Cortisol, exercice psychique et de jeûne intermittent
Update: 2025-07-22
Description
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de cortisol du lundi, exercice psychique et de jeûne intermittent.
Nouveau : Combien de PAS par jour pour perdre du poids
Au programme :
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Le stress du lundi laisse une empreinte durable sur notre biologie, selon une nouvelle étude
Une équipe dirigée par le professeur Tarani Chandola de l’Université de Hong Kong vient de dévoiler un phénomène frappant : le stress ressenti le lundi s’imprime durablement dans notre organisme, peu importe si l’on travaille ou non.
Les personnes qui déclarent une anxiété particulière en début de semaine affichent, deux mois plus tard, un niveau de cortisol — l’hormone du stress — 23 % plus élevé dans leurs cheveux que ceux qui stressent davantage un autre jour. Ce marqueur biologique du stress chronique, bien connu pour augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, ne concerne pas que les actifs. Les retraités ne sont pas épargnés, montrant que le lundi agit comme un véritable « amplificateur culturel du stress », ancré dans nos rythmes sociaux.
L’étude rappelle qu’en Angleterre, le lundi est associé à une hausse de 19 % des infarctus par rapport aux autres jours. Or, ce n’est pas tant l’intensité du stress le lundi que la réaction biologique à ce stress qui pose problème : seuls 25 % de l’effet observé sont dus à un ressenti d’anxiété plus fort ce jour-là, le reste provient de l’impact biologique disproportionné du lundi.
C’est la première fois qu’on démontre que le lundi, plus qu’un autre jour, dérègle profondément l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, ce chef d’orchestre des hormones du stress. À lire aussi : Souffrez-vous du syndrome du boulot irritable ? ( Test inclus )
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250706230309.htm
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Sauriez-vous reconnaître une noyade ?
Au début de l’été 2025, les noyades sont en hausse de 58 % en France par rapport à l’année précédente. Ce phénomène ne concerne pas seulement les enfants : chaque année, près de 2 000 noyades sont recensées dans l’Hexagone, dont un tiers sont mortelles selon les chiffres du ministère de la Santé.
La plupart des témoins ne savent pas reconnaître une noyade, car elle ne ressemble pas aux scènes dramatiques du cinéma. En réalité, une personne en train de se noyer est souvent silencieuse, garde la tête à la surface et tente désespérément de respirer, sans appeler à l’aide. Les gestes clés : elle peine à garder la bouche hors de l’eau, agite les bras dans un mouvement réflexe, et ne parvient pas à nager ou à crier.
L’article met en avant un test simple proposé par les sauveteurs pour sensibiliser la population
Source : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/sauriez-vous-reconnaitre-une-noyade-le-test-indispensable-avant-d-aller-a-l-eau_187171?xtor=RSS-16
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Pourquoi le contexte compte plus que l’exercice lui-même pour la santé mentale
La croyance populaire veut que bouger, peu importe la forme, soit bon pour le moral. Pourtant, une étude récente de l’Université de Géorgie, publiée en juillet 2025, nuance ce constat. Les chercheurs ont passé au crible plusieurs types d’études — analyses épidémiologiques à grande échelle, essais contrôlés randomisés, et revues sur les facteurs contextuels. Résultat : ce n’est pas simplement l’activité physique en elle-même qui améliore la santé mentale, mais surtout le contexte,
Nouveau : Combien de PAS par jour pour perdre du poids
Au programme :
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Le stress du lundi laisse une empreinte durable sur notre biologie, selon une nouvelle étude
Une équipe dirigée par le professeur Tarani Chandola de l’Université de Hong Kong vient de dévoiler un phénomène frappant : le stress ressenti le lundi s’imprime durablement dans notre organisme, peu importe si l’on travaille ou non.
Les personnes qui déclarent une anxiété particulière en début de semaine affichent, deux mois plus tard, un niveau de cortisol — l’hormone du stress — 23 % plus élevé dans leurs cheveux que ceux qui stressent davantage un autre jour. Ce marqueur biologique du stress chronique, bien connu pour augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, ne concerne pas que les actifs. Les retraités ne sont pas épargnés, montrant que le lundi agit comme un véritable « amplificateur culturel du stress », ancré dans nos rythmes sociaux.
L’étude rappelle qu’en Angleterre, le lundi est associé à une hausse de 19 % des infarctus par rapport aux autres jours. Or, ce n’est pas tant l’intensité du stress le lundi que la réaction biologique à ce stress qui pose problème : seuls 25 % de l’effet observé sont dus à un ressenti d’anxiété plus fort ce jour-là, le reste provient de l’impact biologique disproportionné du lundi.
C’est la première fois qu’on démontre que le lundi, plus qu’un autre jour, dérègle profondément l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, ce chef d’orchestre des hormones du stress. À lire aussi : Souffrez-vous du syndrome du boulot irritable ? ( Test inclus )
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250706230309.htm
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Sauriez-vous reconnaître une noyade ?
Au début de l’été 2025, les noyades sont en hausse de 58 % en France par rapport à l’année précédente. Ce phénomène ne concerne pas seulement les enfants : chaque année, près de 2 000 noyades sont recensées dans l’Hexagone, dont un tiers sont mortelles selon les chiffres du ministère de la Santé.
La plupart des témoins ne savent pas reconnaître une noyade, car elle ne ressemble pas aux scènes dramatiques du cinéma. En réalité, une personne en train de se noyer est souvent silencieuse, garde la tête à la surface et tente désespérément de respirer, sans appeler à l’aide. Les gestes clés : elle peine à garder la bouche hors de l’eau, agite les bras dans un mouvement réflexe, et ne parvient pas à nager ou à crier.
L’article met en avant un test simple proposé par les sauveteurs pour sensibiliser la population
Source : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/sauriez-vous-reconnaitre-une-noyade-le-test-indispensable-avant-d-aller-a-l-eau_187171?xtor=RSS-16
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Pourquoi le contexte compte plus que l’exercice lui-même pour la santé mentale
La croyance populaire veut que bouger, peu importe la forme, soit bon pour le moral. Pourtant, une étude récente de l’Université de Géorgie, publiée en juillet 2025, nuance ce constat. Les chercheurs ont passé au crible plusieurs types d’études — analyses épidémiologiques à grande échelle, essais contrôlés randomisés, et revues sur les facteurs contextuels. Résultat : ce n’est pas simplement l’activité physique en elle-même qui améliore la santé mentale, mais surtout le contexte,
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