Retrouvailles avec un chef que j'aime particulièrement et que j’ai déjà eu le plaisir d’interviewer sur ce podcast, un talent inclassable : Alexandre Mazzia !Vous le connaissez sûrement car c’est l’un des plus grands noms de la gastronomie contemporaine, une cuisine absolument incomparable, un geste et une vision sans équivalent, mais c’est un chef discret alors j’ai voulu lui proposer ce format EXPERIENCE-S pour qu’il partage un peu plus avec nous de son parcours et surtout de sa vision du métier.Si vous ne l’avez pas fait d’ailleurs je vous invite à écouter l’épisode que je lui avais consacré pour connaître son histoire, pour voir comment le sport a infusé sa vie et sa manière d’appréhender sa discipline.On va donc parler ici de créativité, on va parler des autres, de l’équipe, de celle avec qui on mène le jeu, de celle aussi qui nous soutient dans l’ombre entre deux rencontres, entre deux services !On va parler des victoires et de défaites, bref on va refaire le match, et lui va jouer à domicile.Je retrouve le chef Alexandre Mazzia dans son restaurant du 8ème arrdt de Marseille un matin alors que son équipe s’gite derrière nous vous allez l’entendre pour lui proposer d’embarquer une nouvelle fois avec moi sur CHEFS !Pour découvrir l'univers AM c'est par ici !Pour découvrir notre partenaire et me rejoindre dans le Club Pepites, c'est par là !PROD: NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisateur: Nathan Cohen CHAPITRES : 00:00:00 - Chapitre 00:01:45 - Son kiff en cuisine 00:04:18 - Le truc pénible en cuisine 00:07:15 - La révélation pour la cuisine 00:11:12 - Une figure marquante... 00:15:07 - L'erreur qu'on ne fera plus 00:18:00 - Un mauvais service 00:21:05 - Et l'entourage dans tout ça ? 00:23:50 - Les questions des auditeurs de CHEFS
Voici une histoire que j’espérais depuis longtemps me voir confier, celle du chef Arnaud Donckele.Mais jusqu'à lors on a eu du mal à se trouver car vous le savez sûrement, il a la particularité de diviser son temps pour résumer entre deux restaurants réunis sous la bannière Cheval Blanc. L’un se trouve à St Tropez, l’autre au premier étage de la Samaritaine, au cœur de Paris, là précisément où, en ce matin de novembre il m’a donné rendez-vous.Il est 9h45 quand j’installe les micros dans le petit salon. Dehors le ciel est chargé, le mercure frôle les 0 degrés, on sent que l’hiver va arriver et je me dis qu’on pourrait le passer ici, à regarder Paris.Juste au-dessus de la Seine. Au-dessus du va et vient des piétons, des files de voiture… Car non ce restaurant il n’as pas été installé au sommet, de l’immeuble, et ça en dit beaucoup... Il n'est pas déconnecté, il n’est pas clinquant et il sait saisir la ville. De ce point-là, on embrasse le pont qui conduit à l’île, les façades, les quais, on a pile la bonne hauteur pour saisir la poésie, pour en être sans s’y perdre…Vous allez découvrir le portrait d’un homme qui n’aime rien moins justement que la satisfaction d’être au sommet. Comme quoi on peut rester soi, à la bonne hauteur, alors que sur le papier, du guide rouge notamment on fait partie des plus grands…Vous allez découvrir l’histoire d’un chef qui porte aujourd’hui six étoiles entre deux restaurants. De celui qui a cueilli les trois dernières d’un coup et en quelques mois seulement. D’un homme qui place l’humain au centre de tout et fait du cœur celui de son attention, voici l’histoire d’Arnaud Donckele.PROD : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisation : Nathan CohenPour découvrir la Vague d'Or, le restaurant d'Arnaud Donckele à Saint Tropez c'est ici !Pour découvrir Plénitude, le restaurant d'Arnaud Donckele à Paris, c'est là !
