L'auteur qui parle à notre âme - Jacques Martel (2/2)
Description
[PARTENAIRE] Et si, pour Noël, vous souffliez une idée lumineuse à vos proches 💡🎁 Grâce à mon partenaire Dayvia, faites-vous offrir du bien-être. Une lampe ou des lunettes de luminothérapie, c’est la garantie de plus d’énergie, d’un meilleur sommeil, et d’un moral boosté pour affronter l’hiver.
➡️ Rendez-vous dès maintenant sur https://dayvia.com/pages/lapetitevoix
Aujourd’hui, j’accueille Jacques Martel dans La petite voix.
Peut-être que ce nom ne vous est pas inconnu. Vous avez peut-être déjà consulté Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies, ou entendu parler de sa célèbre technique des "bonhommes allumettes" pour couper les liens d’attachement.
Ce Québécois, formateur, auteur, conférencier et bien plus encore, vous l’entendrez, a pourtant démarré son parcours comme ingénieur électricien pour s’accomplir dans le développement personnel et la spiritualité.
Bienvenue dans un échange riche et passionnant, tellement que j’ai décidé de vous proposer cette conversation en deux parties.
Dans cette deuxième partie, avec Jacques, nous allons parler du long travail - bien accompagné - qui l’a mené à écrire ses livres, de la notion d’attachement et de médiumnité… ou pas !
Quelques notes sur cet épisode :
le site internet de Jacques : https://jacquesmartel.com/
la nouvelle et 3ème édition de son livre : Le Grand Dictionnaire des Maux et des Maladies
Jacques sera dans le sud de la France pour des conférence fin février / début mars 2025 - A voir sur son site internet
son conseil lecture : La vie des maitres
RETRANSCRIPTION DE L'EPISODE 2/2 AVEC JACQUES MARTEL
Il y a quand même un morceau et pas des moindres qu'on a oublié dans ton parcours. Avant les ateliers, il y a eu cet ouvrage, le dictionnaire des maladies et des malaises. Ça a été comme la fondation de tout le travail qui est venu. Après ? Tu vois, quand j'étais en développement personnel, dans les débuts, les gens disaient « Ah, moi, quand j'ai un malaise ou une maladie, je vais dans un livre de Lis Bourbeau. » Ah, OK. Ou un autre disait « Mais moi, je vais plutôt dans le livre de Louise Hay. » Ah, bon, OK. « Je vais plutôt dans tel autre livre et tel autre livre. » Je me suis dit « Bon, moi, je vais sortir un livre. Il n'y aura pas besoin d'acheter quatre-cinq.
Ils vont en acheter juste un, ça va être le mien. Ils vont avoir leur réponse. » Alors, c'est là qu'en janvier, en janvier 91, j'ai commencé le manuscrit. Et pendant six des sept ans que le travail a duré, il s'appelait « Le dictionnaire de la médecine de l'âme ». Là, on parle de 97. Mes amis en haut m'ont dit « Oui, mais vois-tu un médecin qui aurait entre les mains un livre qui s'appelle « Le dictionnaire de la médecine de l'âme » ? » Ça fait qu'ils m'ont suggéré de mettre « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies ». Ça passerait mieux. Plus accessible. Oui. Moins ésotérique. C'était ça le but, oui. OK. 98, donc ça fait 26 ans.
La conscience a changé à ce niveau-là. Sur YouTube, maintenant, il y a des gens qui font des expériences de mort imminente, des médiums, il y a toutes sortes de trucs. L'information, il y a toutes sortes de trucs qui existent maintenant. Vois-tu, là ? Tu as raison, mais de là à penser qu'un médecin, en tout cas, je te parle en France et de ce que je connais moi, que des médecins aient un livre sur leur table qui s'appellerait « La médecine de l'âme ». Il y a un peu de boulot, hein ? Non, il n'est pas sur la table, mais ils l'ont dans leur bureau. Dans le carbone bien caché. Oui, oui, mais non. Il y en a qui l'ont.
Et je suis content que les médecins utilisent ça, parce que, comme individu, des fois, la personne qu'on va voir, si on a une maladie, en premier temps, souvent, ça va être un médecin. Mais le médecin, on s'attendrait qu'il sache tout, mais il sait tout. Il risque d'étudier jusqu'à l'âge de 60 ans avant de commencer sa pratique. Ce sera trop tard après pour pratiquer. Voilà. Mais, tu sais, si une femme, par exemple, je ne sais pas moi, qui a une certaine maladie, je ne sais pas si on parle du cancer, du sein, c'est de s'en faire pour ses enfants ou ce qui représente ses enfants. Si la personne a ce type de maladie, mais si le médecin est capable de lui dire : « bien là, est-ce que vous en faites pour vos enfants ?
