JGMNP#45 - La Voix (Dans Le Jeu Vidéo) Est Libre
Description
Incarnation d’une certaine idée du futur du jeu vidéo, celui des Full Motion Video dans les années 90, les voix font aujourd’hui partie de notre quotidien vidéoludique. Depuis une quinzaine d’années, il arrive même que des acteurs célèbres prêtent leurs voix à des personnages, soient modélisés et livrent une “performance” pour un jeu : Kevin Spacey pour Call of Duty: Infinite Warfare, Jean Réno pour Onimusha 3 ou Kiefer Sutherland pour Metal Gear Solid 5.
Comment peut-on mettre à profit les voix dans le jeu vidéo ? Peuvent-elles avoir une autre fonction que d’apporter plus de réalisme ou de crédit à une production ? L’émission sera divisée en trois parties. Dans un premier temps, on s’attardera sur les doublages. Puis, nous nous focaliserons sur des titres où le doublage est intimement lié au gameplay, voire le seul point d’entrée dans l’interactivité. Enfin, nous conclurons ce podcast en revenant sur les jeux qui nous paraissent les plus marquants de ce point de vue, la voix devenant un élément indispensable à la narration, ou permet de faire exister des personnages à elle seule.
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Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.
Jingles utilisés : Gustavo Santaolalla - Smugglers (The Last of Us), Extrait du doublage français de Binary Domain, Darren Korb - The Pantheon (Ain't Gonna Catch You) ; (Bastion), A Thief's End - Henry Jackman (Uncharted 4: A Thief's End)
Générique de fin : Garry Schyman - Welcome to Rapture (Bioshock)
Illustration : Portal 2 © Valve