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Plus verte la vie

Author: La Nouvelle République

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Description

Plus verte la vie est un podcast de La Nouvelle République (https://www.lanouvellerepublique.fr/) et Centre-Presse (https://www.centre-presse.fr/).  

Le réchauffement climatique n'est plus à démontrer. Par volonté ou par contrainte, les habitants de nos territoires doivent s'adapter. 
Dans ce podcast, nous avons pris le parti d'aller à la rencontre de celles et ceux qui ont changé leurs habitudes de vie. Que ce soit au quotidien ou au travail, de manière douce ou plus radicale, ils ont fait leur transition écologique. 
Chacun propose ses réponses à l'urgence climatique.
Pour une vie plus verte demain, sur la planète.

Retrouvez les dernières actualités sur le climat en Centre-Val de Loire et dans le Poitou sur notre site : https://www.lanouvellerepublique.fr/environnement 

Retrouvez un nouvel épisode tous les mardis à 17h.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
74 Episodes
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Naveil, commune de 2.430 âmes située à 6 km de Vendôme en Loir-et-Cher, a été l’une des premières en France à créer une instance municipale destinée aux enfants ou aux jeunes. C’était il y a… 31 ans !« Le conseil municipal des jeunes de Naveil a été créé en 1994, sous l’impulsion du maire de l’époque, Louis Fisseau », relate la maire Magali Marty-Royer, élue en 2020. Depuis, « il n’y a eu aucune interruption ».Ce conseil composé de huit jeunes scolarisés à l’école élémentaire de Naveil – quatre CM1 et quatre CM2 (Léna, Maxens, William et Élise).Basé sur le même principe que pour des élections municipales, chaque candidat doit fournir un acte de candidature et une profession de foi. La campagne électorale est organisée au sein de l’école de Naveil, tout comme les élections.Lors de la mise en place, le CMJN élit en son sein un maire et deux adjoints (un élève de CM1 et un élève de CM2). Chaque année, des élections ont lieu pour accueillir des élus du CM1 et à cette occasion élire un nouveau maire et ses deux adjoints. À ce titre, Maxens est le 31e maire du conseil municipal des jeunes de Naveil.Le CMJN se réunit en moyenne une fois par mois, discute de projets qu’il essaie de mener à terme.Et la maire est formelle : les projets environnementaux occupent une place de plus en plus importante. « Aujourd’hui, explique Magali Marty-Royer, ils parlent spontanément d’écologie, parce que leurs parents appartiennent à une génération qui a été sensibilisée. Il y a une vraie prise de conscience des enfants. »Des actions concrètesLa plantation d’arbres, des sorties « nettoyage de la nature », la construction de ruches à abeilles, de cabanes à oiseaux sont des exemples de dossiers concrétisés par ce conseil municipal des jeunes.Mais cela ne s’arrête pas là : à Naveil, une véritable politique antigaspillage est mise en place, avec la vente, aux familles, de paniers repas 3 € avec ses denrées non consommées à la cantine. Toujours à la cantine, une fois par semaine est servi un menu végétarien.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si on se débarrassait des objets superflus qui nous appartiennent pour ne plus appartenir à ses objets ? C'est de cette envie d'une vie plus minimaliste, plus sobre, et d'un besoin de se reconnecter à la nature que Mélanie, Thomas et leurs deux filles ont cheminer vers leur nouvelle vie en tiny house. Après quelques années de préparation, ils se sont installés dans deux micro maisons, perdant quelques dizaines de mètres carrés, mais gagnant en qualité de vie, et en impact sur la planète. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Orgues à six syphons, harpe-trottinette, trompette-pommeau de douche... Emmanuel et Tony forment le duo des Recycleurs de son. À travers une quarantaine d'instruments de musique bricolés avec des objets de récupération, ils donnent des concerts et des petits bals principalement à destination du jeune public. Ces concerts sont aussi l'occasion pour eux de sensibiliser à la préservation des ressources et à la nature. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La réserve du Pinail dans la Vienne compte 2.700 espèces. Yann Sellier, responsable scientifique, veille à son avenir.Plus verte la vie est un podcast de La Nouvelle République et Centre-Presse.  Le changement climatique n'est plus à démontrer. Par volonté ou par contrainte, les habitants de nos territoires s'adaptent. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Installée au Blanc, Violette trvaille un cuir tanné sans métaux lourds, ce qui correspond à sa philosophie de vie, basée sur le respect et la préservation de l'environnement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des serres de Romorantin sortent, en moyenne, chaque année entre 55.000 et 60.000 plantes annuelles (1), environ 50.000 plantes bisannuelles (2) ainsi que 3.000 à 5.000 plantes vivaces. Le tout sur 1.000 m2 de cultures.Mais le dérèglement climatique a profondément modifié les pratiques. « J’ai deux lectures de ce phénomène, développe Frédéric Lhomme, responsable du service espaces verts à Romorantin. On ne peut évidemment pas nier qu’il se passe des choses, mais notre terre obéit à des cycles qui existent depuis des millénaires, comme le petit âge glaciaire (entre le début du 14e siècle et la fin du 19e siècle). Nous sommes dans le cycle du réchauffement intensifié par l’activité humaine, l’industrie. »Un dérèglement climatique qui a poussé le jardinier et ses collègues à changer leurs pratiques en profondeur. « Nous travaillons avec la météo », dit-il. Et de poursuivre : « En 2017, 2018, 2019 et 2022, nous avons connu des hivers et des printemps secs extrêmement dommageables. Nous avons donc été obligés de réfléchir à nos plantations. » Et ainsi écarter « les impatiens, ou encore les coléus très gourmands en eau, en les remplaçant par des plantes plus résistantes à la chaleur et économes en eau. Nous nous sommes rabattus sur les géraniums, les bégonias, les équinoxes et les osteospermum. »Ou encore les plantes vivaces, capables de vivre plusieurs années. Une façon d’allier besoins de verdure de la population et épisodes de sécheresse de plus en plus fréquents.L’enjeu de l’eauCar l’eau est l’autre enjeu majeur. « Sur ce sujet-là, nous sommes au pied du mur, constate Frédéric Lhomme. Nous sommes confrontés à des arrêtés de restriction, voire d’interdiction d’arrosage. » Heureusement, « en Sologne, il y a de l’eau partout. Même en cas de restriction, nous avons des bassins de rétention d’eau. Nous avons des réserves, elles ont été anticipées. Aussi, la mairie avait installé de grandes citernes au pied des bâtiments pour récupérer les eaux de pluie. Nous utilisons aussi le paillage pour maintenir la fraîcheur de la terre. »Frédéric Lhomme de conclure : « En deux mots, on s’adapte ! »(1) Une plante annuelle est une plante qui germe, grandit, fleurit, produit des graines et meurt au cours d’une seule année.(2) Une plante bisannuelle effectue son cycle de vie sur deux années : pensées, pâquerettes, giroflées…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A côté de Montmorillon dans la Vienne, tout un hameau abandonné va reprendre vie grâce à une éco-rénovation.Plus verte la vie est un podcast de La Nouvelle République et Centre-Presse.  Le changement climatique n'est plus à démontrer. Par volonté ou par contrainte, les habitants de nos territoires s'adaptent. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Créée à Châteauroux en 2023, l'association Carbon Angel accompagne les petites structures dans leur transition écologique. Nous avons rencontré Rémy Lauranson, son président.Plus verte la vie est un podcast de La Nouvelle République et Centre-Presse.  Le changement climatique n'est plus à démontrer. Par volonté ou par contrainte, les habitants de nos territoires s'adaptent. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Installée à Blois, Magali Dubourdieu a créé avec sa sœur le site internet Impec et net, promouvant l’utilisation de produits ménagers naturels et aidant le particulier à y voir plus clair.