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Prendre soin de l'être, le podcast pour cultiver la santé holistique jour après jour
Author: Virginie Caubert
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© Virginie Caubert
Description
Prendre soin de l’être est un podcast hebdomadaire qui s’adresse à toutes celles et ceux qui choisissent de donner de l’attention au précieux de la vie, en soi et autour de soi, pour créer les conditions de leur épanouissement et de leur pleine santé.
Je partage avec vous les ressources simples et accessibles que la nature nous offre en abondance, vous inspire à créer vos rituels quotidiens, à vous donner de l’espace et du temps même quand vous semblez en manquer, vous inspire à transformer votre regard pour saisir les opportunités que la vie vous amène chaque jour, et ainsi rendre votre vie plus belle, un petit pas après l’autre.
Ensemble nous cheminons dans ce processus que j’aborde comme on cultive un jardin, en toute humilité : donner la possibilité au vivant de prospérer avec amour, attention, patience.
Pour cela, nous allons mobiliser les innombrables ressources de Dame Nature, accessibles et disponibles facilement : la connexion à la nature
elle-même, la respiration, la relaxation, les huiles essentielles et leurs odeurs, l’eau, l’alimentation… une partie de ces pratiques font déjà partie de votre quotidien, sans que vous y prêtiez forcément attention. Ensemble, nous y mettrons de la conscience, et cela change tout !
Mon intention est de témoigner de mon expérience, de vous soutenir et de vous accompagner sur ce chemin du prendre soin qui est un défi de chaque jour. Car il n’est pas facile de prendre soin avec assiduité et c’est souvent ce que l’on abandonne en premier, dans l’intensité du quotidien comme dans l’adversité. Prendre soin de l’être est présenté par Virginie Caubert, naturopathe, olfactothérapeute, formatrice, accompagnatrice de jeûnes. Virginie est passionnée par la santé naturelle et la cohérence du vivant, par la pédagogie et l’approche holistique
de la vie. Curieuse de tout (dans une autre vie, elle a été chercheur en sciences du vivant) et musicienne à ses heures, Virginie a particulièrement approfondi les ressources offertes par les huiles essentielles et les vibrations sonores. Elle a cofondé Naturilys, Ecole pratique de naturopathie dans la Drôme où elle réside et exerce avec enthousiasme son activité.
Vous pourrez retrouver toutes les informations sur l’accompagnement de santé holistique et les ateliers de Virginie, ainsi que ses articles de blog sur son site internet (http://www.naturopathe-en-diois.fr) et sur les réseaux sociaux (facebook (https://www.facebook.com/profile.php?id=100015704773182) et instagram (https://www.instagram.com/irignive/) ).
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je partage avec vous les ressources simples et accessibles que la nature nous offre en abondance, vous inspire à créer vos rituels quotidiens, à vous donner de l’espace et du temps même quand vous semblez en manquer, vous inspire à transformer votre regard pour saisir les opportunités que la vie vous amène chaque jour, et ainsi rendre votre vie plus belle, un petit pas après l’autre.
Ensemble nous cheminons dans ce processus que j’aborde comme on cultive un jardin, en toute humilité : donner la possibilité au vivant de prospérer avec amour, attention, patience.
Pour cela, nous allons mobiliser les innombrables ressources de Dame Nature, accessibles et disponibles facilement : la connexion à la nature
elle-même, la respiration, la relaxation, les huiles essentielles et leurs odeurs, l’eau, l’alimentation… une partie de ces pratiques font déjà partie de votre quotidien, sans que vous y prêtiez forcément attention. Ensemble, nous y mettrons de la conscience, et cela change tout !
Mon intention est de témoigner de mon expérience, de vous soutenir et de vous accompagner sur ce chemin du prendre soin qui est un défi de chaque jour. Car il n’est pas facile de prendre soin avec assiduité et c’est souvent ce que l’on abandonne en premier, dans l’intensité du quotidien comme dans l’adversité. Prendre soin de l’être est présenté par Virginie Caubert, naturopathe, olfactothérapeute, formatrice, accompagnatrice de jeûnes. Virginie est passionnée par la santé naturelle et la cohérence du vivant, par la pédagogie et l’approche holistique
de la vie. Curieuse de tout (dans une autre vie, elle a été chercheur en sciences du vivant) et musicienne à ses heures, Virginie a particulièrement approfondi les ressources offertes par les huiles essentielles et les vibrations sonores. Elle a cofondé Naturilys, Ecole pratique de naturopathie dans la Drôme où elle réside et exerce avec enthousiasme son activité.
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52 Episodes
Reverse
Avez-vous déjà fait l’expérience de cet état dans lequel toute chose se passe avec une évidence et une fluidité naturelle, et de manière optimale, cet état dans lequel vous êtes au bon endroit au bon moment, vous rencontrez la bonne personne juste quand elle peut contribuer pour vous, vous prenez sans effort les décisions qui se révèleront plus tard les meilleures ? Ces situations où vous diriez : « J’aurais voulu le faire exprès, je n’aurais pas réussi ». Cet état de fluidité et de pertinence, c’est ce qu’on appelle l’état de cohérence ; la fluidité et la pertinence qui se manifeste à l’extérieur sont le reflet d’une fluidité et d’une pertinence intérieures, un état de synchronisation optimale de tous vos systèmes internes, physiologique, nerveux, émotionnel qui permet une interaction parfaite avec l’extérieur, bien au-delà de ce que les fonctions cognitives conscientes permettent habituellement.Cet état de cohérence, cette manière d’être dans le flow survient souvent sans qu’on sache comment ; cela s’installe, plus ou moins furtivement, puis ffft ! Cela se dissipe. Est-il possible d’induire cet état de cohérence ? Et si oui, comment ? Toutes les ressources que nous avons partagées dans les épisodes précédents sont utiles pour nous rendre disponible à cette ouverture et à la possibilité de manifester un état de cohérence : ne rien attendre et tout recevoir, cultiver l’impeccabilité, l’absence de supposition et refuser de prendre les choses personnellement avec les accords toltèques, se désidentifier, pratiquer le « point de vue intéressant », vivre l’instant, prendre conscience du cadeau caché derrière et rester détendu !Et il existe une autre ressource simple et particulièrement effective pour cultiver la disponibilité à la cohérence, c’est la pratique de la cohérence cardiaque : un exercice respiratoire très accessible qui propose de respirer à un rythme régulier pendant 5 minutes. Cette pratique a été introduite en Europe par David Servan Schreiber dans son livre Guérir il y a quelques années ; elle a été particulièrement étudiée et objectivée. Et elle constitue une clé majeure pour effectuer cette synchronisation interne et accéder facilement, lorsque l’on a l’habitude de la pratiquer, à l’état de cohérence. Les effets d’une