentrant sur le verset 28 où Jésus s'adresse à ses disciples. Il souligne l'importance de comprendre le contexte et la terminologie utilisée dans ce passage.
La nature tripartite de l'être humain
Explication détaillée des trois composantes de l'être humain : le corps (soma), l'âme (psuché) et l'esprit (pneuma). Nous verrons comment ces trois éléments interagissent et leur rôle spécifique dans notre existence.
Le rôle du corps et des sens
Description des neuf sens du corps (les cinq traditionnels plus quatre autres), et comment le corps interagit avec le monde extérieur. Explication de la façon dont le corps est lié à la terre et à notre existence physique.
L'âme et ses fonctions
Analyse approfondie du rôle de l'âme comme centre de la personnalité, expliquant comment elle fait le lien entre le corps et l'esprit, et comment elle gère nos émotions, nos pensées et nos souvenirs.
La marche par l'esprit versus la marche par la chair
Discussion sur l'importance de la marche par l'esprit plutôt que par la chair, expliquant les conséquences de chaque choix sur notre vie spirituelle et notre bien-être général.
Avertissement final et application pratique
Conclusion sur l'importance de veiller sur notre âme et explication pratique de comment vivre selon l'esprit tout en respectant l'équilibre entre corps, âme et esprit que Dieu a établi.
Dans cette leçon, nous explorons le thème des richesses de la grâce divine, en nous concentrant particulièrement sur Éphésiens chapitre 1.
L’approche des Écritures comme une galerie d’art
Nous comparons notre lecture des Écritures à la visite d’une galerie d’art. Nous expliquons comment certains visiteurs se contentent de regarder superficiellement les œuvres sans en comprendre la profondeur, similaire à la façon dont certains lisent la Bible sans vraiment méditer sur son contenu.
Les richesses de la grâce divine
Nous développons le concept des ‘richesses de la grâce’ en explorant Éphésiens 1. Nous soulignons que ces richesses se manifestent à travers le sang de Christ, la délivrance, et le pardon des péchés. Nous insistons sur le caractère infini de ces richesses qui continuent même dans l’éternité.
L’expérience personnelle de Paul
Nous utilisons l’exemple de Paul, qui est passé de persécuteur à apôtre, pour illustrer la puissance transformatrice de la grâce divine. Cette transformation personnelle sert d’exemple concret des richesses de la grâce de Dieu.
L’invitation à découvrir les richesses
Nous concluons avec une invitation basée sur Esaïe 55:1, encourageant les auditeurs à venir ‘boire’ et à expérimenter personnellement les richesses de la grâce divine, soulignant que ces richesses sont gratuites et accessibles à tous.