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le nord des Deux-Sèvres, PomEvasion aide les pommiculteurs, comme ceux de Bocampom, à développer des pratiques agroécologiques. En faisant revenir les insectes auxiliaires, ils luttent contre les ravageurs, et en étudiant le sol, ils le rendent plus sain pour les pommiers. Stéphanie Habasque et Sébastien Serot racontent comment ces pratiques les aident à réduire les intrants dans les vergers.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des rues, des immeubles, du goudron, du béton... A première vue, difficile de se projeter vers un monde plus vert depuis les quartiers populaires d'une grande ville. C'est pourtant ce qu'a voulu faire Aurélie Thomas, une ancienne habitante du Sanitas, à Tours. Il y a huit ans, inspirée par le mouvement des Incroyables comestibles, elle a réussi à fédérer les énergies pour planter les premières graines d'un potager urbain, le Planitas. Entre les légumes et les fleurs comestibles les habitants y cultivent le vivre ensemble, le lien social, le partage, et une certaine idée de l'écologie.Un épisode réalisé par Mariella EsvantPlus verte la vie est un podcast de La Nouvelle République et Centre-Presse.  Le changement climatique n'est plus à démontrer. Par volonté ou par contrainte, les habitants de nos territoires s'adaptent. Découvrez chaque semaine le portrait d'un acteur local qui vit plus vert.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis Poitiers dans la Vienne, Léa Nora et Victor Fighiera ont effectué un périple de neuf mois jusqu'à Taïwan en utilisant des moyens de déplacement bas carbone.Plus verte la vie est un podcast de La Nouvelle République et Centre-Presse.  Le changement climatique n'est plus à démontrer. Par volonté ou par contrainte, les habitants de nos territoires s'adaptent. Découvrez chaque semaine le portrait d'un acteur local qui vit plus vert.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis près de dix ans, des enseignants-chercheurs travaillent avec la Ville de Blois pour trouver des synergies entre accueil de la biodiversité, cadre de vie et aménagement du territoire. Pour mieux comprendre cette collaboration, nous nous sommes rendus sur trois lieux différents, à savoir l'hyper centre-ville, en bord de Loire et au parc de l'Arrou, avec Sébastien Bonthoux, enseignant-chercheur, comme guide.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La Loire est son terroir. » La phrase inscrite sur la vitrine de la cave épicerie locavore Dejault, à Tours, est un peu plus qu’un slogan. C’est un engagement, que le propriétaire François Bonhomme a pris, le jour où il a abandonné sa carrière dans le design, puis la sécurité des paiements en ligne, pour ouvrir son épicerie dédiée aux produits locaux et aux espèces anciennes. Une manière pour celui est aussi co-président de l’union pour les ressources génétiques du Centre Val de Loire (URGC) et Agir pour les cépages rares en Centre Val de Loire de sensibiliser à l’écologie… par le palais.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 30 ans, la jeune cheffe pâtissière Nelly Vossier, installée à Châteauroux depuis deux ans, milite pour une démarche de respect total du produit dans ses confections. Circuit court, saisonnalité, packaging recyclable... cette fille de maraîchers-arboriculteurs multiplie les initiatives par respect pour l'environnement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A Poitiers dans la Vienne, une recyclerie est ouverte depuis cette année pour récupérer et remettre sur le marché des articles de sport.Plus verte la vie est un podcast de La Nouvelle République et Centre-Presse.  Le changement climatique n'est plus à démontrer. Par volonté ou par contrainte, les habitants de nos territoires s'adaptent. Découvrez chaque semaine le portrait d'un acteur local qui vit plus vert.