pratique de 5 minutes sont puissant et perdurent jusqu’à 4h !Pour en savoir plus sur la cohérence cardiaque, vous pouvez lire mon article à ce sujet.Rester dans le flow, convoquer l’état de cohérence est donc entre nos mains, à portée de choix et d’attention ! Rester dans ce flow, c’est se dresser sur son surf et se laisser porter par les vagues de la vie bien plus vite et bien plus loin que ce que l’on se permettrait d’imaginer possible !Je vous invite à en faire l’expérience et à partager ce qui se manifeste pour vous lorsque vous vous rendez disponible à vivre cet état de cohérence plus souvent que fortuitement ! Vos témoignages et commentaires seront reçus avec gratitude ici !Crédit photo: FreepikHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand je transmets les bases de la naturopathie, dans les premiers jours de formation, aux tout jeunes stagiaires, et que nous parlons d’énergie vitale et de vitalisme, nous évoquons les grandes sources de dévitalisation énumérées par les hygiénistes. Parmi elles, les tensions musculaires inconscientes, qui nous prennent une énergie incroyable, d’instant en instant.Peut-être n’avez-vous pas l’impression d’être tendus, contractés, sous pression, peut-être avez-vous l’impression d’être cools, relax, sereins ? Et si je vous propose de porter attention à votre mâchoire, à vos épaules ou vos trapèzes, de ressentir votre plexus solaire ou votre diaphragme, voire même votre ventre, vos yeux, votre front… Etes-vous certains qu’il n’y a pas quelques tensions ici ou là, tellement habituelles que vous n’y prêtez même plus attention ?Et imaginez que je vous propose ce même exercice d’attention à un moment où vous êtes préoccupés, contrariés, confrontés à un problème à résoudre ou à une situation d’inconfort…C’est précisément dans ces moments où notre attention est focalisée sur ce que le cerveau interprète comme un danger potentiel et qu’il cherche une solution de survie que des tensions peuvent s’installer sans que vous y preniez gare. Et c’est justement là aussi que je vous propose de revenir à cette écoute du corps, avec une question toute simple : « Comment puis-je me détendre ici ? »Mon expérience est la suivante : à chaque fois que j’ai laissé cette question émerger, sans avoir véritablement conscience d’être contractée, et que j’ai pris quelques secondes pour simplement me prêter un peu d’attention, j’ai senti une différence dans mon corps, quelque chose qui se ramollit à l’intérieur, prenant alors conscience que les tensions étaient bien là. Et autant de fois je répète la question, autant de fois je peux sentir quelque chose se poser à l’intérieur, parfois même jusqu’à laisser échapper un bâillement, signe manifeste de relâchement.L’art de surfer sa vie, selon moi, repose aussi sur cette qualité de détente en action, sur cette capacité à rappeler à soi ce relâchement intérieur partout où les tensions ne sont pas utiles et ne soutiennent pas directement notre élan.« Comment puis-je me détendre ici ? » me donne parfois le même ressenti que celui, lorsque je reçois un massage, de réaliser à quel point mon corps était tendu au-delà de ce que j’avais perçu.Cette simple question a un effet vraiment magique et instantané : mon corps répond tout de suite !Et si formuler cette question ne suffit pas, vous pouvez ajouter une pratique respiratoire très simple, très rapide, qui permet à la fois de détendre spécifiquement les trapèzes et de lâcher prise, en agissant directement sur le système nerveux autonome. J’ai évoqué cette formidable propriété du souffle dans l’épisode 5 de la saison 1 que vous pouvez écouter ici.Et vous, percevez-vous parfois ces tensions inconscientes bien installées dans votre corps ? Et à ce moment-là, choisissez-vous consciemment de les relâcher ? Et que diriez-vous de les libérer avant même de les avoir identifiées ?Je vous invite à partager, commenter, témoigner dans les réseaux sociaux sur tous ces moments où les tensions dont vous n’aviez pas perçu la présence se rappellent à vous et sur vos ressources pour les relâcher alors. Pour vos témoignages et commentaires, c'est ici!Je vous invite également à contribuer à diffuser ce podcast autour de vous s’il vous a inspiré. Avec ma profonde gratitude pour ce précieux soutien !Crédit photo : Freepik
Parfois dans la vie, comme dans le surf, il arrive qu’on boive la tasse ; on est jeté à bas de sa planche, roulé par les flots, entrainé dans le chaos des circonstances… Et dans ces moments-là, est-il encore possible de trouver de la fluidité, de l’aisance, de la légèreté ? Est-il possible d’éviter le tragique ? De ne pas subir le dramatique de la situation ?J’ose affirmer que oui, et te proposer la clé toute simple qui permet, dans des circonstances adverses, déstabilisantes, confrontantes ou douloureuse, de choisir à nouveau la confiance. Il s’agit d’une simple question : « Quel est le cadeau caché derrière ? » Six mots pour rester dans l’ouverture, cesser de résister, ne pas subir, accepter et s’ouvrir avec curiosité à toutes les perspectives improbables que ces circonstances vont amener, au service de nos aspirations les plus profondes.Il ne s’agit pas de poser un déni implacable sur le vécu douloureux de la traversée ; il s’agit plutôt de ne pas rester noyé dans le drame. Et, là encore, de changer de point de vue, de s’ouvrir à la possibilité que je n’aie qu’une vision très limitée de ce qui se joue dans les dimensions multiples qui sont en jeu, et qu’au-delà de ce que je perçois, au-delà de ce que je peux imaginer même, dans toute circonstance il y a un cadeau à recevoir. Certes, la perception ne deviendra claire qu’après un temps, parfois après des années ; ça n’enlève pas le cadeau.Poser cette confiance-là en toute circonstance, choisir de ne pas céder au désespoir, a déjà la vertu d’alléger la situation, de couper cours aux résistances stériles et épuisantes, de rester disponible, réceptif, ouvert. Cette ouverture empêche la stagnation, la cristallisation, l’enkystement ; cette ouverture nous garde en vie, dans ce mouvement et cette circulation de la vie en nous. Cela déjà est source de fluidité.Et, après un temps plus ou moins long et qui dans tous les cas ne nous appartient pas (sauf à dire qu’il sera d’autant plus long que nos résistances seront grandes), le cadeau sera là, prêt à être reconnu ; alors pourra germer dans le cœur la gratitude pour cette traversée un temps privée de lumière.Pour partager commentaires, témoignages, expériences, c'est ici!