Voici une histoire que j’espérais depuis longtemps me voir confier, celle du chef Arnaud Donckele.Mais jusqu'à lors on a eu du mal à se trouver car vous le savez sûrement, il a la particularité de diviser son temps pour résumer entre deux restaurants réunis sous la bannière Cheval Blanc. L’un se trouve à St Tropez, l’autre au premier étage de la Samaritaine, au cœur de Paris, là précisément où, en ce matin de novembre il m’a donné rendez-vous.Il est 9h45 quand j’installe les micros dans le petit salon. Dehors le ciel est chargé, le mercure frôle les 0 degrés, on sent que l’hiver va arriver et je me dis qu’on pourrait le passer ici, à regarder Paris.Juste au-dessus de la Seine. Au-dessus du va et vient des piétons, des files de voiture… Car non ce restaurant il n’as pas été installé au sommet, de l’immeuble, et ça en dit beaucoup... Il n'est pas déconnecté, il n’est pas clinquant et il sait saisir la ville. De ce point-là, on embrasse le pont qui conduit à l’île, les façades, les quais, on a pile la bonne hauteur pour saisir la poésie, pour en être sans s’y perdre…Vous allez découvrir le portrait d’un homme qui n’aime rien moins justement que la satisfaction d’être au sommet. Comme quoi on peut rester soi, à la bonne hauteur, alors que sur le papier, du guide rouge notamment on fait partie des plus grands…Vous allez découvrir l’histoire d’un chef qui porte aujourd’hui six étoiles entre deux restaurants. De celui qui a cueilli les trois dernières d’un coup et en quelques mois seulement. D’un homme qui place l’humain au centre de tout et fait du cœur celui de son attention, voici l’histoire d’Arnaud Donckele.PROD : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisation : Nathan CohenPour découvrir la Vague d'Or, le restaurant d'Arnaud Donckele à Saint Tropez c'est ici !Pour découvrir Plénitude, le restaurant d'Arnaud Donckele à Paris, c'est là !
Voici une histoire que j’espérais depuis longtemps me voir confier, celle du chef Arnaud Donckele.Mais jusqu'à lors on a eu du mal à se trouver car vous le savez sûrement, il a la particularité de diviser son temps pour résumer entre deux restaurants réunis sous la bannière Cheval Blanc. L’un se trouve à St Tropez, l’autre au premier étage de la Samaritaine, au cœur de Paris, là précisément où, en ce matin de novembre il m’a donné rendez-vous.Il est 9h45 quand j’installe les micros dans le petit salon. Dehors le ciel est chargé, le mercure frôle les 0 degrés, on sent que l’hiver va arriver et je me dis qu’on pourrait le passer ici, à regarder Paris.Juste au-dessus de la Seine. Au-dessus du va et vient des piétons, des files de voiture… Car non ce restaurant il n’as pas été installé au sommet, de l’immeuble, et ça en dit beaucoup... Il n'est pas déconnecté, il n’est pas clinquant et il sait saisir la ville. De ce point-là, on embrasse le pont qui conduit à l’île, les façades, les quais, on a pile la bonne hauteur pour saisir la poésie, pour en être sans s’y perdre…Vous allez découvrir le portrait d’un homme qui n’aime rien moins justement que la satisfaction d’être au sommet. Comme quoi on peut rester soi, à la bonne hauteur, alors que sur le papier, du guide rouge notamment on fait partie des plus grands…Vous allez découvrir l’histoire d’un chef qui porte aujourd’hui six étoiles entre deux restaurants. De celui qui a cueilli les trois dernières d’un coup et en quelques mois seulement. D’un homme qui place l’humain au centre de tout et fait du cœur celui de son attention, voici l’histoire d’Arnaud Donckele.PROD : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisation : Nathan CohenPour découvrir la Vague d'Or, le restaurant d'Arnaud Donckele à Saint Tropez c'est ici !Pour découvrir Plénitude, le restaurant d'Arnaud Donckele à Paris, c'est là !
Voici une histoire que j’espérais depuis longtemps me voir confier, celle du chef Arnaud Donckele.Mais jusqu'à lors on a eu du mal à se trouver car vous le savez sûrement, il a la particularité de diviser son temps pour résumer entre deux restaurants réunis sous la bannière Cheval Blanc. L’un se trouve à St Tropez, l’autre au premier étage de la Samaritaine, au cœur de Paris, là précisément où, en ce matin de novembre il m’a donné rendez-vous.Il est 9h45 quand j’installe les micros dans le petit salon. Dehors le ciel est chargé, le mercure frôle les 0 degrés, on sent que l’hiver va arriver et je me dis qu’on pourrait le passer ici, à regarder Paris.Juste au-dessus de la Seine. Au-dessus du va et vient des piétons, des files de voiture… Car non ce restaurant il n’as pas été installé au sommet, de l’immeuble, et ça en dit beaucoup... Il n'est pas déconnecté, il n’est pas clinquant et il sait saisir la ville. De ce point-là, on embrasse le pont qui conduit à l’île, les façades, les quais, on a pile la bonne hauteur pour saisir la poésie, pour en être sans s’y perdre…Vous allez découvrir le portrait d’un homme qui n’aime rien moins justement que la satisfaction d’être au sommet. Comme quoi on peut rester soi, à la bonne hauteur, alors que sur le papier, du guide rouge notamment on fait partie des plus grands…Vous allez découvrir l’histoire d’un chef qui porte aujourd’hui six étoiles entre deux restaurants. De celui qui a cueilli les trois dernières d’un coup et en quelques mois seulement. D’un homme qui place l’humain au centre de tout et fait du cœur celui de son attention, voici l’histoire d’Arnaud Donckele.PROD : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoCo-réalisation : Nathan CohenPour découvrir la Vague d'Or, le restaurant d'Arnaud Donckele à Saint Tropez c'est ici !Pour découvrir Plénitude, le restaurant d'Arnaud Donckele à Paris, c'est là !