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Originaires de la région parisienne, Natacha et Nathanaël Deremble « passionnés par les sous-terrains », ont décidé de changer de vie, en s’installant en Loir-et-Cher. Ils ont élu domicile dans une maison troglodytique, donc totalement ancrée dans la roche, qui n’était plus habitée depuis une cinquantaine d’années.Et ont investi dans de vastes galeries, « que l’on appelle plutôt des carrières », « qui font des kilomètres ». Nathanaël et Natacha ont rapidement eu l’idée de cette production cavernicole « assez atypique » nommée La ferme du coteau Saint-Gervais.C’est donc dans cette ancienne carrière, qu’ils ont décidé de créer une champignonnière : « Le champignon est une espèce vivante qui n’a pas besoin du soleil et est donc adapté aux caves », explique Nathanaël. Et de poursuivre : « Nous avons décidé d’opter pour la production du shiitaké », champignon japonais qui « puise toutes ses ressources dans le bois, ce qui lui donne un caractère particulier ».L’autre grande partie de la production concerne ce que l’on nomme « les légumes forcés en cave ». Le principe repose sur deux phases. Tout d’abord, il est nécessaire de cultiver une racine en pleine terre, pendant un an, qui est extraite à l’automne et placée en cave l’hiver. « Elle se remet à pousser, mais complètement différemment. »Des températures stablesDe cette manière, Nathanaël et Natacha produisent des endives, de la rhubarbe et du chou. Le goût du légume s’en trouve modifié : « L’endive blanche a de grandes feuilles vertes. La rhubarbe n’a pas de feuille et a un goût plus doux. On nous dit souvent qu’elle a un goût de cave, on prend cela comme un compliment ! »Nathanaël souhaite aujourd’hui étendre sa production à d’autres légumes et fruits comme, pourquoi pas, la banane.La production cavernicole permet avant tout d’être moins dépend du dérèglement climatique : « Ici, explique le producteur, les températures sont stables entre 12 degrés et 14 degrés. On n’est pas influencé par une sécheresse par exemple, sans être pour autant coupé du monde. Mais si toutes les forêts meurent à cause du changement climatique, on ne pourra plus produire du shiitaké, qui pousse sur les arbres. »Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Loïc, Sophie et Ronan font partie de l'association le Rêve des abeilles, basée à Coulon, dans le Marais poitevin. Déplorés par une apiculture productiviste qui cherche à produire le plus de miel possible sans se soucier du bien-être des abeilles, ils ont installé un rucher pédagogique dans leur jardin. Les essaims sont accueillis dans des ruches traditionnelles, qui se veulent plus respectueuses du cycle naturel des pollinisateurs. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Amap (association pour le maintien d'une agriculture paysanne), fondée le 8 juin 2023, a déjà soufflé sa première bougie.Le principe est simple : chaque semaine, l’agriculteur s’engage à livrer à chaque membre de l’AMAP un « panier » de fruits et légumes de saison de sa propre production, cultivés localement et vendus à un juste coût.Les « Amapiens » – ainsi se nomment-ils entre eux – sont de plus en plus nombreux à aller chercher chaque semaine un panier de légumes préparé par le producteur sans intermédiaire."Démarche citoyenne et environnementale"La distribution, moment d’échanges et de convivialité entre producteurs et consommateurs, a lieu chaque jeudi de 18 h à 19 h 30 à la Maison des Provinces, à Blois.« Ceux qui s’inscrivent à l’Amap, souligne Danièle Royer, ont une vraie démarche citoyenne et environnementale. » Et la trésorière de l’association d’ajouter : « Je ressens une vraie prise de conscience du public, cette volonté d’être mieux nourri. »Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui je vous emmène à la rencontre d'Annick, qui, depuis deux ans, exploite un terrain de 5400 m2 qu'elle a acheté sur la petite commune de Saint-Aigny. Un terrain qu'elle a partagé en plusieurs potagers, qui tiennent compte de l'ensoleillement, de la chaleur, et de la nature de son sol, très argileux. Son truc, c'est le maréchage sur sol vivant et l'étude des plantes qui poussent naturellement sur place. Elle s'y adapte, et en tire des enseignements qui lui permettent d'optimiser ses cultures. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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