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui dans Prendre soin de l’être, on évoque le présent et comment vivre l’instant présent, cet instant précieux, cet instant magique, cet instant de tous les possibles, ce présent qui est, justement, un véritable présent ! L’instant, c’est l’espace de choix, celui qui t’appartient totalement : dans cet instant-là, choisis-tu de voir les opportunités ou les contraintes ? les possibilités ou les limitations ? Où places-tu ton regard sur ce présent, à partir d’où le portes-tu ? Bien sûr que la proposition de la semaine dernière d’ouvrir les perspectives est plus que jamais d’actualité ! Aujourd’hui, nous allons un peu plus loin par rapport à la relation au temps et à ce présent insaisissable.Comment revenir dans cet instant-là et qu’est-ce que ça peut apporter au quotidien ?Le plus simple selon moi c’est de revenir à son corps, et peut-être que cela même constitue déjà un défi !Se mettre à l’écoute de sa respiration, suivre les allers et retours du souffle entre l’extérieur et l’intérieur de soi invite inévitablement à revenir au présent. Ou encore, porter son attention sur la sensation dans ses pieds, le contact avec le sol, l’appui, les sensations tactiles dans les pieds… Au contraire de la tête, qui pense, imagine et projette, le corps ne peut être autrement qu’au présent.Que peut-on trouver dans cet instant présent ? L’espace de tous les possibles et l’opportunité de choisir précisément ce que je fais de cet instant, comment je m’en saisis, je l’habite, à quoi je donne la priorité et mon attention, vers où je dirige mon énergie et mon action. Dans cet instant présent, je retrouve ma pleine puissance de choix.Les grecs évoquaient plusieurs qualités de temps. Le chronos, le temps linéaire des horloges qui avance inexorablement, celui qui peut nous confronter à la pression des échéances, de l’impuissance… Aiôn, le temps cyclique de l’alternance du jour et de la nuit, du cycle lunaire ou du cycle des saisons, en permanence renouvelé. Et kairos, le temps des opportunités, cet instant qui permet d’accéder à ce qui semble inaccessible, improbable, impossible. On peut considérer que kairos se présente à nous dans certaines circonstances favorables, lorsque les « les planètes sont alignées ». Mon point de vue est que kairos est toujours là, disponible, et c’est notre posture, notre disponibilité, nos choix qui nous permettent de l’entrevoir et de le saisir… ou pas ! Chaque instant est ainsi riche d’une infinité de potentiels, chaque instant est l’occasion de naître et de mourir, au sens de se transformer ; chaque instant recèle cette possibilité incroyable d’être perpétuellement en train de se renouveler. Telle est la véritable dynamique du vivant !Dans l’approche d’Access consciousness, la proposition est de vivre par incréments de 10 secondes et c’est très proche de ce que je viens d’évoquer : chaque 10 secondes, je rechoisis, j’adapte, je confirme ou modifie mes choix pour qu’ils s’ajustent à cette dynamique du vivant en moi. Quelle liberté d’être ! Quelle légèreté que de s’autoriser à remettre en question ses choix, ses priorités, ses objectifs et sa direction toutes les 10 secondes, voire à chaque instant !Je t’invite à faire l’expérience de cette dynamique particulière du présent et à observer ce que cela induit dans le cours de tes journées, et bien sûr à le partager dans les réseaux sociaux !Si la relation au temps t’interpelle, te confronte, te questionne, si tu as envie de l’explorer davantage voire de la transformer, je t’invite à la retraite naturopathique que j’ai créée comme un espace privilégié pour cela, et que je vais reprogrammer au printemps prochain.Crédit photo: kjpargeter
Dans ce nouvel épisode de Prendre soin de l’être, je te propose une pratique toute simple pour amener de la fluidité, de la légèreté dans votre vie et dans vos relations.L’observation première est de se rendre compte que nos pensées, tellement présentes, sont souvent polarisées : quelque chose est vrai ou faux, bien ou mal, quelqu’un a raison ou au contraire il a tort. Et souvent aussi, nous allons argumenter pour justifier cette polarisation, pour expliquer pourquoi nous avons raison de penser comme cela ou pourquoi l’autre a tort de penser différemment.Pourtant, les choses ne sont peut-être pas aussi tranchées que ça ! Imaginez la situation suivante : vous écrivez sur une feuille de papier le chiffre 6 et vous la poser face à vous. Vous savez que c’est un 6, vous l’avez écrit et le lisez comme tel. Imaginez alors qu’une autre personne se positionne face à vous, la feuille orientée pour elle dans l’autre sens. Elle pourra objecter que c’est le chiffre ç qui est écrit parce qu’effectivement, c’est ce qu’elle lira de son côté. L’un ou l’autre a-t-il tort ? L’un a-t-il plus raison que l’autre ? Bien sûr que non ! Il s’agit juste d’un point de vue selon une perspective différente, qui donne une expérience différente.Imaginez comment, au quotidien, à partir de ce genre de différence de perspective, on peut se prendre la tête et chercher à convaincre l’autre qu’on a raison et qu’il s’agit bien d’un 6 quand l’autre se défend quant à lui et cherche à nous faire entendre que, pas du tout, c’est absolument un 9 !Et s’il suffisait d’un petit pas de côté pour entrevoir que chacun voit et lit quelque chose de différent, que chacun fait une expérience qui lui est propre et qui est unique ? En extrapolant bien au-delà de la lecture d’un chiffre à l’endroit ou à l’envers, comprenons que l’expérience que chacun vit est teintée et conditionnée par son histoire, son héritage, sa culture, sa sensibilité et même con état du moment.Alors quel serait ce petit pas de côté qui permettrait non pas de chercher à avoir raison mais plutôt de considérer comment être en relation au-delà de ces différences de perspectives ?Je vous propose la formule suivante, toute simple, une des ressources de l’approche d’Access Consciousness : « Point de vue intéressant ». Simplement formuler, face à une idée qui nous vient à l’esprit, ou face à une assertion reçue d’un quelconque interlocuteur, et même face à une information entendue dans les media, que ce n’est qu’un « point de vue intéressant » permet de transformer la perspective, de se rappeler qu’il y a mille autres points de vue possibles.Cette pratique toute simple amène de la légèreté, de la détente ; elle est souveraine pour désamorcer les conflits.Que dirais-tu de l’essayer ? Que dirais-tu de jouer à « Point de vue intéressant » et d’observer ce que ça induit dans ta vie ? Et que dirais-tu alors de partager ton témoignage ici afin que chacun de nous en soit enrichi ?Crédit photo: FreepikHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que se passe-t-il en général lorsque nous expérimentons une sensation désagréable, une émotion déstabilisante, une pensée dysharmonieuse ? Celle-ci occupe très vite tout notre espace intérieur et nous nous retrouvons souvent tout entier occupé d’elle, à l’analyser, à nous en plaindre ou à réagir contre elle. Ce faisant, elle prend encore plus d’importance et nous contraint à la subir. Nous voilà alors complètement identifié à elle : nous sommes tout entier cette douleur, cette émotion désagréable, cette pensée retors et n’avons plus aucune disponibilité pour autre chose.Et si nous pouvions nous désidentifier ? Et si nous pouvions élargir la perspective pour réaliser que cohabitent en nous d’autres sensations, d’autres émotions, d’autres pensées ? Et si nous pouvions choisir parmi ces autres perceptions celles qui seraient plus soutenantes, plus cohérentes avec ce que nous avons envie de vivre ? Et si c’était avant tout une question d’attention ?Lorsque