Matthias Marc débarque dans CHEFS en mode experience-s !Vous connaissez la formule, ici je pose des questions simples aux chefs qui, pour y répondre racontent une anecdote de leur parcours, mais surtout l’enseignement qu’ils en ont tiré.Matthias Marc donc se prête au jeu ! 31 ans et déjà un sacré parcours... Alors oui, on l’a découvert dans Top Chef, demi-finaliste de la douzième saison il était de la promo Arnaud Baptiste, Thomas Chisholm, Sarah Mainguy quand Mohamed Cheikh a plié le game. C’est le chef qui avait fait ce plat devenu culte lors d’une épreuve : « l’apologie de l’excès » où le jury devait déguster cinq sauces aux saveurs extrêmes mais dont au final, la réunion créait une harmonie parfaite.Mais Matthias, il n’a pas traîné et il n’a pas attendu la télé pour se lancer, son premier restaurant il l’a ouvert à 25 ans, Substance c’était en 2018, et quatre ans plus tard, première étoile !Ses racines elles restent plantées dans les forêts de Franche-Comté mais c’est à Paris qu’il a choisi de faire vibrer sa cuisine.Vous allez voir que le mot "expérience" convient à toutes les générations et qu’on peut être un jeune chef et avoir déjà un sacré recul sur sa discipline !Pour découvrir les restaurants de Matthias Marc:Substance, Liquide et Braise.Pour découvrir les ouvrages de Gwilherm de Cerval c'est par ici. CHAPITRES : 00:00:00 - Chapitre 00:01:44 - La révélation 00:10:12 - Le kif en cuisine 00:15:08 - Le processus créatif 00:18:35 - L'erreur qu'il ne refera jamais 00:22:23 - Le mauvais service 00:25:14 - Le plus beau souvenir 00:26:16 - Quand l'étoile tombe feat. G. de Cerval 00:33:26 - La critique 00:38:46 - Et l'entourage ds tout ça ? 00:36:46 - L'éxutoire 00:43:10 - Pourquoi cuisinez vous ?
Cette semaine j’ai passé un coup de fil à Patrice Duchemin, Sociologue expert de la consommation car j’ai lu de lui un billet à propos des coffee shop et c’est vrai que lorsqu’on se ballade en ville aujourd’hui, on voit que ça fleurit, alors on va parler de ces nouveaux comptoirs et décrypter un peu le phénomène.Coffee shop vs bistrot, pour notre expert, y a pas photo!Coup de fil ensuite au chef Romain Meder car il s’apprête à poser ses couteaux pour quelques jours seulement chez Cravan. Romain Meder, celui qui a mis en scène la naturalité aux côtés d’Alain Ducasse a fermé récemment son restaurant du domaine de Primard et va, tout bientôt, débuter une nouvelle aventure. Entre deux donc, il propose à celles et ceux qui ne connaitraient pas encore sa cuisine de la découvrir, chez Cravan donc... ET puisque c’est la spécialité de la maison la formule est un accord mets/cocktails et c’est là que c’est intéressant ! CHAPITRES : 00:00:00 - Chapitre 00:17:33 - Romain Meder chez Cravan 00:01:02 - Patrice Duchemin: Coffee Shop vs Bistrot
Amandine Chaignot partage avec nous son-ses experience-s !On lui doit les restaurants Pouliche, le Café de Luce, Rosy et Maria, Nepita, et un tout dernier qui vient d’ouvrir ses portes et dont on va reparler, Sauge, le restaurant où la cheffe accueille désormais au cœur du Perche !Vous le voyez sur le papier elle a déjà beaucoup entrepris, alors forcément je voulais qu’elle nous parle de son parcours, qu’elle nous raconte les enseignements qu’elle avait tirés de toutes ces aventures, d’autant que cette cheffe-là a bien failli ne jamais se trouver en cuisine puisqu’elle avait entrepris des études en pharmacie !Bon heureusement, Amandine Chaignot n’est pas du genre à se raconter des histoires et quand elle a découvert à quoi ressembler l’univers de la restauration, elle n’a pas tergiversé longtemps.Alors rdv est donné avant le service dans la salle du restaurant Pouliche à Paris rue d’enhgien dans le 10ème arrondissement pour justement remonter le fil de toutes ces experience-s qui ont fait d’elle la cheffe qu’elle est aujourd’hui ! CHAPITRES : 00:00:00 - Chapitre 00:01:22 - Le Kiff en cuisine 00:04:07 - Le truc pénible 00:05:35 - Je me suis dit que c'était fait pour moi 00:10:22 - Le temps de la formation 00:13:17 - Un mentor? 00:21:40 - L'erreur que je ne referai jamais plus 00:31:40 - Et l'entourage dans tout ça? 00:37:26 - La règle d'or 00:42:01 - Question d'auditeur (Paul) 00:48:46 - Question d'auditrice (Véronique)