», tout ça, il faudrait remédier à ça ; vous pourriez aller voir quelqu'un pour vous aider, tout ça. Sinon, il peut donner les bons soins, les bons médicaments, ou s'il faut une chirurgie, faire la chirurgie, mais moi, ça ne me regarde pas, cela. Mais si le conflit n'est pas réglé, au bout de six mois, on peut vous donner, après une vérification. Ça se peut que le médecin dise, bien, madame, j'ai une mauvaise nouvelle, vous avez une récidive, parce que le conflit est toujours présent. Moi, là, un jour, quand je dis un jour, là, dans mon livre, « Le pouvoir de l'engagement », j'ai mis toutes les fois où j'ai dit un jour, puis c'est arrivé. Et là, je le dis un jour, je ferais des conférences à des médecins.
Je ne connais pas la médecine, c'est eux autres qui connaissent la médecine. Mais moi, là, chez les individus ou les compagnies, j'aide les gens à faire mieux dans ce qu'ils font déjà très bien. Puis, moi, quand je vais voir un médecin, je me la ferme sur mes trucs, mes trucs métaphysiques, parce que moi, ce n'est pas moi, moi, je n'ai pas appris la médecine. Je prends l'information qu'ils me donnent, merci. Si j'ai des prises de sang, tout ça, ils vont me dire, si, ça, le cholestérol, ça va, le glycémie, bon, c'est un peu haut, bon. Ensuite, oui, bon. Alors, je tiens compte de cela. Et c'est pour ça que moi, j'ai mes prises de sang aux trois mois au lieu des six mois, parce qu'étant donné que le stress, tout changement, même positif, c'est un stress, ça peut jouer sur la santé physique.
Je veux me rendre compte tout de suite, il y a eu des changements qui se sont faits dans mon corps physique. Ça me ferait très, très, très, très grand plaisir qu'il y ait de plus en plus, de plus en plus de médecins qui utilisent le livre Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies, parce qu'ils pourraient aider leurs clients. Ça n'empêche pas que la personne peut avoir besoin de médicaments. Ça n'empêche pas que la personne peut avoir besoin de traitements ou de chirurgie ou de quoi que ce soit. Mais est-ce que ça peut aider ? Pourquoi pas informer des gens ? Il y a un truc que j'ai envie de souligner, et c'est hyper important pour moi, et j'apprécie que tu insistes là-dessus dans ton discours.
Le dictionnaire, là, il n'est pas là pour remplacer la médecine, et tu n'es pas en train de rejeter l'approche conventionnelle. On est en train de dire que toi, tu ajoutes ce supplément d'âme, pour le coup, tu vois, pour revenir au nom régional. Et dans la nouvelle édition, maintenant, j'ai mis Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies en sous-titre Le Dictionnaire de la médecine de l'âme et des émotions. Tu lui as redonné. Oui, mais je ne l'ai pas mis en gros titre, parce que l'autre titre est connu depuis 25 ans. Puis, il y a une nouvelle édition qui vient de sortir, là, il y a quelques mois. Oui, depuis mars 2024. Deux fois plus d'énergie que la deuxième édition, 30 % plus d'informations, tous les textes ont été revisés, et tous les textes ont été revérifiés aussi, ce qui n'était pas le cas de la première à la deuxième édition.
Revérifiés par ? Par Lucie Bernier, surtout. C'est ta collaboratrice depuis 35 ans ? Disons qu'on se connaît depuis 35 ans. A commencé à travailler sur la première édition plutôt au niveau du français. Sur la deuxième édition, on a travaillé plus que 2 000 heures sur la deuxième édition, en 2007. Et là, on a travaillé pendant environ trois ans et demi à temps plein, presque. Moi, j'ai fait beaucoup de recherches dans la troisième édition. Par exemple, je ne sais pas moi, il y en avait dans la deuxième, mais par exemple, la maladie de Parkinson. Pourquoi c'est Parkinson ? Parkinson était soit médecin ou chimiste, je ne sais pas pourquoi, qui a découvert les symptômes qui ont rapport à la maladie telle ou telle. Je ne sais pas. Donc, ça a donné son nom à la maladie.
Tous ceux qui ont la maladie de Huntington, la maladie de, la maladie de, la maladie de, je suis tout allé chercher pourquoi on avait mis ce nom-là. Et souvent, merci à ces gens-là qui ont pu identifier la maladie. Parce que dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison, qui est la connaissance, l'ouverture, le lâcher-prise, l'acceptation et l'action, la connaissance est importante. Alors, le fait de connaître la maladie, ça a permis par la suite aux médecins de développer soit des traitements, des médicaments, du traitement quelconque, que ce soit opération ou autre, je ne sais pas quoi. Cette connaissance-là a permis de faire avancer la médecine. Et moi, je trouvais ça important que les gens sachent la contribution de tous ces chimistes, biochimistes, médecins, spécialistes qui ont contribué au niveau médical.
Je t'écoute et je me dis, j'ai l'impression qu'on tisse comme un fil rouge par rapport à ton parcours, par rapport au dictionnaire qui est toujours de ramener le visible et l'invisible ensemble. On les réunit, ça fait du sens ensemble. Non, mais c'est bien que tu l'apportes parce que moi, depuis les premières heures que j'ai travaillé sur le grand dictionnaire des malaises et maladies, janvier 91, fin janvier 91, je savais que les maîtres ont décidé de prendre les malaises