notre corps nous fait souffrir, comment ne pas être envahi par la douleur ? Nous pouvons commencer par percevoir la zone douloureuse du corps et les autres espaces du corps dans lesquels la sensation est possiblement différente. Cela simplement peut élargir la perspective.De la même manière, lorsque nous ressentons une émotion nous envahir, pouvons-nous percevoir dans quelle partie du corps se loge l’émotions et commencer à la circonscrire. Et à partir de là, pour l’émotion comme pour la pensée, nous pouvons envisager sous quelle forme nous la représenterions, avec quelle couleur, quelle texture… Cela permet de rentrer en relation avec le ressenti pour moins le subir.Rentrer en relation depuis un espace extérieur, depuis la position de l’observateur, neutre, permet non seulement d’élargir la perspective et de nous ouvrir aux autres perceptions qui sont là également, mais aussi, cela permet de nous demander si cette perception est cohérente avec ce que nous souhaitons vivre, si elle soutient nos aspirations. Dans le cas contraire, elle nous donne la possibilité de faire un choix différent : celui de porter notre attention sur une perception plu soutenante ou plus congruente.Dans ce processus de désidentifications et de distanciation, nous passons de la posture d’objet où nous subissons la perception à celle de sujet où nous pouvons choisir où placer notre attention. Nous reprenons ainsi notre pleine capacité de choix et notre souveraineté.Dans le cas d’une pensée, le vécu peut être analogue. La pensée qui me dit que je suis fatigué.e peut m’enfermer dans cette fatigue dans laquelle je me retrouve comme prisonnier.e, entravé.e avec possiblement de l’abattement ou de la frustration à la clé. Si au contraire je considère qu’il y a de la fatigue en moi, témoin d’une aspiration au repos et à la récupération, en voyant en même temps l’élan à accomplir également plusieurs actions, je peux considérer comment répondre à la fois au besoin de repos et à l’élan vers l’action, en organisant mon temps et mes activités peut-être différemment. Ma posture s’en trouve complètement transformée et mon expérience aussi du coup. Je vais peut-être même pouvoir goûter simplement de faire ce que j’ai envie d’accomplir avec l’énergie disponible, sans résistance et réaliser que j’ai peut-être plus d’énergie disponible qu’il n’y paraissait et que tout cela peut être très fluide, finalement. Partagez vos témoignages ici ! Crédit photo : Cottonbro StudioHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Connaissez-vous les 4 accords toltèques ? Les avez-vous déjà expérimentés dans votre quotidien ?Les 4 accords toltèques sont issus de la sagesse toltèque. Ils ont été popularisés par Don Miguel Ruiz dans son livre éponyme.Ils constituent une proposition qui peut devenir un principe de vie, une invitation à une certaine qualité d’attention à porter au quotidien, une inspiration à cultiver l’harmonie dans ses relations : la relation à soi, la relation aux autres, celle à la vie et aux circonstances du quotidien.Que ta parole soit impeccableUne parole impeccable pourrait être une parole congruente : qui est le reflet des pensées autant que de l’élan du cœur, une parole aussi alignée avec ses actes. Et en ce sens, la parole engage une certaine responsabilité qu’il y a lieu d’assumer, et cela peut se faire avec légèreté bien sûr !Une parole impeccable, cela pourrait être une parole qui se dit, qui ose s’exprimer, ne pas se retenir… De la même manière une parole impeccable invite à ne pas parler pour ne rien dire, ou pour combler un vide. Dans la parole impeccable, il y a cette invitation à oser dire et savoir se taire.Une parole impeccable, ce pourrait être aussi une parole soutenante, de soi, de l’autre à qui l’on s’adresse, du vivant. J’entend par là une parole qui ouvre plus de possibles qu’elle n’en ferme. Ne fais pas de suppositionsL’invitation est à cesser de projeter, d’imaginer, de conjecturer… Cesser de combler le vide d’information, cet espace où je ne sais pas, par ce qui généralement se tricote et se retricote en cogitations interminables. Ne pas faire de suppositions, c’est souvent dépasser un réflexe acquis, une compulsion du mental semblable au hamster dans sa roue qui tourne en boucle. Ne prends rien personnellementUne autre compulsion du mental qui envisage tout à partir de lui. Une manière de se mettre au centre, et plus souvent dans un sens dépréciatif ou source de tensions, internes comme dans la relation.Quel petit pas de côté permettrait de changer de perspective, et de se rendre compte que si telle personne agit comme cela, ou si telle situation évolue de cette manière, ça n’a peut-être rien à voir avec nous ? Fais toujours de ton mieuxL’exigence des trois accords précédents, abordés en valeur absolue, pourrait être rebutante s’il n’y avait cette quatrième invitation à faire de son mieux. Relativisons la valeur du résultat ou de la production à la spécificité de l’individu ! Chacun a ses talents, uniques, et chacun, avec ces talents spécifiques, peut être une contribution.Faire de son mieux, c’est aussi considérer que le mieux d’aujourd’hui n’est pas celui demain ni celui d’hier, c’est s’éviter la double peine de ne pas avoir atteint un certain objectif et de se juger pour cela. Alors oui, ces accords toltèques sont ultra simples, et oui, il est difficile de les mettre en œuvre parfaitement. Mais justement, la perfection n’est pas celle que l’on imagine.Et pratiquer avec douceur pour soi (et pour les autres) ces accords toltèques peut amener de grandes transformations dans les relations, dans la communication : de la détente, la possibilité de désamorcer des tensions, conflits, malentendus, une attention et une qualité de communication qui peut ouvrir à une authenticité d’échanges inattendus.En cela, c’est une véritable source de fluidité, de légèreté dans le quotidien… une manière de surfer ! Bienvenue à vos réactions à l’écoute de cet épisode, à vos commentaires et à vos témoignages !Crédit photo: FreepikHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je vous propose d’adopter le point de vue suivant : tout est opportunité.En effet, quelles que soient les circonstances que la vie met sur notre chemin, nous avons à chaque instant la possibilité de choisir comment nous allons les considérer ces circonstances, ce qui va déterminer comment nous allons les traverser. Face à tel imprévu, vais-je réagir, me braquer, me mettre en colère, m’attrister ? Ou vais-je considérer que de nouvelles possibilités sont disponibles que je n’avais pas envisagées ?Comment puis-je considérer les circonstances de la vie, avec quelles lunettes et à partir de quelle perspective pour voir ces opportunités plutôt que des entraves, des problèmes à régler, des montagnes à dépasser… ? A la manière de l’ascension d’une montagne qui élargit considérablement l’horizon, vous pouvez vous placer au sommet de votre conscience et découvrir le vaste champ des possibles qui s’offre à vous, et à cet endroit, choisir celui que vous allez privilégier !Avez-vous déjà observé ainsi comment des