Cette semaine j’ai passé un coup de fil à Alexandre Coing, Directeur Général du Fooding à quelques jours de la sortie d’un objet inattendu, un guide des 100 PMU de France qui mérite le détour.Les 100 bars qui font la France c’est l’inventaire subjectif que le Fooding a dressé ! Des insolites, des bons, des étonnants, des incarnés, voilà la belle idée !Premier objet d’une maison d’édition qui entend se développer car le Fooding continue d’évoluer et c’est ce dont on va finalement parler ! Coup de fil ensuite à Arthur Fogel, fondateur de Refoodgees, la semaine dernière je voulais vous partager notre échange mais à cause d’un câble caractériel l’enregistrement n’était vraiment pas digne d’être partagé! Alors je l’ai rappelé et Arthur a repris le temps de me parler de ce restaurant Bruxellois qui compte dans ses rangs des réfugiés et des primo-arrivants!Le livre de la semaine je vous le dis c’est un must have, si vous aimez les livres de cuisine, celui-là a évidemment sa place dans votre bibliothèque. On ne parle pas de recettes, ce n’est pas un livre de chef, non c’est un livre qui vous plonge dans l’histoire d’une adresse qui a marqué profondément la cuisine moderne ! C’est un livre qui a choisi de la faire raconter par une centaine d’initié.e.s, c’est un récit de bouches entrecroisé.e.s pour rendre enfin au Chateaubriand, le restaurant porté par Inaki Aizpitarte et Fred Peneau en tête, la place qui est la sienne. Ce livre c'est "Le Château" et on le doit à un duo: Stéphane Peaucelle-Laurens pour Entorse edition et François Chevalier qui a piloté plus de trois ans d’écriture et d’interviews. C'est ce dernier qui nous présente ce projet hors-norme et incontournable !Et pour la fin du service comme chaque mercredi, je vous proposerai un édito fait maison et là je n’appellerai personne, non je vous dirai mon sentiment, une réflexion qui s’est pointée entre deux sublimes sushis chez Hakuba, je voudrais vous parler de cette drôle d’idée : le quatre mains !Pour des infos sur le guide FOODING à venir (sortie le 21 novembre), c'est par ici ! Pour découvrir Hakuba, c'est par là ! CHAPITRES : 00:00:00 - Sommaire 00:01:58 - PMUxLe Fooding - Alexandre Coing 00:19:55 - Refoodgees - Arthur Fogel 00:27:42 - Le Château - François Chevalier 00:42:47 - Edito - le quatre mains
Cette semaine, j’ai passé un coup de fil à Joannes Richard, chef restaurateur qui se consacre désormais au burger ! A une semaine du championnat du monde de la discipline aux états unis, on va parler au tenant du titre parce que oui c’est lui, un français. Johannes Richard dans un instant en ligne, depuis Indianapolis pour nous parler aussi de son livre et de son prochain projet business, un modèle inédit vous l’entendrez!Cette semaine épisode très court car gros fail, je voulais partager une conversation que j’ai eu récemment Arthur Fogel qui a crée à Bruxelles Refoodgees : un restaurant qui offre des formations d’un an en cuisine et en salles à des personnes réfugiées et primo arrivantes. Mais un problème technique nous oblige à remettre la diffusion de cet échange.Donc ça part en plat direct et pour le dessert comme chaque mercredi un edito fait maison par lequel je voulais partager un souvenir récent un peu chiffon, je vais vous raconter le jour où j’ai rencontré un chef… « qui s’amuse ». CHAPITRES : 00:00:00 - Chapitre 00:01:45 - Joannes Richard 00:12:00 - Edito: le chef "s'amuse" !
