Electro-choc techno punk avec «Woof», premier album des Britanniques de Fat Dog
Description
Le mélange de techno et de punk des Londoniens, couplé à des textes corrosifs sur un monde en décomposition, fait des ravages sur Woof, album de neuf titres mordants. Fat Dog – « gros chien » en français – n’a qu’une mission : faire trembler le sol et bouger la tête jusqu’au torticolis.
Le quintette anglais formé en 2020 a très vite attiré l’attention grâce à quelques chansons de rock débraillé, écrites dans les toilettes d’un pub. Et surtout une redoutable réputation scénique entretenue depuis ses débuts au Windmil, bar de tacos à Londres qui a lancé les rockeurs Fat White Familly et Shame.
Depuis l’année dernière, les performances explosives de Fat Dog font le buzz dans les festivals du monde entier. Il faut dire que par le passé, l’Angleterre a accouché quelques agitateurs notoires de la fusion de musique électronique et de rythmes cataclysmiques comme les groupes, The Prodigy, Klaxons, sans oublier les pionniers Happy Mondays, à la fin des années 80.
Fat Dog s’inscrit dans cette lignée de troublions avec des morceaux où se croisent rave, Vangelis, fanfares et même klezmer, musique traditionnelle ashkénaze festive.
Pour ce premier projet Woof, Fat Dog a fait appel a l’incontournable producteur anglais, James Ford qui a aussi produit les célèbres, Depeche Mode ou Arctic Monkeys et plus récemment, Fontaines DC. Avec cet album mille-feuille, il s’autorise des couches de combinaisons expérimentales, à l’extrême opposé des modes du rock’n’roll actuel.
Une cacophonie génialement maitrisée par Fat Dog. Ce canin croisé est incontestablement l’ovni de cet automne.
Fat Dog se produit le 4 octobre 2024 au Petit Bain à Paris