choses qui ne se sont pas passées comme vous l’aviez prévu ou souhaité se sont révélées finalement de merveilleux cadeaux ?Qu’est-ce que je fais de ça ? Comment j’en fais une opportunité ? Quelles possibilités sont là ?C’est certainement le plus grand choix que j’ai à chaque instant.En corollaire de ce choix, je vois deux notions importantes : ne rien attendre et tout recevoir.Lâcher les attentes sur comment les choses doivent se passer (pour se conformer à la manière dont nous les avons pensées) amène de la légèreté, la crispation, la réactivité étant souvent liées à la différence entre ce que j’ai projeté et ce qui est réellement. Il ne s’agit pas de ne plus rien planifier, bien sûr, mais de planifier avec la conscience qu’il est bien possible que les choses se passent différemment et de rester détendu à cet endroit.Lâcher les attentes, les projetions, les points de vue, donc.Et recevoir tous les possibles qui s’ouvrent et auxquels je n’aurais jamais pensé ! Les recevoir sans jugement de valeur du genre « C’est bien » voire « c’est mieux » ou « c’est moins bien » quand ce n’est pas « catastrophique ». Là encore, le jugement de valeur découle d’une forme d’attachement à l’idée que j’ai de comment les choses devraient se passer. Mais à partir du moment où je lâche cette idée, tout est à créer, à venir. Et c’est le moment de sortir sa planche de surf et de se laisser porter par la vague, joyeusement, avec la curiosité de découvrir où elle va me mener !Une proposition donc à faire feu de tout bois, en choisissant que ce soit un feu lumineux, ardent et joyeux ou un feu destructeur…La proposition n’est pas forcément facile à recevoir et je suis curieuse de découvrir ce qu’elle met en mouvement en vous ! N’hésitez pas à partager, témoigner dans les commentaires !Crédit Photo: FreepikHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode captivant de "Prendre soin de l'être, le podcast pour cultiver la santé holistique jour après jour", Virginie Caubert nous invite à explorer le monde fascinant du surf, non pas en tant qu'activité sportive, mais comme une véritable métaphore de notre existence. À travers ses réflexions, elle nous montre comment le surf peut nous enseigner des valeurs essentielles telles que l'action, l'humilité, l'équilibre, la fluidité et la joie. Bien qu'elle n'ait jamais pratiqué le surf, Virginie partage son expérience personnelle avec le bodyboard, illustrant ainsi l'importance de se mobiliser et de passer à l'action dans notre quotidien.L'épisode nous rappelle que chaque vague qui se présente à nous représente des opportunités à saisir. Virginie nous pousse à adopter une posture active, même lorsque nous nous trouvons dans des périodes d'attente. Elle souligne que la vie est pleine de surprises et que notre capacité à réagir avec agilité et enthousiasme peut transformer notre expérience. En prenant du recul et en observant les forces de la vie, nous pouvons apprendre à naviguer à travers les hauts et les bas avec grâce.L'humilité est un autre point clé de cette discussion. Virginie nous rappelle que, bien que nous ne puissions pas contrôler les circonstances, nous avons le pouvoir de choisir comment nous les accueillons. Cette acceptation ouverte nous permet de créer quelque chose de beau à partir des défis que nous rencontrons. En cultivant une attitude d'ouverture et de réceptivité, nous pouvons transformer les obstacles en tremplins vers notre épanouissement personnel.La fluidité, tant dans le surf que dans la vie, est essentielle pour vivre pleinement l'instant présent. Virginie nous encourage à embrasser les possibilités infinies que la vie nous offre, à être à l'écoute de notre intuition et à nous laisser porter par le courant des événements. En adoptant cette approche, nous découvrons la joie d'être en harmonie avec nous-mêmes et avec le monde qui nous entoure.Cet épisode de "Prendre soin de l'être" est une invitation à réfléchir sur notre manière d'être au monde et à intégrer les leçons du surf dans notre vie quotidienne. Que vous soyez un passionné de surf ou simplement curieux de découvrir comment ces principes peuvent enrichir votre existence, cet échange promet d'être inspirant et transformateur. Rejoignez-nous pour cette exploration enrichissante et apprenez à cultiver votre santé holistique jour après jour, en surfant sur les vagues de la vie avec action, humilité et joie.Crédit photo FreepikHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette quatrième saison de Prendre soin de l’être est placée sous le signe de la fluidité. Je vous propose de considérer comment surfer sa vie, à savoir, comment faire de chaque vague une opportunité d’être propulsé avec aisance et légèreté vers plus de joie, de bien-être, d’équilibre, si l’on considère que le surf allie tous ces attributs : recevoir et utiliser l’énergie de la vague, des circonstances et même des aléas, maintenir son équilibre dans le mouvement et se laisser porter vers l’avant !Chaque vendredi, à nouveau, nous nous retrouverons pour partager autour de cette thématique centrale ; chaque semaine, je vous proposerai de porter votre attention sur toutes les opportunités qui n’attendent que vous pour se transformer en pures expériences de kiff !Crédit photo: viarprodesignHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes à l’aube de la rentrée, avec son corollaire de changement de rythme, lancement de nouveau projets, activation et focalisation sur d’autres objectifs…Et en même temps, l’été n’est pas tout à fait fini ; la chaleur et la longueur des jours persiste encore un peu, les vacances aussi pour certains.Qu’auriez-vous envie de prolonger de la plénitude estivale ? La légèreté et l’insouciance d’un temps où vous avez lâché la planification pour vivre au présent et improviser ? La joie d’une disponibilité retrouvée pour prendre soin de vous, faire du sport, vous adonner à vos passe-temps favoris ou simplement ne rien faire du tout – farniente !? La douceur des retrouvailles avec des gens que vous aimez ? Quoi d’autre encore ?Je vous invite à ce voyage olfactif pour faire de l’espace en vous pour continuer à goûter tout cela et en garder l’empreinte vive.Pour ce voyage, l’essence d’orange douce vous accompagnera dans la tonalité de la plénitude, l’huile essentielle d’estragon résonnera avec les changement de rythme et le relâchement que cela permet, l’essence de citron fera résonner l’insouciance et la joie de l’instant présent où tout est possible, l’huile essentielle de cardamome vous connectera à la chaleur humaine et à la convivialité, la joie, les rencontres de cœur, l’huile essentielle de sapin baumier vous transportera vers les explorations, les découvertes, les voyages extérieurs ou intérieurs qui ont nourrit cet été, alors que la criste marine réveillera la vitalité des embruns iodés ou le sapin pectiné celle de l’air pur d’altitude.Vous pouvez choisir l’une ou l’autre de ces odeurs. Dans tous les cas, votre voyage sera seulement le vôtre, unique !Et je vous invite à partager vos témoignages ici, avec beaucoup de gratitude pour la contribution qui