Dans cet épisode de "Ne me cassez pas le peigne,"

Julie Verrons nous ouvre les portes de son univers capillaire avec une touche d'humour et une grande dose de sincérité. Elle commence par partager une mésaventure technique qui l'empêche de mettre de la musique en fond, mais rassurez-vous, elle est bien déterminée à régler ce petit souci. "Ce n'est pas grave, ce n'est pas grave, ce n'est pas grave," répète-t-elle avec un sourire dans la voix, avant de plonger dans le vif du sujet.

Julie raconte comment ses parents avaient honte de sa carrière de coiffeuse, pensant que c'était un métier pour les personnes sans éducation. Elle se souvient de ses débuts à 17 ans, décidée à obtenir son indépendance financière, et critique les stéréotypes de l'époque, où les coiffeuses étaient soit vues comme des femmes peu intelligentes et sexualisées, soit comme des hommes gays. Elle nous fait rire en racontant comment elle-même voyait la coiffeuse comme une "cagole" à l'époque.

Elle introduit ensuite son concept de "poisson pané" pour décrire les coiffeuses qui tirent la profession vers le bas, celles qui pratiquent des prix ridiculement bas et se victimisent sur Facebook. Julie ne mâche pas ses mots et nous fait rire avec son franc-parler : "Ginette claquette, si tu veux faire ta coupe à 10 balles et ne pas te payer, c'est ton problème."

Mais Julie ne s'arrête pas là. Elle met en lumière les femmes qui, selon elle, représentent l'avenir des salons de coiffure : celles dotées d'un haut potentiel intellectuel. Elle explique que ce potentiel ne se résume pas à une intelligence académique, mais à la capacité de prendre des décisions rapidement, de ne pas être gouvernée par la peur, et de toujours chercher à se former et à évoluer. Julie se reconnaît dans ce profil et partage comment son approche méthodique et sa persévérance ont conduit à son succès.

Elle critique également les groupes Facebook de coiffeurs, qu'elle considère comme des lieux de plainte et de jalousie, préférant les réseaux comme Instagram, où elle trouve des professionnels de qualité. Julie encourage les coiffeuses à se former, à ne pas avoir peur d'investir dans leur business et à viser toujours plus haut.

En conclusion, Julie appelle à un changement de mentalité dans la profession. Elle insiste sur l'importance de reconnaître et de valoriser son propre potentiel, d'investir dans des formations de qualité, et de ne pas se laisser freiner par les opinions des autres. Pour Julie, les salons de coiffure sont une mine d'or pour ceux qui savent en exploiter toutes les opportunités. Elle termine en rappelant aux coiffeuses de ne pas se contenter de la médiocrité et de toujours viser l'excellence dans leur carrière.

Alors, chers auditeurs, si vous en avez marre des clichés et des plaintes, et que vous voulez vraiment booster votre business de coiffeuse, cet épisode est fait pour vous ! Julie est là pour vous inspirer, vous motiver et vous faire rire en chemin. Ne manquez pas ce rendez-vous !

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