Cette semaine j’ai passé un coup de fil à Anne Etorre, à l’occasion de la sortie du livre "Olympe" qu’elle a écrit sur la cuisinière Olympe Versini! J’ai appelé aussi le chef Damien Duquesne car il s’est mis en tête de virer tous les sodas industriels de sa carte et a inventé la solution pour que ses camarades chefs fassent de même, ça s’appelle Necense et c’est super malin. Coup de fil ensuite à Camille Labro, consœur de talent qui est aussi fondatrice de l’École comestible, une association qu’il faut soutenir à fond et qui fête là maintenant, ses 5 ans.Pour la fin du service je vous proposerai un édito tout chaud où je vous livrerai une réflexion personnelle, où je vous parlerai d’une expérience : je vais vous raconter ce qui m’est arrivé récemment… quand j’ai mangé le meilleur dessert de ma vie… chez Jessica Prealpato ! CHAPITRES : 00:00:00 - CHAUD! 00:03:58 - Anne Etorre: Olympe 00:18:38 - Damien Duquesne : Necense 00:27:24 - Camille Labro : L'École comestible 00:31:33 - Édito : le meilleur dessert de ma vie
Rendez-vous face à la mer, à Marseille, à quelques pas de la corniche Kennedy, au détour d’un petit passage qui débouche sur les rochers, on se retrouve devant le portail de cette bâtisse que toutes celles et ceux qui ont pris cette route littorale ont aperçue, nous voici dans un temple de la gastronomie française : Le petit Nice.Ce n’est pas rien de venir ici, de s’asseoir face au chef et d’entendre cet accent et surtout cette façon unique de prononcer certains mots...Ce n’est pas rien de retrouver dans cette musique la voix de son père et de repenser aux dizaines de fois où à l’arrière de la voiture alors qu’il conduisait on est passé par là, en longeant la mer, lisant ces lettres bleues peintes sur le mur blanc éclatant : PASSEDAT.Sur un rocher, la mer aux pieds, il y a donc là, depuis 1917, entre l’anse de Maldormé et celle de la fausse monnaie, une famille qui cuisine et reçoit Marseille, et qui l’incarne aussi.Ce nom d’ailleurs il est indissociable de la ville. Ici, on s’est battu pour défendre Marseille et faire entendre au loin le nom de cette ville aussi.Ce lieu est ancré là, comme un bateau qui ne voudrait jamais plus quitter son port et qui passe pourtant son temps à regarder vers l’horizon.Cet endroit ressemble à Gérald Passedat ou est-ce l’inverse? Quoi qu’il en soit, il y a là toute l’énergie que vous allez entendre d’un chef qui a su maintenir un héritage et l’emmener vers le Graal de la gastronomie.Cet endroit il est posé, immuable, face à la mer, dans le mistral il se tient fier immobile et en même temps il clame un nom à tous ceux qui passe devant…Pas si calme en fait, il gueule aussi son envie de vivre et d’explorer, son goût pour la densité d’une vie qui ne s’arrête pas quand vient la nuit.Je ne sais pas si je vous parle de cet endroit, de ce chef trois étoiles, si je vous dis que, face à nous, alors que j’allume les micros il y a l’immensité de la mer méditerranée, qu’on est baignés de lumière mais qu’on sent que l’énergie ici sait aussi épouser le tumulte.Les micros sont posés sur une table basse à côté d’un livre sublime que le chef a signé en 2013 et que je possède depuis sa sortie. Ce livre il s’appelle "Des abysses à la lumière", et on pourrait presque s’arrêter la… Mais je vous propose pour éclairer la profondeur de sa cuisine de découvrir l’histoire de Gérald Passedat.Pour découvrir la cuisine du chef, et passez un moment unique dans un endroit sans pareil (on peut pas dire autre chose), c'est par ici !Pour découvrir Club Pépites, notre partenaire de talent qui accompagne les chefs et fait profiter les gastronomes que nous sommes de produits et de moments exceptionnels, c'est par ici !Journaliste & réalisateur : David OrdonoUne production NOLA
Rendez-vous face à la mer, à Marseille, à quelques pas de la corniche Kennedy, au détour d’un petit passage qui débouche sur les rochers, on se retrouve devant le portail de cette bâtisse que toutes celles et ceux qui ont pris cette route littorale ont aperçue, nous voici dans un temple de la gastronomie française : Le petit Nice.Ce n’est pas rien de venir ici, de s’asseoir face au chef et d’entendre cet accent et surtout cette façon unique de prononcer certains mots...Ce n’est pas rien de retrouver dans cette musique la voix de son père et de repenser aux dizaines de fois où à l’arrière de la voiture alors qu’il conduisait on est passé par là, en longeant la mer, lisant ces lettres bleues peintes sur le mur blanc éclatant : PASSEDAT.Sur un rocher, la mer aux pieds, il y a donc là, depuis 1917, entre l’anse de Maldormé et