sera la vôtre!Crédit photo: freepikHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que diriez-vous d’improviser, de laisser tomber la planification, l’organisation ? De vous en remettre à l’élan de l’instant, aux signes sur le chemin, aux rencontres et à la providence ? D’accepter de vous perdre pour mieux vous trouver ; perdre vos repères, lâcher vos habitudes et vous ouvrir à l’inattendu, le non balisé qui parfois confine à l’inimaginable ?Que risquez-vous vraiment à renoncer aux plans ? Quelles possibilités ouvrez-vous à faire confiance ? Quels cadeaux recèlent les imprévus ? Il ne s’agit pas de se laisser balloter au gré des courants, il s’agit de renoncer à définir le chemin par lequel vous allez parvenir à destination, accepter de vivre ce que vous désirez vivre sans savoir comment, sans rien fermer.C’est un effort, un apprentissage, un apprivoisement pour nous qui sommes conditionnés à planifier nos journées, nos semaines, nos vacances, voire notre vie, à nous projeter loin devant, à nous prémunir, nous garantir, nous sécuriser, à calculer des risques et des statistiques, à régenter, contrôler, rentabiliser notre vie et celle des autres, humains et non humains, jusqu’à celle de la planète ! Lâcher la montre et le contrôle du temps pour revenir à un temps organique, reconnecter la sagesse de notre horloge interne.Lâcher les cartes et systèmes de GPS pour revenir à notre guidance intérieure.S’autoriser toutes les sorties de route, les approximations, les tours et les détours qui rendent le voyage tellement unique par les rencontres qu’ils permettent.S’autoriser l’inefficacité, l’inexactitude, l’errance… Le chemin le plus vivant pour aller d’un point A à un point B n’est pas forcément la ligne droite !Se laisser guider, non par un calculateur d’itinéraire extérieur mais par notre boussole intérieure, consciente au-delà de ce que nous pouvons appréhender.Peut-être faudra-t-il nettoyer un peu les antennes pour capter avec plus de clarté les impulsions du vivant en nous ! Dépoussiérer les écoutilles subtiles ! Décoloniser nos imaginaires !Et si nous (c’est-à-dire une part consciente de nous) savions parfaitement quel est le chemin ? Et si la clé était là, à portée de main ou plutôt à portée de cœur ? Saviez-vous par exemple que le cœur possède des neurones ? Et que ces neurones réagissent avant ceux du cerveau ? C’est ce que nous apprend l’étude des phénomènes de précognition que je trouve fascinants. Je pense en particulier à des expériences menées par différents chercheurs qui proposent à des sujets des images à caractère effrayant ou paisible projetées de manière aléatoires et enregistrent les stimulations physiologiques associées. Les signaux enregistrés témoignent de réaction 4 à 5 secondes avant qu’une image émotionnelle ne soit sélectionnée de manière aléatoire ! Et le cœur répond 1,3 secondes avant le cerveau !!! Il apparaît même que la réaction du cœur (il s’agit de potentiels électriques transmis via les neurones cardiaques) module la réaction cérébrale ! Et, encore plus intéressant, certaines pratiques, telle que la cohérence cardiaque par exemple, augmentent considérablement la capacité de réaction anticipée ; certaines études attestent de la mise en place de réactions de précognition 12 à 14 secondes avant manifestation chez des pratiquants expérimentés !Que direz-vous alors d’aiguiser cette capacité intuitive que nous avons tous en… l’exerçant ! Tout simplement ! Envie de partager vos expériences d’improvisation ? Bienvenue !Et je vous invite à commenter, partager, vous abonner… avant de vous dire à bientôt pour un prochain épisode estival ! Pour en savoir plus sur la retraite naturopathique L’Art de prendre son temps, c’est ici !Crédit photo: jplenio1 sur Freepik
Les 5 Tibétains sont une série de cinq exercices physiques originaires du Tibet. Cette pratique ancienne est réputée pour ses effets revitalisants sur le corps et l'esprit. Les cinq exercices sont conçus pour stimuler les centres énergétiques du corps et promouvoir une meilleure santé physique et mentale.Commencer la journée par une pratique corporelle, comme les 5 Tibétains, peut transformer notre quotidien. Physiquement, ces exercices améliorent notre flexibilité et notre force. Mentalement, ils nous aident à cultiver la clarté et à réduire le stress. Émotionnellement, ils nous permettent de nous connecter plus profondément à nous-mêmes et de commencer la journée avec une attitude positive.Pour intégrer les 5 Tibétains dans votre routine matinale, commencez par pratiquer chaque exercice lentement et à votre rythme. Vous pouvez commencer par quelques répétitions et augmenter progressivement. L'important est d'être régulier et attentif à votre corps.Après une semaine de pratique, prenez un moment pour vous poser quelques questions : Comment vous sentez-vous après cette pratique ? Quels changements avez-vous observé dans votre corps et votre esprit ? Tenir un journal de bord peut être très utile pour suivre votre progression.Pour résumer, les 5 Tibétains sont une excellente façon de commencer la journée en prenant soin de son corps, de son cœur et de son esprit. J'espère que vous allez essayer cette pratique et en tirer autant de bienfaits que possible. Merci de m'avoir écouté et à très bientôt pour un nouvel épisode de "Prendre soin de l'être". Prenez soin de vous !Pour en savoir plus sur les 5 tibétains:Les 5 tibetains : comment les pratiquer au quotidien ? (youtube.com)Pour partager votre expérience, témoigner, commenter, c'est ici!Crédit photo: FreepikHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, c’est le 21 juin, jour officiel du début de l’été selon notre calendrier. J’aurais pu vous parler du solstice, de lumière et de rayonnement… Le 21 juin, c’est aussi traditionnellement la fête de la musique, et c’est donc de musique que j’ai envie de vous parler aujourd’hui.Que l’on y soit consciemment sensible ou pas, la musique nous affecte. Elle est inductrice d’états et de comportements. Et pas seulement la musique, qui est une production culturelle et respecte un certain nombre de codes spécifiques à chaque origine, les sons de la nature ou de la vie moderne nous touchent et nous modèlent.Nous sommes vibrations, la musique – le son – est vibration. Que se passe-t-il quand deux vibrations se rencontrent ? Deux possibilités : des phénomènes d’interférences et des phénomènes de résonnance.Les sons, et la musique en particulier, nous les recevons dans toutes les dimensions de notre être. J’avais d’ailleurs écrit un article de blog à ce sujet, que vous pouvez retrouver sur mon site internet.Quels sont les effets des vibrations sonores ? | Blog (naturopathe-en-diois.fr)Prenons déjà conscience que les sons sont omniprésents à l’extérieur comme à l'intérieur de nous et que lorsque nous nous isolons en quête de silence, c’est plus souvent nous extraire de l’environnement sonore lié à l’activité et à la communauté humaine, pour nous plonger dans les sons de la nature.Comme dans chacun des épisodes de ce podcast, je vous invite à mettre de l’attention; aujourd'hui, de