😁Les possibles du lundi ! 

🍿Nouvelle série d’épisodes ultra courts, les possibles du lundi ! 

Les possibles du lundi, c’est un peu comme mes stories caféinées du matin, une ouverture heureuse et joyeuse, une petite intention déposée pour vous pour bien commencer la semaine. J’aime l’idée d’un rendez-vous régulier, mais sachez que je ne me fixe aucune fréquence ni aucune obligation, pour le bien de ma santé mentale. 

Pour aujourd’hui, je voudrais que vous portiez votre attention 2 minutes sur un mantra d’autocompassion, que j’ai découvert ce weekend en lisant le bouquin de Kristin Neff

(voir le fameux livre) . 

Ce mantra aide à faire face aux émotions désagréables, inconfortables, douloureuses.

Ces mêmes émotions qui font que l’on rumine sans s’arrêter ou que l’on « mange », justement pour ne pas être en lien trop direct avec ce qui cause l’inconfort. 

Ces phrases sont plutôt courtes à mémoriser et elles abordent les 3 aspects de l’autocompassion. 

La première phrase permet de se rendre compte qu’on souffre. C’est bête à dire, mais vu notre société de l’individu en tant qu’outil au service de la performance, parfois, on souffre et on se dit que ce n’est pas important. 

La deuxième phrase nous rappelle que l’imperfection est une composante de la condition humaine, c’est qqch que l’on partage tous. Donc, déjà, ce n’est pas qqch à combattre, mais qqch de normal et de naturel, d’autant plus que nous ne sommes pas les seuls à l’expérimenter. 

La troisième phrase prouve qu’on est concerné parce qu’il nous arrive et qu’on aimerait prendre soin de soi quand ça tangue un peu fort. 

La dernière quant-à-elle, et bien, c’est affirmer l’intention de pratique l’autocompassion. Cela nous rappelle qu’on est digne de la recevoir. 

Sentez-vous libre d’écarter certains termes de ce mantra s’ils ne vous parlent pas. Vous pouvez le raccourcir ou l’allonger, le façonner pour qu’il marche bien pour vous.

Voilà, vous me connaissez, maintenant, les histoires de mantra, ce n’est pas se persuader façon méthode Cauet, C’est plutôt de savoir mieux utiliser nos émotions, ces courants d’ondes plus ou moins agréables, lorsqu’ils se présentent à nous. En être conscient, sans en être otage, donc, pouvoir dire avec le cœur que même si on éprouve de la tristesse, de l’ennui, de la colère cette semaine, on se souhaite d’être à nos côtés et de pouvoir traverser ce moment de manière + stable. 

Voilà, souvenez-vous, tout est possible. Tout est possible. 

✌️Episodes en lien : 

- DLP 51 :  "Cessez de manger vos émotions" 

- DLP relax : cesser de manger ses émotions, sans lutter 

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