celle de la fausse monnaie, une famille qui cuisine et reçoit Marseille, et qui l’incarne aussi.Ce nom d’ailleurs il est indissociable de la ville. Ici, on s’est battu pour défendre Marseille et faire entendre au loin le nom de cette ville aussi.Ce lieu est ancré là, comme un bateau qui ne voudrait jamais plus quitter son port et qui passe pourtant son temps à regarder vers l’horizon.Cet endroit ressemble à Gérald Passedat ou est-ce l’inverse? Quoi qu’il en soit, il y a là toute l’énergie que vous allez entendre d’un chef qui a su maintenir un héritage et l’emmener vers le Graal de la gastronomie.Cet endroit il est posé, immuable, face à la mer, dans le mistral il se tient fier immobile et en même temps il clame un nom à tous ceux qui passe devant…Pas si calme en fait, il gueule aussi son envie de vivre et d’explorer, son goût pour la densité d’une vie qui ne s’arrête pas quand vient la nuit.Je ne sais pas si je vous parle de cet endroit, de ce chef trois étoiles, si je vous dis que, face à nous, alors que j’allume les micros il y a l’immensité de la mer méditerranée, qu’on est baignés de lumière mais qu’on sent que l’énergie ici sait aussi épouser le tumulte.Les micros sont posés sur une table basse à côté d’un livre sublime que le chef a signé en 2013 et que je possède depuis sa sortie. Ce livre il s’appelle "Des abysses à la lumière", et on pourrait presque s’arrêter la… Mais je vous propose pour éclairer la profondeur de sa cuisine de découvrir l’histoire de Gérald Passedat.Pour découvrir la cuisine du chef, et passez un moment unique dans un endroit sans pareil (on peut pas dire autre chose), c'est par ici !Pour découvrir Club Pépites, notre partenaire de talent qui accompagne les chefs et fait profiter les gastronomes que nous sommes de produits et de moments exceptionnels, c'est par ici !Journaliste & réalisateur : David OrdonoUne production NOLA
Rendez-vous face à la mer, à Marseille, à quelques pas de la corniche Kennedy, au détour d’un petit passage qui débouche sur les rochers, on se retrouve devant le portail de cette bâtisse que toutes celles et ceux qui ont pris cette route littorale ont aperçue, nous voici dans un temple de la gastronomie française : Le petit Nice.Ce n’est pas rien de venir ici, de s’asseoir face au chef et d’entendre cet accent et surtout cette façon unique de prononcer certains mots...Ce n’est pas rien de retrouver dans cette musique la voix de son père et de repenser aux dizaines de fois où à l’arrière de la voiture alors qu’il conduisait on est passé par là, en longeant la mer, lisant ces lettres bleues peintes sur le mur blanc éclatant : PASSEDAT.Sur un rocher, la mer aux pieds, il y a donc là, depuis 1917, entre l’anse de Maldormé et celle de la fausse monnaie, une famille qui cuisine et reçoit Marseille, et qui l’incarne aussi.Ce nom d’ailleurs il est indissociable de la ville. Ici, on s’est battu pour défendre Marseille et faire entendre au loin le nom de cette ville aussi.Ce lieu est ancré là, comme un bateau qui ne voudrait jamais plus quitter son port et qui passe pourtant son temps à regarder vers l’horizon.Cet endroit ressemble à Gérald Passedat ou est-ce l’inverse? Quoi qu’il en soit, il y a là toute l’énergie que vous allez entendre d’un chef qui a su maintenir un héritage et l’emmener vers le Graal de la gastronomie.Cet endroit il est posé, immuable, face à la mer, dans le mistral il se tient fier immobile et en même temps il clame un nom à tous ceux qui passe devant…Pas si calme en fait, il gueule aussi son envie de vivre et d’explorer, son goût pour la densité d’une vie qui ne s’arrête pas quand vient la nuit.Je ne sais pas si je vous parle de cet endroit, de ce chef trois étoiles, si je vous dis que, face à nous, alors que j’allume les micros il y a l’immensité de la mer méditerranée, qu’on est baignés de lumière mais qu’on sent que l’énergie ici sait aussi épouser le tumulte.Les micros sont posés sur une table basse à côté d’un livre sublime que le chef a signé en 2013 et que je possède depuis sa sortie. Ce livre il s’appelle "Des abysses à la lumière", et on pourrait presque s’arrêter la… Mais je vous propose pour éclairer la profondeur de sa cuisine de découvrir l’histoire de Gérald Passedat.Pour découvrir la cuisine du chef, et passez un moment unique dans un endroit sans pareil (on peut pas dire autre chose), c'est par ici !Pour découvrir Club Pépites, notre partenaire de talent qui accompagne les chefs et fait profiter les gastronomes que nous sommes de produits et de moments exceptionnels, c'est par ici !Journaliste & réalisateur : David OrdonoUne production NOLA