l'attention sur les sons et les musiques dans lesquels vous baignez : lesquels vous font vous sentir bien ? Lesquels vous envahissent ? Lesquels sont devenus tellement familiers que vous ne les entendez même plus ?Comment chaque son, chaque note jouée, chantée, vibrée, projetée vient à votre rencontre, rentre en contact avec votre corps, l’espace de votre être, et le transforme ?Avez-vous remarqué comment la musique vous relie : à vous, aux autres ? Certaines chansons sont associées à des souvenirs, des périodes de vie, et vous transportent instantanément, parfois très loin !De la même manière, vous avez certainement déjà repéré les musiques qui vous apaisent, qui vous donnent le sourire, ou l’irrépressible envie de danser… Et si vous reconnaissiez la musique en général et ces musiques-là en particulier comme des ressources à mobiliser pour prendre soin de vous, autrement que ponctuellement ou spontanément ? Et si vous vous vous créiez des playlists pour prendre soin de vous ? Des playlists sur mesure, rien qu’à vous ! Dans de nombreuses cosmogonies, le son précède la matière, la façonne, donne forme. Alfred Tomatis est arrivé au même point de vue : « Tout être est plongé dans une structure sonore qui le sculpte ». Les travaux de Joël Sternheimer concernant les protéodies semblent confirmer ce point de vue.Comment les musiques que vous écoutez façonnent votre être ? Comment votre environnement sonore vous sculpte-t-il ?Je vous propose de vivre a musique avec une attention nouvelle, une écoute nouvelle, pas seulement avec les oreilles, mais avec tout votre être.Crédit photo: FreepikHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cette saison 3 de Prendre soin de l’être, qui va nous accompagner de manière légère et joyeuse à travers l’été, nous allons lâcher le cadre habituel : pas de thématique spécifique, une autre régularité… pour plonger dans l’élan spontané et l’envie de l’instant.Tous les épisodes parleront bien sûr du Prendre soin de toutes les parts de soi. Et nous butinerons les fleurs qui se présentent de manière impromptue.Aussi, si un sujet vous inspire et si vous souhaitez le voir aborder ici, c’est le moment de le partager en commentaire !Pensez à vous abonner pour être informés de la diffusion des épisodes !Crédit photo: FarahHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, nous allons visiter l’espace du rituel à travers un voyage olfactif. C’est le deuxième épisode spécial qui vient clôturer la saison 2 de Prendre soin de l’être. Dans cette saison, nous avons abordé le rituel à partir de ce qu’on peut mettre en place concrètement dans son quotidien, et qu’à partir de là, le rituel opère bien au-delà, dans le domaine de l’invisible.L’idée de ce voyage olfactif aujourd’hui, c’est de venir rencontrer cet invisible.Je vous propose à travers ce voyage olfactif de vous relier à ce qui est là et qu’on ne voit pas, et que l’on peut percevoir. Ce qui, dans ce monde invisible relie, connecte le vivant au vivant.Cet espace de résonnance, d’interconnexion, on y a accès simplement parce qu’il est là et qu’on peut le percevoir. Ce voyage olfactif vous propose de vous ouvrir à cette expérience-là. Il n’y a rien à faire avec la tête, ni avec la volonté ; juste se rendre disponible.Vous pouvez réaliser ce voyage avec une odeur comme celle de l’encens, la verveine citronnée, le jasmin, le lotus, ou toute odeur qui vous relie à cet invisible qui est bien là, tout odeur qui vous connecte à quelque chose de plus grand, plus vaste, d’inappréhendable.Une fois installé confortablement, en ayant pris soin de créer un espace dans lequel vous ne serez pas dérangé, vous pourrez laisser votre corps se déposer sans retenue, laisser le souffle vous traverser avec fluidité, et vivre cette expérience juste différente, inhabituelle.Crédit photo BestdesignsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode spécial qui vient clôturer la saison 2 de Prendre soin de l'être, je donne la parole à Sandra Clausse, fondatrice de Ardevie Beauté Naturelle.Le concept Ardevie, à la croisée de l'esthétique et de la naturopathie, prône et diffuse la beauté intégrale, en associant une gamme de cosmétiques naturels, la transmission d'un mode de vie, des expériences multisensorielles invitant à revenir à soi et des compléments alimentaires.C'est tout un univers que Sandra nous invite à explorer, et la possibilité de prendre soin de soi et de sa santé à partir d'une approche de la beauté en profondeur et en sensibilité.Plus d'informations sur Ardevie:Fournisseur cosmétiques naturels bio - ARDEVIE - Beauté Naturelle (ardevie-beaute.fr)Instagram: @ardevie.beauté.naturelleHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous arrivons au terme de la saison 2, et c’est peut-être le moment de porter un regard en arrière et de constater : au fil de ces 15 semaines de partages et de rituels, qu’est-ce qui a changé pour vous ?Dans l’attention que vous vous portez, dans les petites choses du quotidien, dans les opportunités que vous saisissez…J’avais partagé au début de cette saison qu’un rituel, pour moi, est ce qui permet de nous rendre disponibles et réceptifs à la magie de la vie, la voir, la reconnaître, la laisser œuvrer.Nous avons pu constater que chaque moment d’une journée peut être une occasion pour cela : le réveil (S2E2), les repas (S2E4), la toilette (S2E5), les bonjours et les aurevoirs (S2E9), le coucher (S2E13) ; nous avons partagé des pratiques simples et soutenantes pour rentrer dans cet espace de transformation : le brossage à sec (S2E3), la place médecine (S2E6), le temps pour soi (S2E7), la gratitude (S2E8), la médecine du beau (S2E10), la météo intérieure (S2E11), le sourire intérieur (S2E12) ; jusqu’au partage de la semaine dernière autour de la souveraineté (S2E14).A ce point du chemin, qui n’est pas un terme, qui est juste une étape, que voyez-vous de vous ? Quels ont été vos élans ? vos découvertes ? vos expérimentations ? vos inspirations ? Quelles ont été vos difficultés ? vos limitations ? vos freins ? vos résistances ?Et comment vous pouvez célébrer ici ce jeu de la vie auquel vous avez joué jusque-là ? Juste ça ! Il n’y a pas d’évaluation à cet endroit, pas de réussite ni d’échec (cf S1E11), juste se réjouir d’être là à ce moment, comme vous pourriez vous réjouir ‘dune fleur éclose dans votre jardin, de son parfum, de sa beauté éphémère…Il y a mille manières de célébrer ; quelle serait la tienne ? Quelle manifestation joyeuse serait l’expression de ce regard doux et aimant, bienveillant, soutenant que tu peux poser sur toi aujourd’hui ? Une danse ? Un chant ? Un poème ? Un mandala ? une offrande à la vie que tu es à cet instant ?Un acte symbolique de reconnaissance de qui tu es maintenant et qui est appelé à évoluer, encore et encore.Et cette évolution peut également être l’objet d’un rituel d’intention. Celui que je vous propose, c’est la lettre à soi-même dans… 3 mois, 6 ou 9 mois ; à moins que ce ne soit 3 ans…Dans cette lettre, vous pouvez observer celui ou celle que vous serez après ce délai : observer, imaginer, décrire la vie qui sera