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La 61ème édition de l'émission Cinéma m'était conté permet de lancer un nouveau cycle afin de mettre en valeur le cinéma français des années 70.

Le cinéma des années 70 observe la vie et décline le quotidien des Français. Place aux crises au sein de la famille et du couple, mais aussi aux problèmes sociaux notamment le chômage ou l´identité culturelle. Claude Sautet (Les Choses de la vie, Max et les ferrailleurs, César et Rosalie, Vincent, Paul et les autres) et Bertrand Tavernier (Le Juge et l´assasin, l´Horloger de Saint Paul) illustrent bien cette tendance. Le star-système revient également en force et les spectateurs ne se lassent pas de voir Romy Schneider, Catherine Deneuve, Alain Delon, Jean-Paul Belmondo ou Yves Montand sur petit ou grand écran...

Cette 61ème émission est animée par Christophe Dordain.

Elle est structurée de la façon suivante :

Ouverture : Le vieux fusil de Robert Enrico (musique de François de Roubaix).

Louis de Funès, star des années 70 : L'homme-orchestre de Serge Korber (musique de François de Roubaix) et La folie des grandeurs de Gérard Oury (musique composée par Michel Polnareff).

L'amitié sur grand écran : Les amis de Gérard Blain (musique de François de Roubaix) et De la part des copains de Terence Young (musique de Michel Magne).

Eternelle Jane Birkin : Don Juan 73 de Roger Vadim (musique de Michel Magne) et Je t'aime moi non plus (musique de Serge Gainsbourg).

Les années Alain Delon : Borsalino et Borsalino and Co (musique de Claude Bolling).

Conclusion avec le cinéma de Jean-Pierre Melville : Le cercle rouge (musique de Eric Demarsan).

Cinéma m'était conté reviendra le 14 décembre 2024 avec une seconde émission consacrée au cinéma français des années 70.

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