Aujourd’hui je vous propose un rdv inhabituel, inédit sur CHEFS en tout cas, un format qu’on va façonner ensemble…Chaud ! c’est le nom que je lui ai donné.Comme quand on veut se frayer un chemin en cuisine, chaud ! pour dire que là ça n’attend pas, ça veut dire "poussez vous", ça veut dire qu’à la différence de que je vous propose ici habituellement, ce format-là ne se consomme pas sur une table dressée... Non là on oublie le service, je vous propose de venir avec moi dans les coulisses de ce podcast, dans MA cuisine.En fait, je parle quotidiennement avec des professionnels de la restauration et j’ai voulu que vous preniez part à ces discussions.Ici, on ne va parler que d’actualités et je vais vous proposer d’écouter les coups de fil que je passe aux acteurs du monde de la gastronomie pour connaître leur vision, découvrir leur(s) projet(s), pour aller toujours au plus prés de la réalité de ces métiers.Semaine après semaine, je vais développer ce format, je voudrais qu’on parle vite de livres, d’événements, mais commençons spontanément pour ce premier numéro avec deux conversations tenues il y a quelques jours.La première avec le chef Oliver Nasti à propos du Festival de la Chasse qui se tient sans ses restaurants (plus d'infos ici),puis avec le chocolatier Pierre Marcolini à une semaine du lancement du traditionnel Salon du Chocolat pour parler de la vision du chef, à l'heure où la Maison Pierre Marcolini s'apprête à souffler ses 30 bougies!!Pour aller plus loin sur la démarche du chef Olivier Nasti je vous suggère la lecture du très beau livre : "Olivier Nasti: cuisinier chasseur" Ed. Glenat
Parlons aujourd'hui du premier service, de la première fois où un chef accueille en son restaurant des convives…Ici on débat habituellement de thèmes qui ont à voir avec le quotidien du milieu de la restauration et par définition il est un moment que tous les professionnels connaissent, c’est celui du premier service.Et le paradoxe tout particulier du premier service est qu’il vient souvent clore une longue route. Il a fallu en arriver jusque là, y croire, convaincre, tenir, trouver les fonds, trouver le local, trouver l’équipe, et je ne parle même pas de cuisine, juste le fait de vouloir ouvrir un restaurant c’est une forme de marathon !Et pourtant, quand on dépasse cette ligne d’arrivée, quand on a franchi toutes les étapes qui nous mènent à ce jour J, ben c’est en fait là le début de l’aventure !C’est pas commun cette histoire et pour en avoir parlé maintes fois, avec de nombreux chefs, je peux vous assurer qu’aucune ouverture ne se ressemble, que souvent… ils ne sont pas prêts, que quelques heures avant l’arrivée des clients certains sont encore en train de faire de la peinture ou espèrent avoir de l’électricité pour éclairer leur salle…Vraiment on entend toute sortes d’anecdotes et vous en connaissez sûrement.Ce talk est donc consacré au premier service, à ce moment qu’on pourrait comparer à une forme d'accouchement !Alors pour illustrer ce jour sans pareil j’ai convié un observateur et un témoin.Elle est donc passée par là et au soir de son premier service SPOILER, tout n’était pas hyper carré, Priscilla Tram du restaurant Trâm 130 nous raconte son premier service et pour l’accompagner derrière un autre micro Tristan Laffontas, fondateur du Club Pépites. Un club auquel vous pouvez souscrire si vous êtes passionné de gastronomie et qui vous ouvre une porte dérobée sur le monde des chefs… D’une part vous aurez un accès aux produits d’exception qu’ils utilisent, directement auprès des fournisseurs que Tristan a réunis et puis, c’est pour cela qu’il est là aujourd’hui, vous pourrez participer au premier service lors de l’ouverture de restaurants, une exclusivité qui permet de vivre ce dont on va parler maintenant...Envoyez les premiers clients!Prod : NOLAJournaliste - Réalisateur : David OrdonoAssistant montage et réalisation: Thomas Ladonne
Philippe Mille est le premier chef à participer au format Experience-s. Il va devoir répondre à dix questions et revenir ainsi sur les moments marquants de sa carrière. L'objectif ? Partager ces instants clés tout en révélant les enseignements qu'il en a tirés et la manière dont ils ont façonné sa vision actuelle du métier.Cet épisode passionnant met en lumière un chef qui accorde une attention particulière à ce et ceux qui l'entourent. Une rencontre inspirante avec un cuisinier dont le regard comme le geste, est aussi sensible qu'exigeant. Pour découvrir la cuisine de Philippe Mille, c'est les yeux fermés direction Reims chez Arbane !Bonne écoute !