la vôtre telle que vous vous la souhaitez après tout ce temps, vos réalisations, vos évolutions…Décrire cela dans une lettre puis la laisser de côté, ou mieux, la confier à une personne ressource qui vous la redonnera une fois le délai écoulé, pour que vous puissiez constater à quel point votre pouvoir de manifestation est grand ! Pour témoigner, partager, commenter autour de votre célébration du chemin parcouru, sur la saison toute entière ou sur cet épisode spécifiquement, c’est ici : https://www.facebook.com/share/v/FHF7DtzQvFyHonWf/Crédit photo: wavebreakmedia_micro Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La question que j’ai envie de te poser aujourd’hui c’est : qu’est-ce qui motive tes choix ? Pour quoi ou pour qui, ou bien contre quoi ou contre qui fais-tu ce que tu fais ? Où ta motivation trouve-t-elle sa source ?Je partage cette question qui est venue me percuter une fois encore ces derniers jours, à travers une circonstance relativement anodine, avec des résonnances dans plusieurs domaines de ma vie.Plus je chemine et plus la notion de santé holistique me paraît en résonnance étroite avec la notion de souveraineté : s’épanouir pleinement dans sa vie, à tous les plans de son être, c’est déjà le choisir et se choisir ; j’ai du mal à croire que ça puisse être le fruit du hasard ou des circonstances.La question de la souveraineté me paraît centrale en matière de santé physique.Il y a d’abord cette idée de l’approche conventionnelle que nous subissons l’attaque d’un méchant microbe et que nous tombons malade : paradigme d’impuissance totale !Et puis il y a cette manière de relationner avec le symptôme et de lui donner tout pouvoir sur nous : « je ne peux pas parce que j’ai tel symptôme ».L’approche naturopathique nous invite à un renversement de paradigme pour reprendre la responsabilité de sa santé. Un symptôme exprime un déséquilibre du terrain préalable, et, non seulement, comme j’ai laissé le déséquilibre s’installer, je peux agir sur le terrain pour le rééquilibrer, mais encore je peux prendre soin du terrain avant que le déséquilibre ne se manifeste et faire ainsi de la prévention de santé.Et puis il y a bien sûr tous les autres domaines de la vie : à quoi je donne du pouvoir sur moi : la météo extérieure, mes proches, mon travail, la situation économique, politique, sociale, l’argent ou le manque d’argent, mon habitat etc. Les possibilités sont tellement nombreuses !Et si cela n’était pas le problème, que choisirais-tu ? C’est encore un exercice de changement de point de vue : défocalisation, désidentification, refocalisation… Et c’est aussi une question très simple que tu peux te poser, comme un mantra, dans toutes les circonstances de ta vie.On arrive là au rituel, le rituel tout simple pour retrouver ton élan du cœur, ta boussole intérieure : si cela n’était pas le problème, que choisirais-tu ?Access consciousness propose une autre formulation, qui revient au même : est-ce qu’un être infini choisirait cela ? Sous-entendu qu’un être infini n’a aucune limitation, aucun conditionnement, aucun point de vue, aucun à priori, il a simplement et entièrement le choix, un choix qui s’ancre dans le tout possible.Car à partir du moment où tu formules que, peut-être, cela n’est pas le problème, tu te replaces au centre de ta vie, au centre de la Vie et de tous les possibles, et en particulier ceux que tu n’as pas envisagés, imaginés, considérés ; et alors, de nouvelles perspectives, de nouvelles possibilités se font jour. Là, quelque chose change, quelque chose se transforme. Là, la Vie peut te soutenir et œuvrer.Cette question toute simple revient à créer de l’espace en toi. Elle peut constituer un rituel à elle toute seule. Ou tu peux l’accompagner d’une pratique d’expansion.Pour commenter, partager, témoigner, c'est ici!Crédit photo : margouillatphotosHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le coucher est un moment important, précieux. Il l’est pour les enfants, il l’est pour tous. Moment de passage entre la veille et le sommeil, comme toute transition, il est opportunité.Le moment du coucher c’est un moment pour choisir : ce que je laisse derrière avec cette journée qui se termine ; ce à quoi je m’ouvre comme je m’ouvre à la nuit ; ce que je m’offre de rencontrer en moi ; ce que j’accepte de recevoir pendant que mon cerveau cognitif est au repos…Pendant la nuit, le cerveau cognitif est au repos, la vigilance lâche, de même que dans le corps toute activité volontaire est à l’arrêt. Pour autant, nous ne sommes pas qu’un corps mu par la volonté. Pendant la nuit, tous les autres espaces de nous dont nous sommes plus ou moins conscients peuvent s’activer.On dit souvent que la nuit porte conseil ; il s’agit bien de cela : tout ce qu’on peut recevoir pendant son sommeil alors que la vigilance consciente est levée. Cette vigilance fait souvent barrage : pour écarter tout danger potentiel, elle élimine aussi toute possibilité hors du champ du connu.Le coucher, c’est aussi un moment pour se retrouver, se reconnecter à soi après une journée souvent bien remplie, pleine de sollicitations et d’attention portée à l’extérieur.Comment te reconnectes-tu à toi avant d’aller dormir ? Il y a plein de rituels que j’ai évoqués dans les épisodes précédents qui sont autant de ressources pour se connecter à soi au coucher : la météo intérieure (S2E11), le rituel de gratitude (S2E8), la toilette (S2E5), un temps pour soi (S2E7)…Tu en as peut-être au moins autant d’autres qui te sont propres : une méditation, une pratique respiratoire, une lecture inspirante, une prière, un temps d’écriture spontané, l’écoute d’une musique relaxante…Et puis, il y a tout l’environnement qui contribue à cette transition : lumière qui se tamise peu à peu, sons qui s’atténuent, mouvements qui ralentissent… Le vivant aime les transitions (relativement) douces : la nuit tombe progressivement, les jours rallongent ou diminuent peu à peu (et on peut voir à l’occasion des changements d’heure ou de fuseaux horaires comment cette progressivité est facilitante pour notre adaptation !)Le moment du coucher, c’est, comme le moment du lever, l’occasion de poser des intentions : quelle inspiration je me propose de recevoir cette nuit ? qu’est-ce que j’aspire à vivre demain ?... Poser une intention, c’est orienter son attention. Je l’ai déjà dit, l’attention c’est un engrais qui permet que ce sur quoi elle se pose se manifeste. Le coucher, c’est ce moment où tu peux mettre de l’engrais sur tes rêves, tes ambitions, tes valeurs.Le coucher, c’est aussi le moment de s’en remettre à plus grand que soi. Parce que justement, tu ne contrôles pas ce qui se passe pendant ton sommeil, c’est le moment de choisir de laisser la vie te soutenir et de recevoir : la régénération, la récupération dans le corps ; l’intégration émotionnelle, psychique, cérébrale ; les processus de conscience, les ressources de l’invisible…Pour partager, témoigner, échanger, c'est ici!Crédit photo: Briliant EyeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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