DiscoverLa TribuneUEF 2024 : Résister, ça sert à quoi ?
UEF 2024 : Résister, ça sert à quoi ?

UEF 2024 : Résister, ça sert à quoi ?

Update: 2024-10-22
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Description

Avec :


Hamida AMAN


Cynthia FLEURY


Najah ALBUKAÏ


Il est l’un des plus beaux mots de la langue française, de ceux grâce auxquels on forge une identité, on honore une conviction, on convertit une promesse, on embaume sa dignité, et même on accomplit une raison de vivre. Résister contre un pays ennemi, un régime politique liberticide, un parti extrémiste, mais aussi une stratégie d’entreprise néfaste, un comportement délétère, une idée ravageuse, un projet de société hostile… les raisons de résister contre sont infinies. Et celles de résister pour ? Font-elles appel aux mêmes ressorts personnels et collectifs ? Grandissent-elles et rassemblent-elles de manière équivalente ? Résister, oui. Toujours dans le but de « construire quelque chose » ? Tous trois sont des témoins de résistance, chacun à sa manière : Cynthia Fleury, psychanalyste et philosophe, est professeure titulaire de la chaire « Humanité et santé » du CNAM ; Hamida Aman, journaliste et entrepreneure afghane, est directrice de la Begum Organization for Women (BOW) basée à Kaboul et a fondé Radio Begum, « une radio par et pour les femmes afghanes » ; Najah Albukaï, est artiste peintre, réfugié en France après avoir fui la Syrie et les geôles du régime de de Bachar al-Assad. Tous déterminés à raconter les trésors du verbe résister. Najah Albukaï produira un dessin en direct, pendant le débat.

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