Voilà des années qu'on me réclame l'épisode de Stéphanie le Quellec. Des années, que je me disais, intuition, que la rencontre devait attendre encore un peu...Comme vous peut être je l’ai découverte dans l'émission Top Chef. Alors pas en tant que jury, place qu’elle occupe avec expertise et générosité depuis l’an dernier, non je me souviens très bien d’elle en tant que candidate… en 2011 !Je me souviens d’elle accédant à la finale sous les compliments de Jean François Piège, je me souviens de sa victoire.Pourtant, devant ma télé, j’avais l’impression de ne pas l’avoir vue, ni dans les mots, ni dans l’assiette, je n’avais rien lu de sa personnalité… Et ce n’est qu’assez récemment, à la faveur encore de ce concours télévisé que je l’ai retrouvée… autrement.Jury cette fois, c’est elle qui fait autorité ! Et si son savoir-faire n’a jamais fait de doute, je l’ai trouvé changée. Je l’ai trouvé ouverte, partageuse, détendue... J’ai vu la lumière qui m’avait manqué chez elle du temps où elle cherchait quoi raconter...Alors là, j’ai pensé que je devais lui proposer de prendre part à ce podcast.J’étais très heureux qu’elle accepte et très curieux de la rencontrer, un jour de juin ensoleillé, dans son bureau au-dessus de son restaurant La Scène, avenue Matignon à Paris.Oui posons tout de suite les choses, La Scène c’est le vaisseau de la cheffe. Elle a posé là deux étoiles.Ce ne sont pas ses premières, mais ce sont celles qui comptent et celles qui font bien sûr... qu’il serait trop simple de s’arrêter là! Oui car il y a MAM, ses adresses traiteur qu’elle a ouvertes avec Pierre Chirac son chef pâtissier (oh je vais rien dire sur l’adresse, si ce n’est que si vous vous y rendez, vous voudrez tout acheter) et puis il y aussi Vive, un restaurant dédié à la mer qu’elle a ouvert avec son mari qui œuvre ici en cuisine et si je vous précise tout cela c’est parce que ces adresses, elles en disent long sur sa cuisine bien sûr mais aussi sur la manière avec laquelle elle envisage son métier et a construit sa carrière…Je vous invite donc à découvrir le récit d’une sorte de combat.Pas un combat bruyant violent, non un combat profond et intime, mené avec une force intérieure constante. Je vous invite à découvrir l’histoire d’une petite fille qui regardait ses pieds quand elle a emprunté le chemin de la cuisine et qui, avec la volonté d’exceller, a appris, petit à petit à s’affirmer, à parler en son nom, pour finalement baisser la garde qui la protégeait et se déployer au centre de la scène.Je suis très heureux de vous faire découvrir l’histoire de Stéphanie le Quellec.
Voilà des années qu'on me réclame l'épisode de Stéphanie le Quellec. Des années, que je me disais, intuition, que la rencontre devait attendre encore un peu...Comme vous peut être je l’ai découverte dans l'émission Top Chef. Alors pas en tant que jury, place qu’elle occupe avec expertise et générosité depuis l’an dernier, non je me souviens très bien d’elle en tant que candidate… en 2011 !Je me souviens d’elle accédant à la finale sous les compliments de Jean François Piège, je me souviens de sa victoire.Pourtant, devant ma télé, j’avais l’impression de ne pas l’avoir vue, ni dans les mots, ni dans l’assiette, je n’avais rien lu de sa personnalité… Et ce n’est qu’assez récemment, à la faveur encore de ce concours télévisé que je l’ai retrouvée… autrement.Jury cette fois, c’est elle qui fait autorité ! Et si son savoir-faire n’a jamais fait de doute, je l’ai trouvé changée. Je l’ai trouvé ouverte, partageuse, détendue... J’ai vu la lumière qui m’avait manqué chez elle du temps où elle cherchait quoi raconter...Alors là, j’ai pensé que je devais lui proposer de prendre part à ce podcast.J’étais très heureux qu’elle accepte et très curieux de la rencontrer, un jour de juin ensoleillé, dans son bureau au-dessus de son restaurant La Scène, avenue Matignon à Paris.Oui posons tout de suite les choses, La Scène c’est le vaisseau de la cheffe. Elle a posé là deux étoiles.Ce ne sont pas ses premières, mais ce sont celles qui comptent et celles qui font bien sûr... qu’il serait trop simple de s’arrêter là! Oui car il y a MAM, ses adresses traiteur qu’elle a ouvertes avec Pierre Chirac son chef pâtissier (oh je vais rien dire sur l’adresse, si ce n’est que si vous vous y rendez, vous voudrez tout acheter) et puis il y aussi Vive, un restaurant dédié à la mer qu’elle a ouvert avec son mari qui œuvre ici en cuisine et si je vous précise tout cela c’est parce que ces adresses, elles en disent long sur sa cuisine bien sûr mais aussi sur la manière avec laquelle elle envisage son métier et a construit sa carrière…Je vous invite donc à découvrir le récit d’une sorte de combat.Pas un combat bruyant violent, non un combat profond et intime, mené avec une force intérieure constante. Je vous invite à découvrir l’histoire d’une petite fille qui regardait ses pieds quand elle a emprunté le chemin de la cuisine et qui, avec la volonté d’exceller, a appris, petit à petit à s’affirmer, à parler en son nom, pour finalement baisser la garde qui la protégeait et se déployer au centre de la scène.Je suis très heureux de vous faire découvrir l’histoire de Stéphanie le Quellec.